Le 15 septembre 1916, les premiers chars d’assaut britanniques montent à l’assaut des lignes ennemies, la nouveauté de la menace contraint l’Armée allemande à concevoir, dans l’urgence, armes et munitions capables de s’y opposer. Au printemps 1918, commence la distribution du Tank-Gewehr, fusil antichar au calibre de 13 mm, tandis qu’à la veille de l’Armistice, sont mis en service les premiers canons antichars, 3,7cm Tankabwerkanone, mais sans avoir eu le temps d’achever la mise au point des munitions idoines.
La star des bombardiers britanniques fait l’objet d’une étude exhaustive divisée en six grands chapitres allant de ses origines à ses opérations. Vous saurez tout sur son développement, ses différentes versions, son armement, et ses faits d’armes, que ce soit les raids au-dessus de l’Allemagne, l’action des Dambusters contre les barrages de la Ruhr, ou la destruction du Tirpitz.
Le 15 septembre 1916, les premiers chars d’assaut britanniques montent à l’assaut des lignes ennemies, la nouveauté de la menace contraint l’Armée allemande à concevoir, dans l’urgence, armes et munitions capables de s’y opposer. Au printemps 1918, commence la distribution du Tank-Gewehr, fusil antichar au calibre de 13 mm, tandis qu’à la veille de l’Armistice, sont mis en service les premiers canons antichars, 3,7cm Tankabwerkanone, mais sans avoir eu le temps d’achever la mise au point des munitions idoines.
L’apparition des blindés sur le champ de bataille a profondément modifié le comportement de l’infanterie. Pendant des années, les armées ont tenté de mieux coordonner l’action des fantassins et celle des blindés, mais c’est du côté de l’armée allemande que cette synergie est favorisée. Malgré des balbutiements au début du second conflit mondial, les fantassins allemands apprennent à se coordonner avec les tankistes, pour finalement voir apparaître des Panzergrenadier, l’infanterie mécanisée.
Deux affrontements mécanisés titanesques ont marqué l’histoire du second conflit mondial : la bataille de Prokhorovka (improprement appelée bataille de Koursk), et les opérations normandes, pendant l’été 1944. Pourtant, bien évidemment, ces engagements ne résument pas à eux seuls six ans de guerre mécanisée. Identifier et raconter dix grandes batailles caractéristiques de l’évolution des combats de chars de 1939 à 1945, c’est le fabuleux pari que Mathias André et Pierre Muller ont accepté de relever avec cet ouvrage ; deux plumes expertes servies par une iconographie généreuse pour un livre original !
En 1937, la Kriegsmarine ordonne l’étude d’un nouveau cuirassé, le Schlachtschiff H (« navire de combat » H) appelé à devenir le bâtiment phare du Plan Z, et le digne héritier des deux célèbres cuirassés de la classe Bismarck. Le design du Schlachtschiff H connaîtra cinq évolutions principales mais la version initiale H-39 est la seule qui ait connu un début de réalisation. Les autres versions culmineront avec le H-44 et seront le fruit des réflexions purement théoriques après la mise en sommeil du Plan Z en 1939.
Heinz Knoke s’engage dès 1939 dans la Luftwaffe, par passion, goût de l’aventure et par devoir. Après une courte période d’instruction, il rejoint la chasse diurne et vole sur Messerschmitt Bf 109. Il participe à la bataille d’Angleterre durant laquelle il affronte les Spitfire, puis à la guerre contre l’URSS, d’abord couronnée de succès. Il escorte des convois dans la mer du Nord, sans panache, mais avec professionnalisme.
Titulaire de 34 victoires entre 1940 et 1945, le Hauptmann Wilhelm Johnen n’est pas n’importe quel as : il fait partie du cercle très fermé des as de la Nachtjagd, la chasse de nuit allemande. Chargés de défendre l’espace aérien allemand contre les bombardements nocturnes des Alliés – principalement des Britanniques – ces pilotes ont des trajectoires hors du commun, tout d’abord par leur mode de combat très différent de celui de leurs camarades de « jour ». Johnen démarre sa carrière sur Bf 110, devant trouver ses cibles à la seule force de ses yeux (et grâce à l’aide des projecteurs de la Flak) jusqu’à l’introduction de la série de radar Lichtenstein.
En quelque 120 pages, l’expert aéronautique Alex Euphrosine fait le tour de l’histoire du plus célèbre chasseur américain de la Seconde Guerre mondiale ! Il vous explique en détail la genèse de l’avion, sa conception et ses essais en vol avant de présenter chacune des nombreuses versions produites pendant et après le conflit pour les États-Unis comme pour d’autres nations (dont la France).
Notre livre sur le Messerschmitt Bf 109 abordait l’avion sous un angle majoritairement technique avec quelques précisions relatant des faits opérationnels marquants. C’était sans compter sur la curiosité légitime des lecteurs qui, par leur retour, réclamaient plus de détails encore, touchant à l’identification de toutes les versions de cet avion mythique, à ses peintures de guerre, donc à ses schémas de camouflage selon les périodes d’emploi sur les différents fronts.
À partir de décembre 1941, l’arme sous-marine allemande voit son champ d’action en Atlantique s’étendre jusqu’aux côtes américaines. La guerre des convois prend une nouvelle ampleur, jusqu’à embraser bientôt aussi l’Arctique et l’océan Indien.
Le son terrifiant de ses sirènes (les fameuses « Trompettes de Jéricho »), la parfaite coordination de ses attaques avec les Panzer, la précision mortelle de ses frappes sont indissociables des premiers succès de la Blitzkrieg en 1939 et 1940, avant que la bataille d’Angleterre ne révèle ses limites : le Junkers Ju 87 Stuka est incontestablement l’une des grandes stars de la propagande nazie durant ces années de fastes victoires.
Forts du développement de plusieurs machines de guerre qui ont marqué leur temps, les Ateliers de construction d’Issy-les-Moulineaux ont été l’un des fleurons de l’industrie militaire française. C’est sur eux que va notamment s’appuyer l’Armée française, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, pour commencer un ambitieux programme de réarmement. Ainsi va être développé le char léger AMX 13 qui va connaître un incroyable succès, aussi bien sur le territoire national qu’à l’exportation, grâce à son faible coût, sa mobilité et son canon de 75 mm à haute vitesse initiale.
Rendu célèbre par les films Apocalypse Now, Platoon ou We Were Soldiers, le Huey est le véritable cheval de bataille de l’US Army au cours de la Guerre froide. Fruit d’un programme de recherche du milieu des années 1950 pour un hélicoptère plus lourd et plus robuste que ceux jusque-là alignés par l’US Army, c’est au début de la décennie 1960 que les premiers exemplaires entrent en service aux États-Unis.
Préparée dans le plus grand secret, l’opération « Overlord » est l’une des offensives les plus audacieuses de la Seconde Guerre mondiale : il faut convoyer plusieurs dizaines de milliers de soldats à travers la Manche, les faire traverser les plages défendues par les Allemands et éviter que ces derniers ne bloquent l’offensive...
Après deux hors-séries LOS! consacrés au cuirassé Bismarck et rapidement épuisés, Patrick Toussaint propose une étude de référence sur ce fleuron de la Kriegsmarine
Dans la série de ses encyclopédies des avions de la Seconde Guerre mondiale, Caraktère s’attaque cette fois aux chasseurs de la Luftwaffe sous la plume de l’historien Chris Goss.
La victoire soviétique à Stalingrad, malgré les pertes, consacre le début de la mue de l’Armée Rouge. Portée par des généraux ambitieux (et un Staline omnipotent), cette dernière change peu à peu de visage, n’offrant presque plus aucun point commun avec celle de l’été 1941. Malgré la résistance des Allemands, les Soviétiques progressent vers le cœur même du III. Reich, mettant en application leur tactique de la bataille en profondeur.
Dans cette analyse passionnante, Simon Le Bouché revient sur la première année de guerre de l’empire du Soleil Levant en Asie-Pacifique, pour en décrypter la mécanique guerrière et les stratégies. Tous les fronts, tous les théâtres d’opérations des trois armes (terre, air, mer) sont présentés et expliqués, ainsi que les qualités et défauts des forces japonaises mais aussi des unités britanniques, néerlandaises, siamoises, australiennes, américaines, chinoises et philippines.
Au sortir de la Première Guerre mondiale, l’Armée Rouge n’a rien d’une véritable formation militaire professionnelle et fait figure d’exception parmi les armées occidentales. Mais sa victoire dans la guerre civile russe lui permet d’être érigée en rempart de l’URSS contre les agressions extérieures… ainsi qu’en étendard du communisme mondial.
L’Allemagne possède dans sa flotte des vedettes rapides depuis 1917, mais c’est surtout au cours de la Seconde Guerre mondiale que la Kriegsmarine va mettre cette poussière navale à contribution. Ayant fait développer durant l’entre-deux-guerres plusieurs versions modernes de vedettes lance-torpilles, elle entre dans le conflit avec un atout certain pour la « petite guerre » côtière, mais le nombre d’unités disponibles est alors très réduit. Au cours du conflit, les Schellboote, ou S-Boote, deviendront des bâtiments plus fiables, mieux armés, mieux protégés et conduits par des équipages aguerris.
Dans l’esprit des industriels et d’Hitler, s’il veut résister à ses adversaires, le III. Reich se doit de remporter la bataille de l’innovation en produisant des matériels si supérieurs qu’ils n’auront pas de rivaux sur le terrain et que la balance penchera de nouveau en sa faveur. La quantité étant définitivement à l’avantage des États-Unis et de l’Union soviétique qui produisent pléthores de Medium Tanks M4 Sherman et de chars moyens T-34/76, il ne reste, aux yeux des responsables allemands, qu’à continuer à se focaliser sur la qualité tout en standardisant au maximum les composants et c’est cela tout l’enjeu du programme Entwicklungstype (types standards) qui est validé en avril 1943.
Trop souvent résumé à un improbable programme de construction navale édicté par Hitler, le Plan Z a pourtant des origines antérieures au III. Reich et connaîtra bien des évolutions stratégiques et techniques avant que le dictateur nazi ne s’y intéresse vraiment. Toujours est-il que le Plan Z va structurer la Kriegsmarine au cours des années 1930, lui donnant les forces et les faiblesses qui seront les siennes à l’orée du second conflit mondial. Pourquoi l’Allemagne s’est-elle engagée dans un programme si ambitieux et dispendieux ? Comment, avec quels moyens humains, industriels et techniques ? Et dans quel but, au profit de quelle stratégie navale ? À quoi devait ressembler la flotte du Plan Z et qu’est-ce qui a finalement pu être réalisé ?
Souvent mal connus et sous-estimés, les chasseurs italiens ayant combattu lors de la Seconde Guerre mondiale n’ont pas démérité. C’est oublier que l’industrie aéronautique italienne est une des premières du monde dans l’entre-deux-guerres et que les productions de ses grands noms comme Fiat ou Caproni s’exportent avec succès. Très présents en Amérique du Sud, les chasseurs de fabrication italienne y sont unanimement appréciés pour leur robustesse et leur fiabilité… ressenti qui ne se démentira pas avec les premiers combats en Europe.
Après un volume consacré au Typ VII, puis un autre aux U-Boote de la dernière chance (Typ XXI et Typ XXIII), les éditions Caraktère vous propose de passer en revue les différentes versions du grand Typ IX conçu pour frapper fort et loin.
Des combats de rencontre dans le Slot aux grands engagements transhorizon entre porte-avions, de l’attaque de l’aéronavale japonaise sur Hawaii le 7 décembre 1941 à la destruction du croiseur lourd Haguro par la 26th Destroyer Flotilla britannique dans le détroit de Malacca le 16 mai 1945, la guerre du Pacifique est un enchaînement complexe de batailles plus ou moins connues qui rythment un conflit de 44 mois...
Dans un luxueux livre (plus de 200 pages !) à la couverture cartonnée, les Éditions Caraktère vous proposent un guide des chars de combat développés par l’Armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale.
Grâce à cet ouvrage exhaustif, ces blindés qui ont marqué de leurs chenilles tous les champs de bataille de 1939 à 1945 n’auront plus de secrets pour vous.
Entre 1939 et 1945, quelque 2 500 submersibles ont patrouillé dans toutes les mers du globe. Erminio Bagnasco, éminent spécialiste italien de l’arme sous-marine, a recensé et détaillé toutes les classes de submersibles engagés au combat par les huit grandes puissances navales de l’époque...
Géniteur d’une famille de blindés de légende, le Panzer VI Tiger est associé à toutes les campagnes militaires de la Wehrmacht durant la seconde moitié de la guerre. Pas moins de dix Abteilungen de la Heer et trois de la Waffen-SS en seront équipées, que ce soit dans la version Tiger I ou Tiger II. Il faut ajouter à cela les trois bataillons de chasseurs de chars lourds dotés de Jagdpanzer Elefant et Jagdtiger, engins découlant respectivement du concurrent malheureux du Tiger I pour le premier et du Tiger II pour le second...
Après un premier volume consacré au Typ VII, les éditions Caraktère consacre le deuxième opus de cette collection aux U-Boote de la dernière chance !...
Le Landser de 1939 est l’héritier direct de celui de 1918 et la Heer (armée de terre) plonge ses racines, ses traditions et ses spécificités uniformologiques dans celles des armées impériales des siècles passées : les Gebirgsjäger sont les descendants des troupes de montagnes autrichiennes, les tankistes ceux des hussards prussiens ; on retrouve les Litzen des troupes de Frédéric II sur les pattes de cols des soldats de la Heer, etc...
Géniteur d’une famille de blindés de légende, le Panzer VI Tiger est associé à toutes les campagnes militaires de la Wehrmacht durant la seconde moitié de la guerre. Pas moins de dix Abteilungen de la Heer et trois de la Waffen-SS en seront équipées, que ce soit dans la version Tiger I ou Tiger II. Il faut ajouter à cela les trois bataillons de chasseurs de chars lourds dotés de Jagdpanzer Elefant et Jagdtiger, engins découlant respectivement du concurrent malheureux du Tiger I pour le premier et du Tiger II pour le second...
Ayant lancé des recherches sur d'innombrables « armes miracles », aussi visionnaires pour certaines d'entre elles que fantaisistes pour d'autres, la Wehrmacht de la fin de la guerre a fait l'objet de bien des fantasmes, pour ne pas parler de délires !
Quel aurait pu être le véritable visage des forces armées allemandes si la guerre s'était prolongée d'une ou plusieurs années en Europe ?
Beaucoup de choses ont été dites sur les « armes miracles », aussi visionnaires pour certaines que fantaisistes pour d’autres, étudiées ou mises en oeuvre en 1944-45 par l’Allemagne nazie pour tenter de renverser le cours de la guerre.
À travers la multitude de matériels développés dans l’urgence par les centres de recherches allemands pour ses diérentes branches, il est possible de dresser le portrait qui aurait été celui de la Wehrmacht si la Seconde Guerre mondiale s’était prolongée de plusieurs mois en Europe.
Le 1er janvier 1921, pour se conformer aux clauses du traité de Versailles, la Reichswehr ne dispose plus que de 204 pièces de 7,7 cm et 84 obusiers de 10,5 cm.À l’exception de cette maigre dotation, tout le parc d’artillerie de la Deutsche Armee existant au 11 novembre 1918 est saisi ou ferraillé. De surcroît, tout développement de nouveaux matériels est proscrit, et pour lui éviter toute tentation, son parc de machines-outils spécialisées est réduit à la portion congrue et mis sous la surveillance de commissions d’inspection particulièrement pointilleuses.À cette date, l’Allemagne n’existe plus en tant que puissance militaire...
Quelque peu éclipsés par leurs homologues britanniques entrés dans la légende durant la Seconde Guerre mondiale, les commandos allemands de l’Abwehr ont pourtant écrit une épopée tout aussi mémorable. Les fameux « Brandebourgeois », choisis pour leur pratique parfaite des langues étrangères et surentraînés pour s’infiltrer dans les lignes de l’ennemi vêtus de son uniforme et s’en débarrasser au moment de passer à l’action, ont indéniablement contribué au succès des offensives du Blitzkrieg de 1939 à 1942.
De 1939 à 1941, l’arme sous-marine allemande s’impose comme l’une des menaces les plus dangereuses pour les Alliés, leur effort de guerre et leur trafic maritime. Constituée de submersibles modernes et bien conçus, aux équipages surentraînés et motivés, la U-Bootwaffe va mener une guerre au tonnage sans merci en Atlantique.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les camouflages et marques français sans avoir osé le demander, le grand spécialiste de la question, Christian-Jacques Ehrengardt, vous le détaille en 216 pages.
Cette encyclopédie consacrée aux avions de chasse français de la période 1939‑42 brosse un vaste panorama de l’état de santé de notre industrie aéronautique à la veille d’un cataclysme sans précédent dans l’histoire de notre pays.
Au Panthéon des navires de combat, les cuirassés Yamato et Musashi, ainsi que le porte-avions Shinano, occupent une place à part.
De par leur puissance, leurs dimensions et leur allure générale, bien peu d’autres bâtiments suscitent autant d’intérêt ou de fascination.
Dédiés au combat de surface, conçus pour dominer tous les cuirassés existants ou à venir, les trois Yamato avaient vocation à renverser l’équilibre des forces dans le Pacifique.
Caraktère publishing is pleased to announce the launch of its brand new book collection in English, dedicated to tanks and mechanized warfare.
The first volume to be published in May 2015, provides throughout its 196 pages, an exhaustive overview of the German tanks production during World War II.
Les éditions Caraktère ont le plaisir d'annoncer le lancement de leur nouvelle collection d'ouvrages en anglais, dédiés aux blindés et à la guerre mécanisée.
Le premier volume, à paraître en mai 2015, présente au travers ses 196 pages, un panorama complet de la production allemande de chars durant la Deuxième Guerre mondiale.
Déployée pour la première fois en 1978 en réaction au climat de tension dans la région, fruit des incidents réguliers opposants les membres de l’OLP et les Forces de Défense Israéliennes, la FINUL n’eut de cesse d’assurer le retour à l’autorité effective du gouvernement libanais, tout en œuvrant pour le retour à la paix international, encadrant le retrait de Tsahal du Sud Liban.
Officier de cavalerie, l'auteur a assuré, de 2010 à 2011, les fonctions de chef du bureau de liaison de la FINUL, ayant non seulement accès à l'ensemble des contingents de la mission mais aussi, privilège beaucoup plus rare, aux deux belligérants.
Il a ainsi pu photographier et étudier de près, sur un théâtre d'opération réduit mais complexe, une grande variété de véhicules blindés d'origine très variée.
C'est toute l'originalité de ce document qui, au-delà d'une approche technique du matériel déployé dans la région, a également l'ambition de mieux vous faire percevoir toute la difficulté d'une mission de maintien de la paix.
Les Editions Caraktère ont le plaisir de vous présenter la toute nouvelle collection « Panzer Battle Guide », consacrée aux affrontements blindés les plus emblématiques de la Seconde Guerre mondiale.
Au fil des pages et des témoignages, revivez ces hauts faits d’arme, qui ont marqué le cours du dernier conflit mondial.
Le premier volume, à paraître en mai 2015, vous permettra de (re)découvrir l’un des épisodes les plus marquants de la bataille des Ardennes, et le destin des Tiger de Peiper dans le secteur de Stavelot – La Gleize.
Largement illustré de photos d’archives, pour certaines inédites ou rarement publiées, de planches 4 vues et profils couleur, chaque ouvrage vous offrira également un roadbook complet vous permettant de revivre l’épopée de ces unités plus de 70 ans après.
A total of 33,675 Messerschmitt Bf 109s of all variants were built before and during WW2. This genuine thoroughbred still remains today a source of fascination for air-minded people of all generations.
Les éditions Caraktère vous invitent à plonger dans leurs incroyables archives photographiques, majoritairement constituées de clichés tirés de collections privées.
Le submersible d’attaque Typ VII est certainement le sous-marin le plus célèbre du second conflit mondial. Construit à des centaines d’exemplaires, commandé par des As aux succès retentissants, le Typ VII a bien gagné son surnom de « cheval de bataille de la U-Bootwaffe » en Atlantique...
Dans la droite ligne des deux ouvrages de référence que sont « l’Encyclopédie des avions de chasse français » et « Camouflages et marques de l'Aviation Française », les éditions Caraktère ont le plaisir de vous annoncer la sortie d’un troisième tome consacré aux appareils tricolores de bombardement et de reconnaissance. Un ouvrage luxueux, fruit d’un travail minutieux, illustré de nombreuses photographies inédites qui vous permettra d’être incollable dans un domaine méconnu.
Construit à près de 33.675 exemplaires, le Messerschmitt Bf 109 demeure encore aujourd'hui source de fascination, tant pour les passionnés d'aviation que les férus d'histoire militaire contemporaine. Cet appareil symbolise autant la puissance et la supériorité de la Luftwaffe durant les premières années de guerre, que la férocité des combats aériens durant la Bataille d'Angleterre.
La division Ariete est sans conteste l’unité la plus connue de l’Armée royale italienne, le Regio Esercito, ayant combattu durant la Seconde Guerre mondiale. Fer de lance des forces italiennes en Afrique du Nord, son nom demeure associé aux victoires de l’Afrika-Korps et aux batailles qui ont rythmé les opérations en Libye ou en Égypte, de 1941 à 1942.