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Aérojournal n°106

« Tennōheika Banzai ! »

Les bombardiers moyens japonais

Au sommaire du n°106 - Juin / Juillet 2025

+ Ju 88 versus Mosquito !
Combat en baie de Gascogne

+ La mer ne les aura pas !
Un prêtre belge dans la RAF

+ « Tennōheika Banzai ! » 
Les bombardiers moyens du Tennō : oubliés des victoires japonaises

+ Sondergeräte !
Les armes de bord de la dernière chance de la Luftwaffe

+ Erwin Leibold, un as « invisible »

+ Actualités

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Au sommaire du n°106 - Juin / Juillet 2025

+ Ju 88 versus Mosquito !

Combat en baie de Gascogne

Il était relativement rare que les De Havilland DH.98 Mosquito soient abattus de jour, et dans ce cas, ils l’étaient la plupart du temps par des monomoteurs plus rapides et mieux armés, comme le Focke-Wulf Fw 190. Cependant, le 11 août 1943, un équipage malheureux de la RAF eut moins de chance face à quatre chasseurs lourds Junkers Ju 88 en maraude. Chris Goss nous raconte ce combat aérien peu commun en baie de Gascogne.

+ La mer ne les aura pas !

Un prêtre belge dans la RAF

« Sea shall not have them! » Telle est la devise de l’Air Sea Rescue, la branche de la Royal Air Force chargée des secours aux aviateurs tombés en mer. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce service sauva des milliers de membres d’équipage d’avions amis et ennemis. Parmi ses pilotes figurait un Belge au profil peu banal : Louis Brullez était prêtre.

+ « Tennōheika Banzai ! » 

Les bombardiers moyens du Tennō : oubliés des victoires japonaises

À partir du 7 décembre 1941 et jusqu’au tournant de la fin 1942, les principaux succès remportés par des bombardiers japonais le sont par les Nakajima B5N et Aichi D3A embarqués de l’aéronavale. Pourtant, les bombardiers bimoteurs lourds Mitsubishi Ki-21 « Sally » de l’armée impériale et les avions d’attaque côtiers (les fameux Rikko) Mitsubishi G3M « Nell » et G4M « Betty » de la marine jouent un rôle tout aussi prépondérant dans le long cortège de victoires de cette année de combats. De la Mandchourie à Guadalcanal, de la Birmanie à Wake, ces trois machines cumulent les succès de prestige, depuis la destruction du Repulse et du Prince of Wales à la chute de Singapour et de Corregidor, en passant par la conquête des régions pétrolières des Indes néerlandaises. Jusqu’à ce que les Américains ne révèlent au grand jour les limites de ces bombardiers très vite dépassés par la tournure que prend la guerre…

+ Sondergeräte !

Les armes de bord de la dernière chance de la Luftwaffe

À partir de l’année 1942, l’enlisement de la Wehrmacht sur le front de l’Est face à la marée blindée de l’Armée rouge et les incursions de plus en plus fréquentes des bombardiers lourds de la 8th Air Force sur l’Europe occidentale occupée et l’Allemagne imposent à la Luftwaffe de se préoccuper sérieusement de ces nouvelles menaces. Incapable de soutenir la cadence de production industrielle fournie par les Alliés – États-Unis et Union soviétique en tête – le Reich s’en remet à ses ingénieurs aéronautiques qui se retrouvent dans l’obligation de mettre au point des « armes miracles » en mesure de détruire avec davantage de puissance de feu, de précision et de certitude les cibles ennemies visées. C’est ainsi que voit le jour une nouvelle famille d’armes de bord : les Sondergeräte (canons spéciaux), de la catégorie des canons sans recul. Et selon toute vraisemblance, aucune ne connaîtra jamais le service opérationnel. 

+ Erwin Leibold, un as « invisible »

Dans l’index de son historique de la Jagdgeschwader 26 (devenu un classique du genre), le chercheur américain Donald Caldwell ne mentionne Erwin Leibold qu’à quatre reprises. Ce pilote de la « Schlageter » disparu en 1942 n’était certes pas un as aux très nombreuses victoires ou un de ces « Draufgänger » (fonceurs) s’étant distingués dans quelques actions d’éclat. Comme nombre d’aviateurs engagés dans ce Second Conflit mondial, il fit son devoir de soldat et sa carrière fut courte. Elle mérite cependant d’être relatée car son destin est typique de celui de bien d’autres aviateurs méconnus, ces « invisibles » des guerres.

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