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Aérojournal n°48 - Aero Siluranti -
L'élite de la Regia Aeronautica
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L'élite de la Regia Aeronautica

Aérojournal n°48

Aero Siluranti

L'élite de la Regia Aeronautica

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Au sommaire du n°48 - Août/Septembre 2015

+ Aero Siluranti
L'élite de la Regia Aeronautica

+ Zerstörer
Messerschmitt Bf 110 C en opérations

+ Avions de combat français
Les Latécoère 52

+ Les traditions de l'armée de l'air
1912 - 1947

+ La 1. Wüstennotstaffel
Recherche et secours en mer... de sable

+ Ça l'affiche bien...
Les posters d'identification de l'aviation US

+ L'actualité de l'aéronautique
L'Armée de l'air indienne

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Au sommaire du n°48 - Août/Septembre 2015

+ Aero Siluranti

L'élite de la Regia Aeronautica

Si l’on excepte les corps expéditionnaires — dont l’efficacité est toujours inversement proportionnelle à la valeur symbolique — envoyés en Belgique et en Russie, et si l’on passe rapidement sur les opérations désordonnées en Afrique orientale et dans les Balkans, la Regia Aeronautica a fait porter son effort principal en Méditerranée et en Afrique du Nord. Malte a absorbé l’essentiel de l’énergie de l’aviation italienne, avec pour corollaire la volonté de transformer la Méditerranée en Mare Nostrum.

+ Zerstörer

Messerschmitt Bf 110 C en opérations

Un an : c’est ce qu’aura duré le moment de gloire de l’arme d’élite de la Luftwaffe : le Zerstörer. Dominateur en Pologne, le fer de lance de l’offensive aérienne allemande s’émousse en France avant de se briser net au‑dessus de l’Angleterre. La suite de sa carrière prouvera que la cause ne tenait pas aux qualités intrinsèques de l’appareil, mais à ses mauvaises conditions d’emploi.

+ Avions de combat français

Les Latécoère 52

L'histoire des Latécoère 521, 522 et 523 permet de fondre en un seul article notre longue saga des avions de combat français et notre rubrique sur les « monstres marins ».
Tout commence avec le Laté 520, un hydravion commercial à long rayon d’action dont la construction est initiée en 1931. Elle est rapidement abandonnée, parce que l’appareil devait être équipé de quatre moteurs en ligne HS 18sbr de 1 000 ch, que le motoriste a renoncé à développer.
Devant se rabattre sur des modèles de plus faible puissance (HS 12 Ybrs de 860 ch), le constructeur est contraint à en monter six (dont deux propulsifs pour minimiser la traînée) dans une cellule révisée au niveau des ailes et de l’empennage arrière.

+ Les traditions de l'armée de l'air

1912-1947

Les traditions de l’armée de l’Air et la manière dont elles se sont perpétuées après la Première Guerre mondiale constituent un vaste sujet de perplexité pour nos amis britanniques et américains. Nous ne sommes pas sûrs, d’ailleurs, que tous les lecteurs français s’y retrouvent mieux. Nous allons tenter d’éclairer leur lanterne.

+ La 1. Wüstennotstaffel

Recherche et secours en mer... de sable

De nombreuses unités marginales, mais néanmoins fascinantes, ont pris part au conflit en Afrique du Nord entre 1941 et 1943, mais l’une des plus captivantes est sans nul doute la 1. Wüstennotstaffel (escadrille de sauvetage dans le désert) de la Luftwaffe. Ses Fieseler Fi 156 Storch ont rendu au Generalfeldmarschall Erwin Rommel bien d’autres services que celui pour lequel cette escadrille unique en son genre avait été formée à l’origine : évacuation de blessés du front, transport de VIP, de troupes et de ravitaillement, reconnaissances armées et même affrontements directs avec les unités d’élite des forces britanniques, le SAS (Special Air Service) et le LRDG (Long Range Desert Group).

+ Ça l'affiche bien...

Les posters d'identification de l'aviation US

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, l’entraînement des aviateurs américains comportait une phase au cours de laquelle les hommes apprenaient à identifier les silhouettes des avions ennemis et alliés en tenant compte de la vitesse à laquelle ils devaient prendre ou non la décision de faire feu. En pleine action, c’est très souvent celui qui tire le premier qui a la vie sauve [1]. Ouvrir le feu à bon escient est donc essentiel, d’autant que beaucoup d’avions amis et ennemis se ressemblaient étrangement — et parfois tragiquement.

+ L'actualité de l'aéronautique

L'Armée de l'air indienne

L’Inde, en tant que puissance militaire, doit concilier menaces internes et externes. L’influence coloniale britannique a formaté son outil militaire, dont son armée de l’Air. Créée officiellement en 1932 comme force auxiliaire au sein des armées de l’Empire britannique, elle devient Indian Air Force (IAF) au moment de l’indépendance du pays en 1947 et a depuis participé à quatre guerres (avec le Pakistan et la Chine), trois interventions majeures (à Goa et au Sri Lanka, « libération » du Bangladesh) et à des opérations de maintien de la paix avec les Nations Unies ou encore à l’évacuation de ressortissants indiens (et d’autres pays) coincés par les combats au Yémen en avril 2015. Cette dernière étant la première « opération extérieure » importante de l’IAF depuis sa création, malgré des interventions limitées au Congo, aux Seychelles et aux Maldives.