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Aérojournal n°43 - BANZAI ! - 1937 - 1945 Les AS de l'armée impériale Japonaise
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Aérojournal n°43

BANZAI !

Les AS de l'armée impériale japonaise - 1937-1945

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Au sommaire du n°43 - Octobre/Novembre 2014

+ BANZAI !
1937 - 1945 Les AS de l'armée impériale japonaise

+ Loire 130
Les avions de combat français 1939 - 1945

+ Des raids civils aux raids militaires
L'influence des compétitions civiles sur la 2de Guerre mondiale

+ Don't fly for me Argentina !
Les ingénieurs allemands en Amérique du Sud

+ La Wilde Sau en France
Le I./JG 301 pendant l'été 1944

+ Les Marauder du Pacifique
Le Martin B-26

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Au sommaire du n°43 - Octobre/Novembre 2014

+ BANZAI !

1937 - 1945 Les AS de l'armée impériale japonaise

Dans une nation où l’individu n’existe pas en tant que tel, car fondu dans la masse des combattants dont le seul et unique but est de servir l’empereur au mépris de sa propre vie, la notion d’as, à la mode occidentale, est totalement inconnue. Les victoires aériennes sont rarement répertoriées de manière individuelle, et les meilleurs pilotes n’ont généralement droit à une reconnaissance officielle qu’à titre posthume. Dans ces conditions, tenter de dresser un palmarès des grands as japonais se heurte à la difficulté de quantifier leurs succès. C’est même en totale contradiction avec la culture nippone de l’époque.

+ Loire 130

Les avions de combat français 1939 - 1945

Depuis la fin des années vingt, les cuirassés et croiseurs de la Marine nationale sont équipés de catapultes permettant l’utilisation d’hydravions pour la surveillance et le réglage de l’artillerie. Dès 1930, l’Amirauté songe à remplacer les Potez 452 et Gourdou-Leseurre, qui servent alors dans ce rôle. En raison de divers amendements, et peut-être de soucis budgétaires, le cahier des charges n’est définitivement arrêté qu’en décembre 1933. Il porte sur un hydravion aux ailes repliables, d’un encombrement limité (moins de 11 m de longueur), pouvant tenir l’air pendant cinq heures et amerrir par « fort clapotis » ; suit un certain nombre d’exigences en termes de performances.

+ Des raids civils aux raids militaires

L'influence des compétitions civiles sur la 2de Guerre mondiale

la suite des combats héroïques des as durant la Grande Guerre, et alors qu’un véritable culte de la vitesse mécanique s’empare des sociétés occidentales, l’aviation connaît une forte expansion technologique et industrielle dans l’entre-deux-guerres. Les compétitions et grands raids aériens, témoignant de cet engouement nouveau, deviennent aussi un enjeu stratégique pour les grandes puissances.

+ Don't fly for me Argentina !

Les ingénieurs allemands en Amérique du Sud

Après la Seconde Guerre mondiale, de nombreux pilotes, ingénieurs et scientifiques allemands émigrent en Amérique du Sud, plus particulièrement en Argentine, où ils se voient offrir l’opportunité de poursuivre leurs activités afin d’y développer une industrie aéronautique et une force aérienne modernes.

+ La Wilde Sau en France

Le I./JG 301 pendant l'été 1944

Alors que s’engage, le 6 juin 1944, la décisive bataille de Normandie, c’est paradoxalement dans les jours qui ont précédé le débarquement des Alliés sur les plages de la Manche que s’est décidé en Allemagne le transfert d’un groupe de chasse de nuit pour le moins original, puisque ses pilotes opèrent sur des Messerschmitt Bf 109 G, des chasseurs monomoteurs !

+ Les Marauder du Pacifique

Le Martin B-26

Très décrié à ses débuts et baptisé de surnoms peu flatteurs, comme le « faiseur de veuves » ou la « prostituée volante », à cause d’un taux d’accidents alarmant qui manquera de mettre un terme prématuré à sa carrière, le Martin B‑26 Marauder restera dans l’ombre de son concurrent direct, le North American B‑25 Mitchell, qui le supplantera en grande partie. Pourtant, il sera le bombardier moyen allié qui connaîtra le taux de pertes le plus faible au combat.