Aérojournal n°29
Les briseurs de barrage
« Après eux, le déluge »
EPUISE !
Au sommaire du n°29 - Juin/Juillet 2012
+ Les briseurs de barrage
« Après eux, le déluge »
+ Le Nakajima A6M2-N « Rufe »
Les petits Zéro qui vont sur l'eau
+ Tragédie antiqu
Insolite
+ Jagdgeschwade
Les escadres de chasse de la Luftwaffe - 4e partie
+ Les avions de combat françai
Le Bloch MB.200
+ Les Aero MB.200..
...tchécoslovaques
Au sommaire du n°29 - Juin/Juillet 2012
+ Les briseurs de barrages
« Après eux, le déluge »
Le raid lancé par le Bomber Command contre les barrages allemands, dans la nuit du 16 au 17 mai 1943, reste l’une des opérations les plus audacieuses de la Seconde Guerre mondiale. Le succès fut attribuable tant à l’entêtement d’un ingénieur, qui contre vents et marées surmonta tous les obstacles bureaucratiques et techniques, qu’à l’engagement d’une unité d’élite, spécialement formée pour cette mission. Mais les résultats furent-ils vraiment à la hauteur des espérances ?
+ Le Nakajima A6M2-N « Rufe »
Les petits Zéro qui vont sur l'eau
Sachant qu’une hydrobase est plus simple et plus rapide à construire qu’un aérodrome dans les îles du Pacifique les plus reculées et que ses porte-avions ne sauraient avoir le don d’ubiquité, l’état-major de la Marine impériale s’intéresse à un hydravion de chasse destiné à couvrir les débarquements amphibies. Elle sera la seule à mettre en oeuvre un appareil de ce type de toute la Seconde Guerre mondiale.
+ Tragédie antique
Insolite
L’un des attelages les plus insolites qu’il ait été donné de voir dans le domaine de l’aviation entre les deux
guerres mondiales est sans conteste le Short Mayo Composite. Notre regard d’aérophiles du XXIe siècle, habitué à voir la navette Columbia arrimée sur le toit d’un Boeing 747, peut faire passer ce composite comme anecdotique, mais, à cette époque, un petit quadrimoteur monté sur le dos d’un gros hydravion semblait révolutionnaire sinon incongru.
+ Jagdgeschwader
Les escadres de chasse de la Luftwaffe - 4e partie
Retracer l’historique des Jagdgeschwader de la Luftwaffe présente une difficulté majeure : ces escadres sont tout sauf homogènes. À l’inverse de leurs équivalents britanniques et américains, elles ne constituent pas des groupements tactiques, car cette responsabilité est confiée à un échelon supérieur (Fliegerkorps et Fliegerdivision). La Geschwader est même souvent dessaisie de la gestion administrative de « ses » Gruppen. Même le Gruppe, qui représente l’unité de base de la chasse allemande, voit parfois ses Staffeln éclatées sur différents aérodromes, voire former des détachements sur d’autres théâtres d’opérations. Il n’est pas rare qu’un Gruppe se batte en Russie, un autre en France et le troisième en Méditerranée. Le contrôle que pouvait exercer le Geschwaderkommodore sur ses groupes était alors purement théorique. D’ailleurs, dans certains cas, celui-ci s’est contenté de commander... son propre Stab.
La Geschwader n’est qu’une réminiscence du temps de paix, où tout était propre et carré, où tous ses groupes stationnaient sur la même base. La guerre sur plusieurs fronts perturbera cette belle ordonnance, au point que l’on peut se poser la question de l’utilité de ce type d’organisation.
+ Les avions de combat français
Le Bloch MB.200
En 1928, un premier programme portant sur un bombardier lourd diurne et nocturne à cinq places (B5/Bn5) est lancé pour pourvoir au futur remplacement des LeO 20. Ce programme est modifié à deux reprises, en 1930 et en 1932, et entrera finalement dans le cadre du Plan I, autorisé en juin 1933.[...] Plusieurs candidats sont en lice, et le projet de la firme Marcel Bloch est retenu, mais en tant que B4/Bn4 (c’est-à-dire quadriplace). Ce projet, baptisé MB.200, est l’oeuvre du bureau d’études dirigé par Maurice Roussel.
+ Les Aero MB.200...
...tchécoslovaques
Construit sous licence en Tchécoslovaquie, l’Aero MB.200 n’entre en service qu’en 1937, époque à laquelle il est déjà considéré comme périmé. Néanmoins, il joue un rôle important pour la mise en oeuvre d’une composante de bombardement lourde au sein de l’aviation tchécoslovaque. Il ne sera employé opérationnellement qu’entre septembre et novembre 1938, lors de l’annexion des Sudètes par le III. Reich,
et terminera sa carrière dans les écoles de la Luftwaffe.