Aérojournal n°14

Au sommaire du n°14 - Février/Mars 2010

+ L'aviation au Maroc

Un rôle essentiel

Dans un pays au relief tourmenté et face à des tribus rebelles très mobiles, l’aviation va tenir un rôle essentiel dans la pacification du Maroc, le maintien de l’ordre et le ravitaillement des postes avancés.

+ Les avions de combat français

L’Amiot 351/354

Lorsque, au Salon de l’Aéronautique à Paris, en 1937, la SECM (Société d’emboutissage et de constructions mécaniques) présente la maquette grandeur nature de son « avion postal », baptisé Amiot 341, peu de spécialistes sont dupes quant à la véritable nature de l’appareil, ne serait-ce que par la présence de larges portes sous le fuselage qui n’ont, selon toute vraisemblance, pas été prévues pour larguer des sacs de courrier. En revanche, tous admirent la ligne épurée et futuriste de l’appareil, dont le constructeur assure qu’il peut franchir 2 000 km à la vitesse de croisière de 425 km/h avec une charge « commerciale » de 1 500 kg...

+ La saga des marques

I – RAF & USAAF

Identifier les avions en une fraction de seconde, quand le temps de réaction des défenses est de plus en plus court, c’est la raison principale de la mise en oeuvre de marques spécifiques, plus visibles que les cocardes et même, parfois, un peu trop.

+ Focke-Wulf FW 200 Condor

Le fléau de l'Atlantique

Face au besoin pressant d’un avion de reconnaissance maritime au profit des U-Boote, la Luftwaffe se rabat sur la militarisation d’un quadrimoteur civil. Avion fragile, disponible en quantité ridiculement faible, le Condor va pourtant devenir pour les Alliés « le fléau de l’Atlantique ».

+ Le Renard et les Sioux

Le Renard R.31

Seul avion de conception belge à participer aux combats de mai-juin 1940, le Renard R.31 est alors complètement dépassé. Ses équipages n’en affronteront pas moins avec courage les Messerschmitt, la Flak et... les tirs fratricides.

+ La défense du Reich

Cinquième époque : Le crépuscule des aigles

« Tous les matins, nous, les pilotes, prenions le petit-déjeuner ensemble et c’était à ce moment-là qu’arrivaient les pilotes de renfort. Les vieux pilotes regardaient ces jeunes hommes comme s’ils n’avaient plus que quelques jours à vivre – non sans raison. »
Oberfähnrich Hans-Ulrich Flade, III./JG 27.

+ Chroniques : Il y a 70 ans

La Guerre aérienne