Aérojournal HS n°7
Spitfire sur l'Europe
Les machines, les unités, les hommes / 1936 - 1945
EPUISE MAIS DISPONIBLE AU FORMAT NUMERIQUE :
Le Spitfire a été construit à quelque 22 500 exemplaires, toutes versions, variantes et dérivés confondus. Il a combattu sur tous les théâtres d’opérations de la Seconde Guerre mondiale, de l’Europe occidentale à l’Extrême-Orient, en passant par la Méditerranée, l’Afrique du Nord, l’océan Arctique et les Balkans, du 3 septembre 1939 au 15 août 1945. Il y a affronté les trois puissances de l’Axe : l’Allemagne, l’Italie et le Japon, ainsi que leurs alliés. Plus de 150 unités en ont été équipées à un moment ou à un autre. Il a été utilisé comme intercepteur, chasseur de V1, chasseur-bombardier et avion de reconnaissance photo.
Spitfire sur l'Europe
Le Spitfire a été construit à quelque 22 500 exemplaires, toutes versions, variantes et dérivés confondus. Il a combattu sur tous les théâtres d’opérations de la Seconde Guerre mondiale, de l’Europe occidentale à l’Extrême-Orient, en passant par la Méditerranée, l’Afrique du Nord, l’océan Arctique et les Balkans, du 3 septembre 1939 au 15 août 1945. Il y a affronté les trois puissances de l’Axe : l’Allemagne, l’Italie et le Japon, ainsi que leurs alliés. Plus de 150 unités en ont été équipées à un moment ou à un autre. Il a été utilisé comme intercepteur, chasseur de V1, chasseur-bombardier et avion de reconnaissance photo.
C’est dire si le pari de résumer la carrière de cet appareil en 144 pages apparaissait comme une gageure. Nous avons donc été obligés de limiter notre champ d’étude à l’Europe de l’Ouest. D’autre part, seules ont été considérées les unités ayant dépendu de la RAF, ce qui exclut les versions navales réservées à la Fleet Air Arm et les formations américaines placées sous le contrôle de l’USAAF. Nous avons volontairement écarté les unités françaises que nous réservons à un hors-série ultérieur.
Face à cette imposante pelote de laine, il n’a pas été facile de choisir le bout de fil que nous devions tirer. Nous avons donc opté pour un traitement version par version pour la partie technique, puis par grandes périodes pour la partie opérationnelle, sachant qu’il n’était pas possible de passer en revue toutes les unités engagées, dans la mesure où les archives les traitent de manière inégale. Comme le format ne nous permettait pas une étude exhaustive, nous nous sommes attachés à mettre l’accent sur des actions et des opérations significatives.