Batailles & Blindés n°76
Opération "Market-Garden"
La dernière victoire des Panzer à l’Ouest
Au sommaire du n°76 - Décembre 2016-Janvier 2017
+ Opération « Market-Garden »
La dernière victoire des Panzer à l’Ouest
+ Blitzkrieg à l’italienne !
Le Regio Esercito dans la campagne de Yougoslavie
+ Königsberg, 1945
L’adieu à la vieille Prusse
+ Hans Bunzel & Günter Klappich
Duo d’enfer
+ 2 + 2 = 2
Ardennes 1944 : la mort de la 2. Panzer-Division à Celles
+ Chasse dans le bocage !
Langanke face aux Sherman à Raids
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Au sommaire du n°76 - Décembre 2016-Janvier 2017
+ Blitzkrieg à l’italienne !
Le Regio Esercito dans la campagne de Yougoslavie
Renvoyé dans les cordes par l’Armée grecque après son offensive calamiteuse d’octobre-novembre 1940 depuis la frontière albanaise, le Regio Esercito est secouru au printemps 1941 par une Wehrmacht contrainte de sécuriser les Balkans avant de se lancer à l’assaut de l’URSS. Objectif : occuper la Grèce et châtier la Yougoslavie qui a refusé les avances du Führer.
En avril 1941, les divisions blindées italiennes « Littorio » et « Centauro » sont en pointe de l’offensive lancée en Istrie et sur la côte dalmate, pour ce qui ne sera autre qu’un succès de prestige.
+ Königsberg, 1945
L’adieu à la vieille Prusse
Königsberg, capitale de la Prusse-Orientale, mais « bastion du militarisme prussien », « coeur de l’impérialisme germanique », « sanctuaire de la clique des généraux allemands » pour les Soviétiques, constitue, au début de l’année 1945, une épine dans le flanc de l’Armée rouge avant son offensive finale sur Berlin. C’est la raison pour laquelle Staline consacre d’importants moyens à la prise de la cité allemande que la garnison de la Wehrmacht défend, tout l’hiver et jusqu’en avril, avec quelques Panzer et StuGe, avec l’énergie du désespoir.
+ Opération « Market-Garden »
La dernière victoire des Panzer à l’Ouest
Comment autant d’erreurs et d’approximations ont-elles pu être commises à un stade aussi crucial de la guerre alors que la victoire semblait à portée de main des Alliés ? En septembre 1944, Montgomery obtient carte blanche d’Eisenhower pour une vaste opération aéroterrestre sur l’axe Eindhoven–Arnhem afin de s’ouvrir un itinéraire de débordement par le nord de la Ruhr. L’offensive, mal préparée, mal exécutée, sous-estimant la présence de deux divisions SS en cours de reconstitution sur la route choisie, va se révéler être le pire fiasco des Alliés de la Libération.
+ Hans Bunzel & Günter Klappich
Duo d’enfer
Percer un front tenu par des chars moyens T-34/76 avec un Panzer III notoirement dépassé, conquérir de vive force un village fortifié par des fusiliers russes déterminés, attaquer bille en tête pour prendre de vitesse des pionniers soviétiques sur le point de dynamiter un barrage, le tout dans une tempête de neige glaciale ! Voilà les faits d’armes qu’a accomplis le duo de choc constitué par l’Oberfeldwebel Hans Bunzel et l’Oberleutnant Günter Klappich en ce mois de janvier 1943.
+ 2 + 2 = 2
Ardennes 1944 : la mort de la 2. Panzer-Division à Celles
Échouer à six kilomètres de la Meuse à deux jours de Noël, tel est le funeste destin de la 2. Panzer-Division durant l’offensive des Ardennes. Mais le pire l’attend encore lorsque son homologue américaine, la 2nd Armored Division, déboule à toute vitesse par le nord et isole ses deux principales Kampfgruppen. La bataille qui s’ensuit se solde par un désastre aussi significatif pour les Allemands que l’est la destruction de la Kampfgruppe « Peiper » davantage au nord, à Stavelot-La Gleize. Retour sur le coup d’arrêt définitif porté à l’opération « Herbstnebel ».
+ Chasse dans le bocage !
Langanke face aux Sherman à Raids
Moins connu que Michael Wittmann, Fritz Langanke est pourtant l’un des as de Panzer les plus prolifiques de la bataille de Normandie. À bord de son Panther du SS-Panzer-Regiment 2 « Das Reich », il signe en effet de retentissants succès tactiques face aux Américains dans le bocage. Tel celui de Raids, en juillet 1944, lorsque sa section s’oppose à une offensive américaine et détruit coup sur coup plusieurs Sherman ayant réussi à percer les lignes de la division.
Langanke en personne livre son témoignage via Stephan Cazenave.