Batailles & Blindés
Batailles et Blindés n°75 : La bataille de chars de Debrecen – Octobre 1944
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Batailles & Blindés n°75

La bataille de chars de Debrecen

Dernier choc blindé à l'Est

Au sommaire du n°75 - Octobre-Novembre 2016

+ Dernier choc blindé à l’Est
La bataille de chars de Debrecen – Octobre 1944

+ La Kampfstaffel « Rommel »
La garde rapprochée du « Renard du désert » au combat

+ La Bären-Panzer-Division
Les « ours » de la Panzerwaffe

+ Le premier grand combat de chars de la Seconde Guerre mondiale
Le corps de cavalerie affronte le XVI. Armee-Korps (mot.)

+ Premier coup d’éclat d’un as
Michael Wittmann à Moszkov

+ La guerre du Kagera
L’ultime bataille du « dernier roi d’Écosse »

+ Actu
Le matériel de l’Armée sud-coréenne

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Au sommaire du n°75 - Octobre-Novembre 2016

+ La Kampfstaffel « Rommel »

La garde rapprochée du « Renard du désert » au combat

La guerre du désert, propice à la capture d’états-majors à la faveur de lignes de front floues très mouvantes, impose à la Panzer-Armee « Afrika » la création d’unités de protection des commandements de l’armée et du Deutsches Afrika-Korps. Ces Kampfstaffel vont en fait davantage servir de « pompiers du front » en intervenant dans les secteurs chauds du champ de bataille et s’illustrer au cours des combats majeurs de la campagne d’Afrique du Nord. Benoît Rondeau analyse le rôle de la Kasta de la Panzer-Armee « Afrika ».

+ La Bären-Panzer-Division

Les « ours » de la Panzerwaffe

La 3. Panzer-Division est l’une des divisions blindées au parcours le plus remarquable de la Panzerwaffe. De l’invasion de la Pologne aux dernières offensives en Hongrie en passant par la bataille d’Hannut, la campagne de France, les combats du Caucase ou de Tcherkassy, sans oublier l’envoi de certains éléments en Afrique du Nord pour constituer le noyau de l’Afrika-Korps, elle perpétue bon nombre de traditions héritées de la Reichswehr. Vincent Bernard étudie pour nous cette « division de l’ours ».

+ Le premier grand combat de chars de la Seconde Guerre mondiale

Le corps de cavalerie affronte le XVI. Armee-Korps (mot.)

La bataille d’Hannut-Gembloux, qui oppose les 12 et 13 mai 1940 le corps de cavalerie français et le XVI. Armee-Korps (mot.) allemand en Belgique constitue la première grande bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale. Les combats acharnés que se livrent 2e et 3e DLM d’un côté, 3. et 4. Panzer-Divisionen de l’autre, consacrent la supériorité des armes françaises, mais la suprématie tactique totale des Allemands. Max Schiavon nous livre les secrets de cette bataille décisive de la campagne de l’Ouest.

+ Dernier choc blindé à l’Est

La bataille de chars de Debrecen – Octobre 1944

À l’automne 1944, l’Armée rouge, sous le commandement du maréchal Malinovsky, exploite les renversements d’alliance qui agitent les Balkans pour percer en Hongrie. De son côté, la Heeresgruppe « Süd » prend l’initiative d’un bond en avant censé préserver le sol magyar, dernier allié du Reich, de l’invasion soviétique. Ce combat de rencontre donne lieu à la dernière grande bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale. Durant tout le mois d’octobre, les Panzer et T-34/JS-2 s’affrontent dans des combats d’une violence inouïe.

+ Premier coup d’éclat d’un as

Michael Wittmann à Moszkov

La carrière de l’as des Panzer Michael Wittmann est connue, la narration de ses exploits avec les chars lourds Tiger de la « Leibstandarte », puis ceux de la schwere SS-Panzer-Abteilung 501, ayant contribué à forger la légende de ce tankiste hors pair. Ses faits d’armes à bord d’un Sturmgeschütz à l’été 1941, durant l’opération « Barbarossa », sont en revanche moins relatés. L’engagement de la cote 65,5, près de Moszkov, le 12 juillet, est pourtant celui qui le fait entrer dans le cercle très fermé des as du combat blindé.

+ La guerre du Kagera

L’ultime bataille du « dernier roi d’Écosse »

Fin 1978, non content de soumettre son peuple à la tyrannie et à d’innombrables purges, ayant réussi à se mettre la totalité de la communauté internationale à dos (à l’exception notable du colonel Kadhafi), le fantasque et sanguinaire dictateur ougandais Idi Amin Dada a le grand tort de lancer ses troupes dans la province tanzanienne du Kagera. Mal lui en prend, car la réaction énergique du président Nyerere, dont les forces armées sont nettement supérieures à celles de l’Ouganda, provoquera la chute du « dernier roi d’Écosse ».

+ Actu

Le matériel de l’Armée sud-coréenne