Batailles & Blindés
Batailles & Blindés n°73 : Le rapport Guderian
search
  • Batailles & Blindés n°73 : Le rapport Guderian

Batailles & Blindés n°73

Le rapport Guderian

Sur la bataille de Normandie

Normandie

Au sommaire du n°73 - Juin-Juillet2016

+ Dossier : Le rapport Guderian
sur la bataille de Normandie

+ Panzer à l'export !
Les blindés allemands de l'étranger

+ Au défaut de l'armure
La France avait-elle une chance de gagner en mai 1940

+ Chugata Sensha
Les chars moyens de l'Armée impériale japonaise

+ Ludwig Neig
L'autre tigre de Vitebsk

+ Blindorama
Irak & Transjordanie 1936-1945

+ Actu : Le matériel moderne de l'Armée norvégienne
L'Armée qui venait du froid

En savoir +

BB073
8,50 € Frais de port compris

Au sommaire du n°73 - Juin-Juillet2016

+ Dossier : Le rapport de Guderian

sur la bataille de Normandie

Après son éviction consécutive à l’échec allemand devant Moscou, Heinz Guderian est cantonné à son poste de Generalinspekteur der Panzertruppen. Sa voix se fait plus rare, alors qu’elle était l’une des plus écoutées durant les années fastes du Blitzkrieg. À la fin de la bataille de Normandie, pourtant, « Schneller Heinz » remet un rapport d’une extrême sévérité sur la conduite de la guerre mécanisée après l’invasion. Ce document inédit consacré au débarquement et à la guerre du bocage est ici analysé en détail.

+ Panzer à l'export !

Les blindés allemands de l'étranger

Les campagnes de la Panzerwaffe sur les différents théâtres d’opérations européens et africain durant la Seconde Guerre mondiale ont quelque peu occulté la part de chars retirée des chaînes de production à la demande de Berlin pour satisfaire les besoins de ses alliés ou attirer dans son orbite des États fortement courtisés pour des raisons d’ordre politique, diplomatique ou géostratégique. C’est ainsi que les chars allemands ont combattu sous diverses latitudes et sous bien des cocardes différentes !

+ Au défaut de l'armure

La France avait-elle une chance de gagner en mai 1940

Réputés disposer de la « meilleure armée du monde » en 1940, d’un nombre de chars supérieur à celui de la Wehrmacht, d’un parc de 400 000 véhicules, d’une ligne fortifiée parmi les plus puissantes de la planète, les Français disposaient d’atouts considérables à opposer aux Allemands au printemps 1940. Pourtant, très peu de choses ont fonctionné en mai 1940, et arrêter les Panzer-Divisionen s’est avéré impossible. Pourquoi ? L’Armée française aurait-elle pu faire autrement ? Hugues Wenkin répond à ces questions.

+ Chugata Sensha

Les chars moyens de l'Armée impériale japonaise

Initialement influencée par les expériences occidentales, l’Arme blindée japonaise voit son développement « contenancé » par des limites industrielles, la nature du terrain sur lequel elle doit opérer et la faiblesse de l’opposition adverse. Mais l’évolution de la guerre conduit les Japonais à améliorer leur gamme de chars moyens, avant tout dévolus à l’appui de l’infanterie, afin de répondre au défi technologique imposé d’abord par les Soviétiques dans le Nomohan, puis par les Américains dans le Pacifique. Une étude signée Adrien Fontanellaz.

+ Ludwig Neigl

L'autre tigre de Vitebsk

Commandant d’un chasseur de chars Nashorn, Ludwig Neigl marque l’année 1944 lorsque, à lui tout seul, il bloque une offensive soviétique visant à s’emparer d’un pont stratégique. Pour pouvoir stopper les myriades de T-34/76 qui déferlent sur les positions allemandes, il va devoir faire appel à tout son talent, alors qu’il est sur le point d’être démobilisé sur ordre du Führer, pour compenser le manque cruel d’expérience, et surtout les multiples bévues, des jeunes recrues qu’il doit encadrer en catastrophe !

+ Blindorama

Irak & Transjordanie 1936-1945

Le Proche-Orient des années 1930-40 est agité par de nombreux troubles politiques, l’implantation juive en Palestine et la présence franco-britannique dans la région étant très mal perçues par la population et les dynasties locales, tensions qui attisent directement le nationalisme arabe, phénomène que les puissances coloniales européennes domptent avec plus ou moins de réussite au cours de la Seconde Guerre mondiale.

+ Actu : Le matériel moderne de l'Armée norvégienne

L'Armée qui venait du froid

Compte tenu de sa population (5 189 435 habitants), la Norvège est dotée d’une armée relativement puissante (Main Battle Tanks Leopard 2, canons automoteurs M109, véhicules de combat d’infanterie CV9030…). Depuis la chute du Mur de Berlin, Oslo réduit ses efforts militaires (La part du PIB accordée à la défense s’élève à 1,6 %), et les effectifs de la Hæren (Armée norvégienne) ont fortement décru, avec 25 000 soldats, dont 9 000 conscrits. Malgré tout, elle cherche à conserver son savoir-faire dans le domaine de la guerre mécanisée en alignant des matériels modernes qu’elle tente de maintenir à niveau en dépit de la baisse constante des budgets de la Défense. Panorama des principaux équipements de la Hæren.

Vous aimerez aussi :