Batailles & Blindés
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Batailles & Blindés n°118

La "Feldherrnhalle" dans l'enfer de Budapest

Décembre 1944

Au sommaire du n°118 - Février/Mars 2024

+ « Barbarossa » : l’Armée rouge contre-attaque
Opérations utiles ou futiles ? (Partie 2)

+ Narvik : la première défaite allemande

+ Desserrer l’étau allemand !
L’opération Leningrad – Novgorod

+ T-26 contre Beute
La dernière bataille de chars en Finlande

+ La « Feldherrnhalle » face à l’Armée rouge
Budapest, décembre 1944

+ La tourelle monoplace : un non-sens français

+ « Ma chance tiendra-t-elle ? »
Un tankiste britannique dans l’enfer normand

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Au sommaire du n°118 - Février/Mars 2024

+ « Barbarossa » : l’Armée rouge contre-attaque

Opérations utiles ou futiles ? (Partie 2)

Alors que les contre-attaques soviétiques au nord de l’immense front de l’Est sont déjà nombreuses et furieuses, les Heeresgruppen Mitte et Sud vont aussi faire face à des contre-offensives menées par des corps blindés ennemis. Les Allemands vont en effet avoir fort à faire avec les unités mécanisées de l’Armée rouge qui vont tenter, par tous les moyens, de protéger Smolensk. Plus au sud, une bataille gigantesque, la plus grande bataille de chars du début de cette nouvelle campagne allemande, va avoir lieu dans le «triangle sanglant» Doubno-Rovno-Brody, dans lequel 728 Panzer vont affronter cinq corps mécanisés soviétiques.

+ Narvik

La première défaite allemande

Qui se souvient véritablement de la bataille de Narvik en avril 1940 ? Ce véritable « front oublié », relégué aux oubliettes de l’Histoire par le séisme de la campagne de France, est pourtant à contrepied du désastre franco-britannique de ce printemps 1940. Alors que les deux camps sont en guerre depuis plusieurs mois, c’est sur la côte norvégienne que les Alliés vont affronter pour la première fois les Allemands – et en ressortir vainqueurs. Mais le déclenchement de l’invasion de la France va mettre un coup d’arrêt à cette campagne et forcer les Franco-britanniques à se retirer afin de défendre le territoire national…

+ Desserrer l’étau allemand !

L’opération Leningrad-Novgorod

Saint-Pétersbourg, Petrograd, Leningrad… Trois noms pour la deuxième plus grande ville russe, à la fois capitale de l‘empire Romanov et berceau de son avatar soviétique. En 1944, la levée de son siège revêt une importance tellement cruciale dans l’esprit de Staline qu’elle prend le pas sur les opérations bien plus spectaculaires de reconquête de l’Ukraine entamées vingt jours plus tôt. Avec à la clé un enjeu de taille : soulager une population réduite depuis plus de deux ans aux dernières extrémités.

+ T-26 contre Beute

La dernière bataille de chars en Finlande

En ce début d’octobre 1944, la petite ville de Tornio, installée sur une île fluviale (sur le Torne) au sud-ouest de la Laponie et non loin de la frontière suédoise, voit sa quiétude bouleversée par l’arrivée de plusieurs navires déchargeant des soldats finlandais. Quelques heures plus tard, voilà que des bruits de chenilles et de véhicules à moteur font leur apparition, tandis que l’enfer semble se déchaîner dans la campagne environnante. Alors que les Finlandais ont déclaré la guerre à l’Allemagne nazie après la signature du traité de Moscou, les deux anciens alliés vont devoir s’affronter dans cette région perdue du fond du golfe de Botnie… C’est donc sous ces latitudes septentrionales que la dernière bataille de chars de Finlande aura lieu, opposant T-26 finnois aux Beute de la Panzer-Abteilung 211.

+ La « Feldherrnhalle » face à l’Armée rouge

Budapest, décembre 1944

Cet article est basé sur un cas concret émanant d’un long rapport soviétique recensant plusieurs opérations et leurs analyses après combat, destiné aux officiers des formations blindées de l’Armée rouge. Il est intéressant de croiser un de ces cas concrets avec la vision allemande lors de cette offensive sur Budapest en décembre 1944. À ce sujet, les archives sont rares. Celles du III. Panzerkorps, de la Panzergrenadier-Division « Feldherrnhalle » et de la 13. Panzer-Division, principales unités engagées dans ce secteur, ont totalement disparu. Néanmoins, les rapports journaliers et les annexes du Heeresgruppe Süd et de l’Armeeoberkommando « Fretter Pico » (Aok.6) sont bien présents pour cette période, permettant de donner une idée précise de la situation autour de la capitale hongroise.

+ La tourelle monoplace

Un non-sens français

Le choix français des tourelles monoplaces est l’une des critiques les plus courantes à propos de l’ergonomie des chars français en 1940. « Pas de radio, des tourelles monoplaces, une consommation de carburant trop importante ! ». Si l’argument des moyens radios ainsi que la consommation d’essence peut se défendre, il est irréfutable que la tourelle monoplace est un véritable handicap ergonomique. Retour sur un matériel qui a fait couler beaucoup d’encre !

+ « Ma chance tiendra-t-elle ? »

Un tankiste britannique dans l’enfer normand

La bataille de Normandie, à l’été 1944, sonne le retour des combats sur le sol français – mais aussi de l’horreur de ces derniers, notamment à cause de la topographie. Aussi bien dans leurs témoignages que dans leurs mémoires, des soldats des deux camps souligneront le caractère terrible de cette campagne, avec les bombardements massifs alliés d’un côté et les embuscades allemandes de l’autre. Parmi ces voix parfois oubliées, celle de Stuart Hills a longtemps été la plus connue au Royaume-Uni. Engagé dès sa vingtième année, le Second Lieutenant Hills combat à l’été 1944 au sein du 1st Nottinghamshire (Sherwood Rangers) Yeomanry, à la tête du 4 Troop, C Squadron. Affecté à la 8th Armoured Brigade en charge de rompre les lignes allemandes lors de l’opération «Bluecoat», Hills va livrer l'un des témoignages les plus importants de la bataille de Normandie.

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