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Batailles & Blindés n°119

Rommel : génie ou imposteur ?

Au sommaire du n°119- Avril/Mai 2024

+ Blindorama : L’armée française en pleine mutation

+ Fury Road !
Des Panther et des flammes

+ Rommel : Génie ou imposteur ?

+ Le canon de 25 mm au combat
Correct, mais peut mieux faire !

+ Terrible été
Un SS à Koursk !

+ Opération « Jupiter »
Une victoire sans le nom

+ Exilés, mais pas vaincus !
Les Tchécoslovaques dans l’Armée rouge, 1942-1945

+ Les prototypes du Tiger II
Un début de production difficile

+ Actualités

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Au sommaire du n°119- Avril/Mai 2024

+ Blindorama : L’armée française en pleine mutation

Depuis le début du XXIe siècle, l’Armée française ne cesse d’étoffer ses matériels afin de s’adapter aux nouvelles problématiques du champ de bataille. Alors que certains engins ont vu le jour lors de la Guerre froide (comme le VAB), d’autres sont résolument modernes et adaptés aux nouveaux besoins de notre armée. À travers ces pages, il sera surtout question de traiter les matériels qui vont former le visage de l’Armée française de demain, alors que les tensions mondiales n’ont jamais été aussi fortes. 

+ Fury Road !

Des Panther et des flammes

Fin 1944-début 1945, après l’échec de l’offensive des Ardennes et des tentatives de relève de la garnison de Budapest (les opérations « Konrad »), le III. Reich est définitivement aux abois. Dans leurs locaux, les firmes industrielles allemandes continuent toutefois de plancher sur de nouveaux systèmes d’arme – allant du plus avancé technologiquement à l’ersatz imposé par les pénuries – en mesure d’accroître le potentiel des Panzer sur le champ de bataille. Et force est de reconnaître que certains demeurent bien mystérieux !

+ Rommel

Génie ou imposteur ?

Parmi les grandes figures de la Wehrmacht, Rommel est probablement le personnage le plus complexe à analyser tant les subtilités de sa personnalité et de son parcours sont difficiles à discerner. Alors que nous allons de nouveau voir surgir son nom dans les médias à l'occasion du 80e anniversaire du Débarquement et de sa mort « socratique » en octobre prochain, il est temps de revenir sur son parcours pour tenter de répondre à cette question centrale : était-il le génie dépeint par tous, y compris ses adversaires britanniques, ou un imposteur ?  

+ Le canon de 25 mm au combat

Correct, mais peut mieux faire !

La Première Guerre mondiale a vu de nombreuses innovations pour ne pas dire de profondes ruptures en matière militaire, notamment l’apparition de l’aviation et des chars. Et aussitôt les belligérants ont mis au point des armes permettant de lutter contre les engins volants et les véhicules blindés. En 1918, deux canons (de calibre 75 mm et 37 mm) sont employés contre ces derniers. Durant les années 1920, il apparaît prévisible que les automitrailleuses et les chars sont appelés à se développer, à gagner en protection et en efficacité. Même si la possession de ces engins a été interdite aux Allemands par le traité de Versailles, l’état-major se montre, à raison, méfiant et se préoccupe de ce danger grandissant. C’est dans ce cadre que va voir le jour le canon de 25 mm. Après un rappel de l’historique de sa conception, nous nous attacherons à présenter ses caractéristiques, son industrialisation, sa doctrine d’emploi et, surtout, le retour d’expérience des combattants après la bataille de mai-juin 1940.

+ Terrible été

Un SS à Koursk !

En juillet 1943, alors que le saillant de Koursk est transformé en enfer de feu et d’acier, les hommes du II. SS-Panzerkorps se préparent à ce qui va devenir le plus grand choc de blindés de l’Histoire près du petit village de Prokhorovka. Or, si les récits d’affrontements dantesques entre Tiger I des SS et T-34 soviétiques vont retenir l’attention, ceux des fantassins, « simples » hommes perdus entre les machines d’acier, seront pendant longtemps mis de côté. Et les belligérants l’ont plus ou moins compris depuis la Grande Guerre : sans infanterie, le char est exposé, et c’est bien ce tandem qui remporte des batailles. Plongée dans l’enfer de l’Ostfront avec Erwin Bartmann, de la 1. SS-Panzer-Division « Leibstandarte-SS Adolf Hitler » !

+ Opération « Jupiter »

Une victoire sans le nom

Début juillet 1944, Caen est toujours entre les mains des Allemands, bien qu’elle soit en passe d’être réduite à l’état de champs de ruines. Cette situation est alors une des plus précaires pour les Alliés ayant débarqué début juin sur les côtes normandes : le flamboyant Montgomery ne s’était-il pas vanté de parader très rapidement dans la capitale normande une fois ses troupes à terre ? Un mois plus tard, les Britanniques sont loin d’entrer dans la ville, fortifiée notamment par des unités du II. SS-Panzerkorps rameuté à la hâte. Montgomery et ses subordonnés vont alors monter une série d’opérations visant à réduire petit à petit la garnison allemande dans Caen – mais surtout à débloquer la situation dans ce qui se transforme en un bourbier normand pour les soldats de Sa Majesté…

+ Exilés, mais pas vaincus !

Les Tchécoslovaques dans l’Armée rouge, 1942-1945

En 1939, l’armée tchécoslovaque est dissoute après l’invasion de la Bohême et de la Moravie par la Wehrmacht. La Slovaquie forme une armée nationale. Pourtant, comme pendant la Première Guerre mondiale, les Tchécoslovaques, partisans d’un État démocratique et allié aux Nations Unies, seront de tous les combats sur tous les fronts : au Royaume-Uni, en Afrique du Nord, mais aussi en Russie, où l’Armée rouge va former un corps d’armée tchécoslovaque pour lutter à ses côtés.

+ Les prototypes du Tiger II

Un début de production difficile

+ Actualités

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