Batailles & Blindés
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Batailles & Blindés n°125

La bataille de Berlin

Les ultimes questions

Au sommaire du n°125 - Avril/Mai 2025

+ Blindorama Grèce 
Une guerre possible avec la Turquie ?

+ Ralf Tiemann
Un as des Panzer à l’état-major de la « Leibstandarte »

+ Dossier : La bataille de Berlin, les ultimes questions

+ Orage d’acier sur Guadalcanal
Baptême du feu pour les chars des Marines

+ Tank contre Tank
« Qui avait la plus grosse ? »

+ Actualités

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Au sommaire du n°125 - Avril/Mai 2025

+ Blindorama Grèce 

Une guerre possible avec la Turquie ?

+ Ralf Tiemann

Un as des Panzer à l’état-major de la « Leibstandarte »

Célèbre pour ses travaux de plume, y compris sa prose de mémorialiste, Ralf Tiemann l'est, en revanche, beaucoup moins pour ses faits d'armes, notamment ses exploits à la tête de divers Panzergruppen, ainsi que pour son implication dès janvier 1942 dans le processus de création et de développement de la SS-Panzer-Abteilung «Leibstandarte-SS Adolf Hitler», une unité qui servit de noyau au SS-Panzer-Regiment 1, engagé au feu, pour la première fois, lors de la troisième bataille de Kharkov, en février-mars 1943, et qui s'illustra, ensuite, pendant la bataille de Koursk, trois mois plus tard.

+ Dossier : La bataille de Berlin, les ultimes questions

La bataille pour Berlin représente le dernier acte de la guerre en Europe occidentale. Alors que les Alliés occidentaux traversent l’Allemagne, les Soviétiques s’élancent, à la mi-avril (et après une longue pause), pour le dernier saut devant les mener jusqu’à la capitale allemande. L’heure est à la progression sans répit : Joukov et Koniev sont mis en concurrence par Staline pour terminer cette guerre le plus vite possible… Pour le III. Reich et ses derniers défenseurs, la bataille est perdue d’avance mais va entrer dans l’Histoire….

1) Wenck, Busse, Steiner… Pouvaient-ils sauver Berlin ?

2) Quel était le meilleur char ? Une question de calibre

3) Les tactiques de combat dans Berlin

4) Wunderwaffen & matériels de la dernière chance dans Berlin

5) Les SS étrangers à Berlin : Bis Zur Hölle!

+ Orage d’acier sur Guadalcanal

Baptême du feu pour les chars des Marines

À la mi-1942 et malgré leur défaite à Midway début juin, les forces impériales japonaises sont loin de s’avouer vaincues. Tokyo cherche toujours à étendre son périmètre défensif, et si les Américains ont donné un coup d’arrêt à leur expansion dans le centre du Pacifique, la « route du Sud » reste ouverte. Les Japonais y voient l’occasion de neutraliser les forces alliées dans la zone et notamment la menace australienne qui pèse sur les anciennes colonies néerlandaises, dont les ressources sont essentielles à l’empire du Soleil levant. Dès janvier 1942, les Japonais capturent le port de Rabaul et commencent à s’installer dans les îles Salomon. Une situation qui n’échappe pas à Washington, qui voit clair dans le jeu nippon et ne peut se permettre de perdre le lien avec l’Australie…

+ Tank contre Tank

« Qui avait la plus grosse ? »

Publié en janvier 1946 dans la Military Review (Volume XXV, Number 10), cet article du Lieutenant-Colonel Irzyk revient sur l’éternelle question de savoir « qui avait le meilleur char pendant la guerre ». Question à laquelle il n’existe pas réellement de réponse, celle-ci dépendant du contexte des engagements. Reconnaissons toutefois que l’homme sait de quoi il parle ! Cavalier de formation, il servira durant toute sa carrière dans les chars, commandant notamment le 8th Tank Battalion de la 4th Armored Division, servant notamment sous les ordres de Patton pendant la Seconde Guerre mondiale. Place à l’analyse du tankiste !

+ Actualités

Sept jours au front dans un bataillon mécanisé ukrainien

Du nouveau chez les B1bis de Saumur