Batailles & Blindés n°99
Le Pacte de Varsovie
Ces forces qui devaient conquérir l'Ouest
Au sommaire du n°99 - Janvier-Février 2021
+ Le Pacte de Varsovie
Ces forces qui devaient conquérir l'Ouest
+ La capture de la forteresse de Velikié Louki
La bataille oubliée
+ Les chars légers allemands
De l’entraînement à la reconnaissance
+ Résiste et mords !
Les Chasseurs ardennais sur la Lys
+ Combat pour un Kolkhoze
Le Tiger qui ne voulait pas mourir
+ Actus
• La rénovation des chars Leclerc risque d'être beaucoup plus coûteuse que prévue
• Un Nashorn reprend vie aux Pays-Bas
• Expo : 1940 les parisiens dans l'exode
• Le Panzergarten du musée de Vienne
• Actualité du livre
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Au sommaire de Batailles & Blindés n°99
+ Le Pacte de Varsovie
Ces forces qui devaient conquérir l'Ouest.
Le 14 mai 1955, plusieurs pays du bloc de l’Est (URSS, Albanie, Bulgarie, Roumanie, Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie) unissent leurs forces afin de parer à une éventuelle attaque de la part de l’OTAN. Le pacte en lui-même ouvre en fait la voie à une multitude d’accords bilatéraux entre ces pays, mais aussi à « l’officialisation » de la présence des troupes soviétiques au sein de leurs frontières ainsi qu’à la mise sous coupe de leurs forces armées. Cependant, jusqu’à la fin des années 1980, le Pacte de Varsovie restera pour l’OTAN l’adversaire principal…
+ La capture de la forteresse de Velikié Louki
La bataille oubliée
Au mois de novembre 1942, l’Armée rouge lance deux opérations d’envergure, une pour réduire le saillant de Rjev, l’autre pour dégager la ville de Stalingrad sur les rives de la Volga, respectivement nommées « Mars » et « Uranus ». Les généraux Pourkaïev et Koniev sont en charge des fronts de Kalinine et Ouest, chargés de la face occidentale du saillant. Cependant, alors que d’intenses combats se déroulent près de Rjev dans des conditions dantesques, un autre terrible affrontement a lieu au nord-ouest, autour d’une petite ville transformée en forteresse : Velikié Louki…
+ Les chars légers allemands
De l’entraînement à la reconnaissance
Représentant une part non négligeable des effectifs des Panzer-Divisionen durant les premières années de la guerre, les chars légers allemands doivent jouer un rôle offensif pour lequel ils n’avaient pas été vraiment conçus à l’origine, car ils devaient juste servir à l’entraînement et à affiner les tactiques. Avec la mise en service de blindés mieux protégés et armés, ils voient progressivement leurs missions de combat décroître. Commence alors une « valse » hésitation sur leurs fonctions qui les fait passer de l’accompagnement de convois à l’appui lourd (!) et qui, finalement, les cantonnent dans la reconnaissance afin de servir d’éclaireur aux blindés moyens moins mobiles. Les Allemands vont alors multiplier les projets, les fausses pistes et autres prototypes pour n’aboutir à la mise en service que du seul Luchs… à 100 exemplaires !
+ Résiste et mords !
Les Chasseurs ardennais sur la Lys
En mai 1940, alors que les armées allemandes pénètrent en Belgique, le royaume tente de renverser la vapeur. Les unités de chasseurs ardennais vont combattre avec courage dans une atmosphère dantesque et vont se couvrir de gloire face à un adversaire supérieur en nombre et en matériel.
+ Combat pour un Kolkhoze
Le Tiger qui ne voulait pas mourir
Dès 1943, le Panzer IV Ausf. E Tiger I entre dans la légende de la guerre mécanisée. Sans coup férir, il est en effet capable de détruire les tanks moyens ennemis à longues distances grâce à son puissant canon de 8,8cm. Les scores à trois chiffres de plusieurs As allemands illustrent d’ailleurs son formidable potentiel. En outre, ce char lourd se distingue par sa formidable capacité à encaisser les projectiles adverses. L’engin est certes loin d’être invulnérable, mais grâce à un blindage exceptionnellement épais et à des aciers de haute qualité, il est extrêmement difficile à mettre hors de combat comme le prouve l’engagement du « 231 » du Leutnant Zabel qui dénombrera plus de 250 impacts sur sa monture, sans que celle-ci soit pour autant immobilisée !