Batailles & Blindés HS n°4
La Bataille de Stalingrad
EPUISE
Le mois de décembre 1941 a sonné le glas du Blitzkrieg. Invaincue, la Wehrmacht n’est pas invincible. Paralysée par un hiver glacial à 25 kilomètres de Moscou, elle est violemment refoulée par une Armée rouge maintes fois tenue pour morte et maintes fois ressuscitée.
+ Etat des lieux
Le mois de décembre 1941 a sonné le glas du Blitzkrieg. Invaincue, la Wehrmacht n’est pas invincible. Paralysée par un hiver glacial à 25 kilomètres de Moscou, elle est violemment refoulée par une Armée rouge maintes fois tenue pour morte et maintes fois ressuscitée.
+ Un ouragan en été
Dimanche 28 juin 1942, la fine fleur de la Wehrmacht part à l’assaut du sud de l’Union Soviétique. Il était temps ! L’Armée rouge vient de subir une succession de défaites, aussi bien dans le secteur de Kharkov qu’à Sébastopol tombée aux mains des divisions d’Erich von Manstein après un siège éprouvant.
+ La guerre des rats
Lorsque Paulus débouche sur Stalingrad, la tâche s’avère à première vue facile. Parce que Stalingrad porte le nom du Vojd, parce que sa chute sonnerait le glas du Caucase, parce qu’il faut aussi laisser le temps à l’Armée rouge de préparer sa contre-offensive d’hiver, la garnison, acculée à la Volga, n’a d’autre choix que de vaincre ou périr.
+ Un siège en hiver
Le 19 novembre 1942, alors que la 6. Armee s’est péniblement échouée sur les rives de la Volga, l’Armée rouge contre-attaque au nord et au sud de Stalingrad. Son but ? Encercler les envahisseurs puis exploiter ce succès par une percée éclair jusqu’à Rostov-sur-le-Don, ce qui aurait pour effet immédiat d’isoler les forces allemandes engagées dans le Caucase.