Batailles & Blindés
Batailles & Blindés N°30 :
Ferdinand / Elefant - Un mastodonte incompris
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Ferdinand / Elefant - Un mastodonte incompris

Batailles & Blindés n°30

Ferdinand / Elefant

Un mastodonte incompris

 EPUISE 

Au sommaire du n°30 - Février-Mars 2009

+ Treat'em Rough !
Les débuts des « Tanks » américains

+ Dossier Ferdinand / Elefant
Rien ne se perd, tout se recycle…

+ Vie et mort d’un géant « incompris »

+ Juin 1944, opération « Epsom »
Corrida pour un « Taureau »

+ L'appareil de Louis Renault
Le char de la victoire !

+ Le Panther se fait la belle
La grande évasion de Langeke

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BB030

Au sommaire du n°29 - Février-Mars 2009

+ Treat'em Rough !

Les débuts des « Tanks » américains

Pour correctement appréhender la situation défavorable de l’Armored Force, l’Arme blindée américaine, à l’orée de la Seconde Guerre mondiale, il convient d’avoir en tête les circonstances si particulières de sa difficile naissance puis de son évolution chaotique au fil de l’entre-deux-guerres. L’histoire commence en 1917, au moment où la Maison blanche prend la décision d’entrer en guerre en Europe, aux côtés des Français et des Britanniques.

+ Dossier Ferdinand / Elefant

Rien ne se perd, tout se recycle…

Depuis l’invasion de l’Union Soviétique par la Wehrmacht, le T-34 apparaît clairement comme l’adversaire à abattre pour la Panzerwaffe. Malgré de nombreuses améliorations, les engins allemands demeurent inférieurs à la machine russe. Ce n’est qu’en 1943, avec les mises en service du Tiger puis du Panther, que les Allemands reprennent le dessus. Mais ces nouveaux modèles n’arrivent au front qu’en faible nombre. En vue de l’offensive de l’été 1943, Hitler décide de faire développer un chasseur de chars lourd armé d’un 8,8cm.

+ Vie et mort d’un géant « incompris »

Le Ferdinand étant disponible à 90 exemplaires, reste à l’employer au mieux de ses capacités et des intérêts de la Wehrmacht. Si l’idée en tant que telle est simple, nous allons voir que sa concrétisation n’ira pas sans poser de problèmes ! Hésitant entre deux rôles tactiques à attribuer à l’engin - chasseur de chars ou bien canon d’assaut lourd - les Allemands l’emploieront parfois en dépit du bon sens. Ce sera notamment le cas à Koursk, en juillet 1943, lors du baptême du feu des « Ferdi » qui débouchera sur un bien mauvais départ !

+ Juin 1944, opération « Epsom »

Corrida pour un « Taureau »

Constituée au printemps 1941 aux ordres du Major General Percy Hobart, la 11th Armoured Division est presque entièrement composée d’unités n’ayant pas connu le feu, hormis le 3rd Royal Tank Regiment. Pour compenser cette inexpérience, sous l’égide de généraux particulièrement compétents, la division s’entraîne sans relâche pendant trois ans, dans la perspective du débarquement sur les côtes d’Europe de l’Ouest. À la fin juin 1944, elle va connaître son baptême du feu durant « Epsom », combattant contre les Waffen-SS protégeant la cote 112.

+ L'appareil de Louis Renault

Le char de la victoire !

C’est en 1915, dans l’esprit du colonel Jean-Baptiste Estienne, que germe l’idée de disposer d’engins chenillés blindés capables de s’affranchir du no man’s land pour permettre, au terme d’une grande charge, de s’emparer en quelques heures des deux premières lignes de positions allemandes. Dès cette date, de premiers contacts s’établissent avec l’industriel Louis Renault, dans la perspective de concevoir un char moyen. De cette aventure, naîtra une machine moderne pour son époque, le char léger Renault !

+ Le Panther se fait la belle

La grande évasion de Langeke

Se faufiler en territoire hostile avec son char pour semer un ennemi décidé à vous réduire en miettes est une chose. Mais réaliser la même opération, en pleine offensive adverse, tout en étant à la tête de plusieurs chars et d’une colonne de véhicules hétéroclites, en est une autre ! Cet exploit, Fritz Langanke, « patron » d’un Zug de Panther de la « Das Reich » le réalisera à la fin juillet 1944, dans le Cotentin, alors que les Américains viennent de déclencher « Cobra » et que le front allemand se désagrège à la vitesse de l’éclair !