Batailles & Blindés
Batailles & Blindés N°31 :
NACHTJÄGER : Les « Vampir » du Reich !
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NACHTJÄGER : Les « Vampir » du Reich !

Batailles & Blindés n°31

NACHTJÄGER

Les « Vampir » du Reich !

 EPUISE 

Au sommaire du n°31 -Juin-Juillet 2009

+ Treat'em Rough !

Partie II : de 1930 à la guerre

+ NACHTJÄGER
Les « Vampir » du Reich !

+ Comme des Lions !
Mai et juin 1940, les tankistes français au combat

+ Les canons du « Renard du désert »
Les matériels et les unités envoyés en Afrique du Nord

+ Opération « Martlet »
Les « Ours Polaires » à l’assaut des Panzertruppen !

En savoir +

BB031

Au sommaire du n°31 -Juin-Juillet 2009

+ Treat'em Rough !

Partie II : de 1930 à la guerre

Le concept moderne de la guerre mécanisée est sur le point de s’imposer outre-Atlantique. Après une série d’expériences concluantes, les penseurs chargés d’établir les doctrines de l’US Army commencent à avoir une vision claire de leurs besoins. Ils disposent en outre d’un concept technologique très en avance sur tout ce qui se fait ailleurs : la suspension Christie. Dès lors, pourquoi l’Armée américaine se trouvera-t-elle presque totalement dépourvue d’unités blindées dignes de ce nom au moment où éclatera la Seconde Guerre mondiale ?

+ NACHTJÄGER  : Les « Vampir » du Reich !

La Seconde Guerre mondiale, conflit qui a vu les différentes nations belligérantes accomplir des progrès remarquables dans le domaine de la technologie militaire, reste surtout associée à la bombe atomique, aux avions à réaction, aux fusées balistiques ou aux radars. Ces innovations concernent principalement la troisième dimension. Mais l’on oublie bien souvent que des avancées tout aussi spectaculaires ont vu le jour au sein de diverses armées de terre. C’est ainsi que plusieurs puissances se sont intéressées à la technologie infrarouge, seul le III. Reich ayant sérieusement étudié la possibilité de munir ses chars de moyens de détection autorisant le combat de nuit. Dans ce domaine, au fil des mois, les ingénieurs et penseurs militaires allemands vont mettre au point un système d’armes complet et ultramoderne. Et, de fait, les Panzer parviendront à remporter des succès locaux prometteurs contre les Alliés durant les derniers mois de la guerre. Comme bien souvent, l’aversion des hauts responsables de la Wehrmacht pour les nouvelles technologies et les incessants raids aériens anglo-américains sur les usines allemandes n’ont permis que l’introduction tardive et à une échelle négligeable de ces équipements précurseurs de ceux des armées d’aujourd’hui.

+ Comme des Lions !

Mai et juin 1940, les tankistes français au combat

En mai et juin 1940, les unités cuirassées françaises ont livré des combats acharnés contre les PanzerDivisionen, ce malgré une organisation structurelle et une doctrine d’emploi tactique de leurs chars inadaptées à la guerre moderne. En se sacrifiant parfois jusqu’à l’anéantissement, elles ont infligé des pertes sévères à la Wehrmacht. Cette étude signée Dominique Lormier est tirée de son ouvrage « Comme des Lions ! », paru chez Calmann-Lévy en 2005.

+ Les canons du « Renard du désert »

Les matériels et les unités envoyés en Afrique du Nord

Si les Panzer du Deutsches Afrika-Korps ont fait l’objet de nombreuses études, l’histoire des canons de campagne, lourds et antiaériens, qui furent envoyés en Afrique du Nord par la Heer et la Luftwaffe demeure dans l’ombre. Or [...] l’artillerie fut souvent un élément au moins aussi déterminant que les chars pour le succès ou l’échec des manoeuvres audacieuses d’Erwin Rommel. Nous vous proposons donc de vous plonger dans les composantes puis dans quelques actions remarquables de l’artillerie de l’Afrika-Korps !

+ Opération « Martlet »

Les « Ours Polaires » à l’assaut des Panzertruppen !

À la mi-juin 1944, la tête de pont établie en Normandie est encore trop exiguë pour autoriser un déploiement correct des forces de la 2nd Army britannique. En outre, Caen, n’a pas été prise lors de l’opération « Overlord », comme cela avait été prévu par le plan allié. « Monty », qui commande les forces du 21st Army Group, ne peut guère se contenter de jouer un rôle passif dans la bataille. Il lui faut progresser vers l’est et le sud et, par là même, soulager la pression exercée par l’ennemi sur les forces américaines combattant dans le Cotentin.