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Batailles & Blindés N°32 :
Carnage à Poteau - Ardennes, décembre 1944
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Carnage à Poteau - Ardennes, décembre 1944

Batailles & Blindés n°32

Carnage à Poteau

Ardennes, décembre 1944

 EPUISE 

Au sommaire du n°32 -Août-Septembre 2009

+ Le 752nd Tank Battalion
Douze mois de baroud en Italie

+ CARNAGE A POTEAU
Ardennes, décembre 1944

+ Les canons du « Renard du désert »
Exemples d’opérations (suite & fin)

+ L’épopée du « Fray Bentos »
Huis clos haletant pour des braves !

+ La deuxième bataille pour Rauray
Le II. SS-Panzer-Korps contre les « Ours Polaires »

+ Le 2cm-Wagen au combat

En savoir +

BB032

Au sommaire du n°32 -Août-Septembre 2009

+ Le 752nd Tank Battalion

Douze mois de baroud en Italie

Entrés en guerre avec des moyens blindés limités, les États-Unis rattrapent rapidement leur retard et mettent sur pied plus d’une centaine de Tank Battalions (bataillons de chars). L’un des premiers à voir le jour est le 752nd Tank Battalion qui participera à la longue et difficile campagne d’Italie. Devant se contenter des « miettes » de matériels leur étant abandonnés par la 1st Armored Division, les tankistes du 752nd, surnommé « the Bastard Battalion », ne vont pas démériter, au contraire même !

+ CARNAGE A POTEAU

Ardennes, décembre 1944

Les actualités cinématographiques présentées après la bataille des Ardennes, qu’elles soient allemandes ou américaines, montrent inévitablement les images apocalyptiques prises après l’accrochage de Poteau. On peut y voir des Waffen-SS triomphants, en train de se partager des rations et des cigarettes américaines, sur fond de Half-Tracks encore en feu.
Du 16 au 18 décembre 1944, cette localité et ses environs sont le théâtre d’affrontements violents entre le 14th Cavalry Group et les ailes (respectivement) Sud et Nord des 6. et 5. Panzer-Armeen. Outre son déroulement, fort intéressant, le combat livré sur ces hauteurs des Ardennes belges par les Américains et leurs adversaires représente un cas d’école permettant d’analyser les forces et les faiblesses de la Cavalerie mécanisée américaine engagée dans une opération défensive.

+ Les canons du « Renard du désert »

Exemples d’opérations (suite & fin)

Aucune doctrine d’emploi de l’artillerie dans le désert n’ayant été défi nie au sein de la Wehrmacht, les Allemands vont devoir improviser et établir, sur le terrain, les méthodes et tactiques nécessaires pour optimiser l’usage de leurs canons dans les opérations en Libye et en Égypte, en 1941-42. Loin d’être annexe, le rôle de l’artillerie va en réalité prévaloir dans nombre d’opérations offensives mais aussi défensives conduites par les troupes de Rommel. Ainsi, à plusieurs reprises, les canons de l’Afrika-Korps sauveront les Panzer de la catastrophe !

+ L’épopée du « Fray Bentos »

Huis clos haletant pour des braves !

La troisième bataille d’Ypres, qui oppose Britanniques et Allemands à la fin de l’été 1917, est aussi connue sous le nom de bataille de Passchendaele. Elle sera l’une des opérations les plus controversées des « Tanks » pendant le Premier Conflit mondial. Véritable océan de boue, le no man’s land flamand est en effet le pire des terrains que l’on puisse imaginer pour engager des chars. Il est en particulier le théâtre d’une aventure épique, d’une histoire hors du commun, celle du Mark IV « Fray Bentos » et de son équipage héroïque !

+ La deuxième bataille pour Rauray

Le II. SS-Panzer-Korps contre les « Ours Polaires »

L’opération « Martlet », menée par le XXX Corps à partir du 25 juin 1944, a finalement permis, de couvrir le flanc ouest de l’opération « Epsom ». « Martlet » est officiellement terminée le 28 juin et l’épicentre des combats se déplace alors vers l’est, autour de la cote 112 et du « corridor écossais » tenus par le VIII Corps. La 49th Infantry Division et la 8th Armoured Brigade, qui lui est toujours attachée, ne vont pas pour autant rester au repos, car les Allemands entendent bien reconquérir le terrain perdu et éliminer la tête de pont britannique sur l’Odon !

+ Le 2cm-Wagen au combat

Au cours des années 1930, parallèlement au développement secret de ses troupes mécanisées et cuirassées, l’état-major de la Reichswehr va se soucier de mettre sur pied des unités de reconnaissance et d’éclairage. Outre la structure même de ces Aufklarüngs-Abteilungen, leur doctrine d’emploi et leurs tactiques, les militaires allemands vont aussi travailler de concert avec les industriels pour disposer des véhicules adéquats, ce en veillant à ne pas attiser la curiosité des inspecteurs alliés dépêchés en Allemagne dans le cadre du Traité de Versailles…