Batailles & Blindés n°40
Skijäger
Une « nouvelle race » de guerriers !
Au sommaire du n°40 -Décembre 2010-Janvier 2011
+ Le Blindorama
La genèse de la force blindée bulgare, 1935 - 1943
+ « Ubicumque et Semper »
Histoire des Autobatterie da 102/35
+ Skijäger
Une « nouvelle race » de guerriers !
+ La schwere Panzer-Abteilung 503
Voir le bocage et mourir
+ Le sable, la chaleur et la soif
Les autres ennemis de l’Afrika-Korps
+ Échec dans les Ardennes
La 5. Panzer-Armee fonce sur Saint-Vith !
Au sommaire du n°40 -Décembre 2010/Janvier 2011
+ Le Blindorama
La genèse de la force blindée bulgare, 1935 - 1943
Après la Première Guerre mondiale, la Bulgarie vaincue est privée de la Dobroudja, d’une partie de la Macédoine ainsi que de la Thrace occidentale. Les capacités militaires de l’Armée royale bulgare sont réduites dans une très large mesure selon les termes du traité de paix de Neuilly. Celle-ci fut tout juste autorisée à mettre sur pied une armée territoriale limitée à 20 000 hommes. Pourtant, depuis la fin de la seconde guerre balkanique, et plus encore après 1918, tous les voisins de la Bulgarie sont des ennemis potentiels…
+ « Ubicumque et Semper »
Histoire des Autobatterie da 102/35
Pendant la Première Guerre mondiale, l’emploi opérationnel des Autocannoni Ansaldo da 102/35 représente une solution brillante et originale du Regio Esercito, l’Armée Royale italienne. Car, même si d’autres nations disposent elles aussi d’autocanons, ces derniers sont conçus et utilisés comme artillerie antiaérienne. Au contraire, les Autocannoni Ansaldo da 102/35, cas unique au cours de ce conflit, seront exclusivement employés comme artillerie lourde de campagne.
+ Skijäger
Une « nouvelle race » de guerriers !
Les opérations offensives prévoient naturellement un objectif géographique à atteindre. Pour y parvenir, l’attaquant doit minimiser les contraintes liées au contexte climatique. À l’inverse, le défenseur peut tirer bénéfice, jusqu’à un certain degré, des problèmes rencontrés par l’agresseur. En Russie plus qu’ailleurs, pluie, neige, boue et autre Raspoutitsa vont conduire les Allemands à non seulement faire évoluer leurs matériels mais aussi à mettre sur pied des unités expérimentales ultra-spécialisées ; les Skijäger sont un parfait exemple de ces « nouvelles races » de guerriers !
+ La schwere Panzer-Abteilung 503
Voir le bocage et mourir
Depuis sa création en mai 1942, la schwere Panzer-Abteilung 503 se bat sur le front de l’Est. Ses états de service sont alors impressionnants. Sur des champs de bataille profonds et étendus, ses Tiger font merveille grâce à l’allonge exceptionnelle de leur canon de 8,8cm. Mais l’urgence de la situation sur le front normand fait qu’ils sont appelés à y intervenir en juin 1944. Là, sous les pommiers et face aux troupes anglo-saxonnes, les fauves vont connaître des heures difficiles…
+ Le sable, la chaleur et la soif
Les autres ennemis de l’Afrika-Korps
Dans la toute jeune Wehrmacht de la seconde moitié des années 1930, personne n’imagine que l’Allemagne n’ait à intervenir un jour outre-mer. Aussi, les connaissances acquises lors de la Première Guerre mondiale sur les conditions de combat en Afrique sont-elles purement et simplement oubliées. Ainsi, en 1935, il n’existe qu’une sous-section des Affaires coloniales chargée de ces questions, avec comme personnel dédié qu’un unique officier vétéran de la Grande Guerre !
+ Échec dans les Ardennes
La 5. Panzer-Armee fonce sur Saint-Vith !
Petite bourgade germanophone située sur la frontière germano-belge, Saint-Vith va être, en décembre 1944, le théâtre d’un affrontement sanglant lors des premiers jours de la bataille des Ardennes. En dépit d’un succès tactique initial, la 5. Panzer-Armee de Hasso von Manteuffel va se heurter à un obstacle tout aussi solide qu’imprévu : les Sherman des 7th et 9th Armored Divisions ! La première partie de cette étude raconte la progression allemande et les mesures d’urgence prises par les Américains pour y faire face.