Batailles & Blindés
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Batailles & Blindés n°103

Les tactiques des Panzertruppen

Partie 1 : Le combat interarmes

Au sommaire du n°103 - Août-septembre 2021

+ Les tactiques des Panzertruppen
Partie 1 : Le combat interarmes

+ Le sacrifice des B1bis
Flavion, 1940

+ Les leçons de la guerre du Kippour pour les blindés
SHO'T KAL contre T-62 ETALII !

+ Le Patton allemand
Otto von Knobelsdorff

+ Herrlisheim, janvier 1945
« Hellcats » dans la tempête

+ LRDG, el Alamein et Rommel
L’épopée du Major von Luck en Afrique du Nord

+ Actus
• Le musée de France 40 Véhicules a ouvert ses portes !
• Le Muzeum Broni Pancernej de Poznań : le musée polonais qui sauve les blindés
• La Pologne confirme l’achat de 250 chars américains M1A2 SEPv3 Abrams pour 5 milliards d’euros
• Actualités du livre

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Au sommaire du n°103 - Aout-septembre 2021

+ Les tactiques des Panzertruppen

Partie 1 : Le combat interarmes

Il est communément admis que la Panzer-Division a joué un rôle crucial dans les opérations offensives et défensives allemandes pendant la guerre. Toutefois, on se contente souvent d’expliquer ces succès par un mot « passe-partout » : Blitzkrieg. La réalité est évidemment bien plus complexe, et il convient de s’interroger et de comprendre quels étaient les fondements des tactiques et de la doctrine d’emploi des Panzer. Avant de nous embarquer dans cet exercice passionnant, nous prendrons le temps de replacer dans son contexte la montée en puissance lente et difficile des Schnelle-Truppen dans une Allemagne économiquement et militairement affaiblie. Nous nous attacherons ensuite à aborder la question du combat interarmes, une clef essentielle pour comprendre la supériorité des unités de Panzer à l’offensive de 1939 à 1942 puis la défensive, de 1943 à 1945, les Allemands ayant été allés le plus loin dans ce concept.

+ Le sacrifice des B1bis

Flavion, 1940

Le 10 mai 1940, quand les Panzer entrent en Belgique, l’Armée française passe la frontière avec ses meilleures unités dans l’optique de refouler les Allemands. Or, les Français viennent de tomber dans le piège allemand, qui consiste à attirer les meilleurs éléments en Belgique avant de percer sur leurs arrières à Sedan. Mais les troupes françaises, même encerclées, vont se battre comme des lions. Autour du petit village belge de Flavion, les B1bis de la 1ère DCr vont faire payer cher aux Panzer leur progression, mais la division du général Bruneau sera emportée par l’ouragan…

+ Les leçons de la guerre du Kippour pour les blindés

SHO'T KAL contre T-62 ETALII !

Le samedi 6 octobre 1973 à 14h05, les armées égyptiennes et syriennes profitent de la fête juive du Grand Pardon (Yom Kippour) pour lancer une offensive concertée contre Israël afin d'effacer leur cuisante défaite de 1967 lors de la guerre des Six Jours. Cette nouvelle confrontation israélo-arabe va avoir un important retentissement dans le monde de l'arme blindée bien au-delà du Proche-Orient. Heyl Shirion, l'arme blindée israélienne, considérée depuis 1967 comme l'une des meilleures du monde, va en effet y subir de surprenants revers avant d'obtenir une nouvelle victoire militaire.

+ Le Patton allemand

Otto von Knobelsdorff

Le General der Panzertruppe Otto von Knobelsdorff fait partie de ces officiers allemands compétents éclipsés par leurs semblables plus médiatiques comme von Manstein ou von Manteuffel. Pourtant, von Knobelsdorff fait preuve au cours du conflit d’une flexibilité à toute épreuve et d’un sens tactique poussé ; c’est lui principalement qui fera payer cher à Patton la libération de la Lorraine à l’automne 1944 avec son style agressif. Pour le Generalfedmarschall prussien Helmuth von Moltke, un bon général est agressif lors d’une offensive et sait quand il doit passer à la défensive, et c’est de ce bois qu’est fait Otto von Knobelsdorff.

+ Herrlisheim, janvier 1945

« Hellcats » dans la tempête

Il est 13h le 17 janvier 1945. Le Brigadier General Ennis, commandant le CCA de la 12th Armored Division, se ronge les sangs : les 28 M4 Sherman du 43rd Tank Battalion, envoyés attaquer des positions de la 10. SS-Panzer-Division « Frundsberg » au nord du village de Herrlisheim, près de Colmar, ont disparu ! Une heure plus tôt, le commandant du bataillon est parvenu à joindre Ennis pour son dernier message : « Ça commence à chauffer par ici ! » En pleine opération « Nordwind », Américains et Allemands se déchirent pour de petits villages alsaciens… Herrlisheim deviendra vite le symbole de durs combats pour la 12th Armored Division.

+ LRDG, el Alamein et Rommel

L’épopée du Major von Luck en Afrique du Nord

Né en 1911, Hans von Luck s’engage dès 1929 dans la Reichswehr et fait partie de la 2. Leichte-Division à partir de 1938 – unité qui deviendra la célèbre 7. Panzer-Division. À la tête d’une unité de reconnaissance, Hans von Luck va s’élever dans la hiérarchie militaire en Pologne, en France, et prendra part à l’invasion de l’URSS dès 1941. Mais après l’échec devant Moscou, il est demandé par Rommel en Afrique du Nord, où il prend la tête de l’Aufklärungs-Abteilung 3, qui sera notamment chargée de traquer le LRDG...

+ Actus

• Le musée de France 40 Véhicules a ouvert ses portes !

• Le Muzeum Broni Pancernej de Poznań : le musée polonais qui sauve les blindés

• La Pologne confirme l’achat de 250 chars américains M1A2 SEPv3 Abrams pour 5 milliards d’euros

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