Batailles & Blindés
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Batailles & Blindés n°104

Bir Hakeim

Berceau de la France libre !

Au sommaire du n°104 - Octobre-Novembre 2021

+ Bir Hakeim
Berceau de la France libre !

+ La 11. SS-Panzergrenadier-Division « Nordland » au combat
Mourir pour une capitale

+ Dompaire
La page de gloire de la 2e DB !

+ Les tactiques des Panzertruppen
Partie 2 : La reconnaissance

+ Le B1bis « Bourrasque »
Jusqu’au bout !

+ La mue de l’Armée Rouge
Les réformes Toukhatchevski

+ Actus
• Le musée de Diekirch (Luxembourg)
• Fuite d’informations classifiées… sur War Thunder !
• Sur la plage abandonnée… Blindé et crustacés
• Actualités du livre

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Au sommaire du n°104 - Octobre-Novembre 2021

+ Bir Hakeim

Berceau de la France libre !

« Nous ne tenons pas Bir-Hakeim pour Austerlitz. Mais Bir-Hakeim, comme le premier combat de Jeanne d’Arc à Orléans, a été la preuve que la France n’était pas morte. » Cette citation d’André Malraux donne la mesure du poids de la bataille de Bir Hakeim dans la mémoire collective française. Ainsi, avec la prise de Koufra, cet affrontement au milieu du désert libyen est devenu un des actes fondateurs de la France libre où cette dernière a pu être reconnue comme un adversaire du régime collaborationniste du maréchal Pétain. L’histoire des soldats de Bir Hakeim, quant à elle, est parfois moins bien connue !

+ La 11. SS-Panzergrenadier-Division « Nordland » au combat

Mourir pour une capitale

L’encerclement de Berlin,en avril 1945, sonne le glas d’une Wehrmacht sur le point d’être définitivement vaincue. Pour autant la combativité de l’armée allemande est loin d’être émoussée comme le démontrent les violents combats menés par la 11. SS-Panzer-Grenadier-Division « Nordland » lors de la progression de l’Armée rouge Berlin. Engagée au plus fort de la bataille, l’unité SS combat férocement les Soviétiques, derniers soubresauts d’un III. Reich agonisant, mais refusantde déposer les armes.

+ Dompaire

La page de gloire de la 2e DB !

Installée en défensive depuis le 22 février 1943 à Ksar Rhilane en couverture de la 8th British Army qui s’apprêtait à attaquer la ligne Mareth, la Force L subit, le 10 mars, les assauts d’une force blindé de l’Afrika-Korps. La position sera tenue toute la journée et les assauts repoussés grâce au courage et à la discipline des hommes de la Force L (la riposte au feu ennemi ne fut déclenchée qu’au dernier moment selon les ordres du général Leclerc) et surtout grâce à l’appui aérien de la Royal Air Force (RAF). Au cours de cet engagement, le futur chef de la 2ème DB démontra sa parfaite connaissance et maîtrise de l’appui aérien. Savoir-faire qu’il allait confirmer plus d’un an après lors de la bataille de Dompaire considérée comme le plus important affrontement de chars de la campagne sur le front occidental.

+ Les tactiques des Panzertruppen

Partie 2 : La reconnaissance

Après avoir rappelé la genèse des Panzertruppen dans la première partie de notre étude, en soulignant le contexte singulier de leur développement lié au traité de Versailles, nous poursuivons notre travail de présentation des forces constituant les divisions blindées allemandes. Nous reprenons en évoquant brièvement la fonction antichar, puis la reconnaissance, qui joue un rôle essentiel à l’offensive, et sur laquelle nous nous attarderons.

+ Le B1bis « Bourrasque »

Jusqu’au bout !

Mal employés et peu adaptés au rythme imposé aux troupes françaises par les Allemands, les B1bis n’ont pas eu l’effet escompté sur la conduite des opérations lors des mois de mai et juin 1940. Souffrant de la désorganisation de la logistique et d’une mécanique parfois capricieuse, ces blindés ont cependant tenu jusqu’au bout, offrant la plupart du temps aux Allemands une résistance désespérée. Mais ces actes héroïques, s’ils soulignent la vaillance des équipages français au feu, n’auront aucun véritable impact sur la campagne. Les derniers instants du « Bourrasque », du 15e BCC (2e DCr), entrent dans cette catégorie !

+ La mue de l’Armée Rouge

Les réformes Toukhatchevski

La période de l’entre-deux-guerres voit l’Armée Rouge passer d’un format d’armée de masse, essentiellement composée d’infanterie et de cavalerie, à une armée hautement mécanisée, alignant un grand nombre de chars, d’avions et de pièces d’artillerie. Frounzé en est le grand concepteur, mais c’est le général Mikhaïl Toukhatchevski, qui prend sa suite, qui en est le principal forgeron. Ayant totalement intégré les spécificités d’une guerre future, totale, mécanisée et massive, il va faire de l’Armée Rouge une force de premier plan, dans un contexte économique, politique et international pourtant délétère. Un tour de force ici décrit.

+ Actus

• Le musée de Diekirch (Luxembourg)

• Fuite d’informations classifiées… sur War Thunder !

• Sur la plage abandonnée… Blindé et crustacés

• Actualités du livre