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Ligne de Front n°103

Les Fester Platz

Les forteresses nazies

Au sommaire de Ligne de Front n°103 - Juin/Juillet 2023

+ La Devil’s Brigade
à Anzio

+ « Chtorm-333 » 
Opération spéciale en Afghanistan !

+ France 40
L'Armée française pouvait-elle faire mieux ?

+ Les Fester Platz
Les forteresses nazies

+ Le carrefour sur « L’île »
L’autre grand fait d’armes de « Dick » Winters

+ Orage de feu
Le parcours enflammé  des « Buffs » du 141th Regiment

+ Actualités

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LDF103
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Au sommaire de Ligne de Front n°103 - Juin/Juillet 2023

+ La Devil’s Brigade

à Anzio

Créée en juillet 1942 en tant qu’unité américano-canadienne, la First Special Service Force (qui deviendra connue sous le sur nom de Devil’s Brigade ou Black Devils) est une unité atypique. Composée d’hommes célibataires travaillant « au grand air » (bûcherons, trappeurs, forestiers…), la FSSF doit mener des missions en milieu montagneux dans un style qui va inspirer toutes les forces spéciales nord-américaines d’aujourd’hui. Après les violents combats sur la Winter Line en Italie, sa première affectation, entre décembre 1943 et janvier 1944, la First Special Service Force débarque à Anzio le 1er février 1944 et est affectée au le flanc droit de la tête de pont sur les rives du canal Mussolini. L’auteur, qui a pu rencontrer des vétérans et les interroger, relate ces événements dans nos pages.

+ « Chtorm-333 »

Opération spéciale en Afghanistan !

Tout au long de l'année 1979, la situation en Afghanistan, pays allié de l'URSS, se dégrade en raison de l'opposition croissante aux réformes d'inspiration marxiste-léniniste lancées par le pouvoir, tant dans la population rurale que dans une partie de l'armée. Le 14 septembre, le président afghan Taraki est assassiné sur ordre d'Hafizullah Amin, présenté comme marxiste radical, mais surtout comme un politicien très ambitieux. Pour asseoir son autorité, il entame alors une série de purges dans le Parti démocratique populaire d'Afghanistan (PDPA) et accentue la répression des islamistes. Devant le danger de déstabilisation du pays, Moscou décide d'intervenir.

+ France 40

L'Armée française pouvait-elle faire mieux ?

Après avoir rétabli l'honneur des combattants français suite à plusieurs années de mépris et de silence, il est temps désormais pour les historiens de se pencher sur cette question cruciale : l'Armée française pouvait-elle faire mieux ? En analysant à la fois l'impact de la « drôle de guerre » sur l'amélioration ou non de son potentiel, puis la façon dont elle a engagé et mené la campagne de France, tout en tenant compte des erreurs avérées commises par la Wehrmacht, nous tenterons de démontrer que l'Armée française avait probablement les moyens, sinon de vaincre, au moins de porter des coups importants lui permettant, in fine, de poursuivre la lutte. 

+ Les Fester Platz

Le syndrome de la défense à tout prix

Après les revers du second semestre 1943 et ceux de l'hiver 1944, Hitler décide de mettre en place un nouvel élément dans le système défensif de la Wehrmacht sur le front de l'Est : les places fortes (Fester Platz). Il s'agit d'accorder ce statut à des villes d'intérêt particulier pour servir de brise-lames face aux offensives de la RKKA en les transformant en forteresses. L'enjeu est également politique et propagandiste puisqu'il s'agit également de démontrer que la Wehrmacht tient des villes d'importance connues à travers le monde. 

+ Le carrefour sur « L’île »

L’autre grand fait d’armes de « Dick » Winters

Dans l’histoire de la 101st Airborne Division, si l’attaque décisive du manoir de Brécourt le 6 juin occupe une place devenue légendaire dans la mémoire collective, l’attaque du 5 octobre 1944 au carrefour d’Heteren se place probablement à la seconde place dans les hauts faits d’armes de la division au cours de la Seconde Guerre mondiale. Cet épisode, immortalisé dans l’épisode 5 de la série Band of Brothers, est d’autant plus remarquable qu’on y retrouve une fois encore la Easy Company du 2/506th PIR aux ordres du désormais Captain Richard « Dick » Winters. Le récit de cet épisode s’appuie sur les deux seuls documents disponibles : le livre de Stephen E. Ambrose qui a inspiré la série et les souvenirs personnels de Dick Winters. Il est notable que, parfois, les deux versions ne concordent pas parfaitement sur certains détails.

+ Orage de feu

Le parcours enflammé des « Buffs » du 141th Regiment

Doté d’un terrifiant lance-flammes, le Churchill Crocodile fait partie des engins de combat parmi les plus craints par l’infanterie allemande. Les militaires britanniques sont parfaitement conscients du caractère spécifique de cette terrible machine de guerre capable de projeter un jet enflammé à plus de 100 mètres. Armes de contact par excellence, les chars lance-flammes nécessitent un entraînement et des doctrines d’emploi tactique totalement différentes de celles qui prévalent dans les unités blindées classiques. Pour faciliter le déploiement de ces véhicules-ci, les Churchill Crocodile vont être intégrés au sein du 141th Regiment du Royal Armoured Corps lui-même amalgamé à la fameuse 79th Armoured Division qui s’illustrera lors de la bataille de Normandie.

+ Actualités

Guerre en Ukraine - Nouvelles livraisons d’armes

Grèce versus Turquie - Une guerre possible entre deux pays de l’OTAN ?

L’Allemagne songerait à commander jusqu’à 141 nouveaux chars Leopard 2A8

Les bombardiers stratégiques russes sont de plus en plus nombreux sur la base d’Oleynia, située à 200 km de la Finlande

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