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Ligne de Front n°89 - Panzergrenadier - Un fantassin de choc !
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Ligne de Front n°89

Panzergrenadier

Un fantassin de choc !

Au sommaire de Ligne de Front n°89 - Février/Mars 2021

+ DOSSIER : Panzergrenadier
Un fantassin de choc !

- Ni homme, ni bête, mais… Panzergrenadier !
Qui est le grenadier motorisé allemand ?

- La famille des Sd.Kfz. 251
L’atout majeur des Panzergrenadiere

+ 1. Skijäger-Division
Division d’élite et d’exception ! (2e partie)

+ Za Rodinou !
Un officier du NKVD dans la tourmente (octobre 1941)

+ Les Arditi Distruttori Regia Aeronautica
Une histoire des parachutistes italiens, 1942-1945

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LDF89
8,50 € Frais de port compris

Au sommaire de Ligne de Front n°89 - Février/Mars 2021

+ DOSSIER : Panzergrenadier

Un fantassin de choc !

- Ni homme, ni bête, mais… Panzergrenadier !

Qui est le grenadier motorisé allemand ?

« Ich bin kein Mensch, Ich bin kein Tier. Ich bin ein Panzergrenadier ! (Je ne suis pas un humain, je ne suis pas un animal. Je suis un Panzergrenadier !).  Toujours bien connue à la Bundeswehr, cette rime remonte au cœur de la Seconde Guerre mondiale. Alors, s’il n’est ni humain, ni animal, comment faut-il définir un Panzergrenadier ?

- La famille des Sd.Kfz. 251

L’atout majeur des Panzergrenadiere

Indissociable de la guerre mécanisée, les multiples versions du mittlerer Schützenpanzerwagen Sd.Kfz. 251 fontparties intégrants, dès la fin des années 1930, de l’organigramme des Panzer-Divisionen. Que cela soit leurs versions transports de troupes que dans leurs variantes armées ou les véhicules des unités spécialisées, ces semi-chenillés polyvalents apportent mobilité, protection et puissance de feu aux soldats allemands, des atouts qui permettent bien souvent à ces derniers de s’adapter à la très grande majorité des menaces.

+ 1. Skijäger-Division

Division d’élite et d’exception ! (2e partie)

La Hongrie, au sortir de la « Der des Ders », fait partie du camp des vaincus. De ce fait, elle ne peut que constater la perte de 66 % de sa superficie d’avant-guerre. Sous la pression des nationalistes radicaux et des fascistes hongrois, le pays tombe de plus en plus sous l’influence du III. Reich. Il est d’ailleurs le premier État à rejoindre l’Axe Rome-Berlin-Tokyo en signant le Pacte Tripartite le 20 novembre 1940. Ses troupes participent alors, aux côtés de la Wehrmacht, à l’invasion de la Yougoslavie en avril 1941 et de l’Union soviétique en juin suivant. Si son industrie militaire n’a pas la puissance de son allié, la Hongrie développe toutefois de nombreux matériels blindés, à chenilles ou à roues.

+ Za Rodinou !

Un officier du NKVD dans la tourmente (octobre 1941)

Les documents d’archives allemands contenant le témoignage de soldats soviétiques pendant la Seconde Guerre mondiale sont rarissimes, mis à part les nombreux interrogatoires de prisonniers. Ce récit est celui du major Chabaline qui commande un détachement du NKVD auprès de la 50e armée du major-général Petrov. Son carnet de route restitue de façon fort intéressante à la fois les combats à l’Est et l’état d’esprit des officiers et de la troupe de l’Armée rouge qui se dégrade à mesure que les Panzer se referment sur les arrières de la 50e armée. Son journal, de plus en plus parcellaire, rédigé avec une plume fatiguée qui se libère, ne parvient plus à taire la colère à l’encontre du commandement ni le désespoir qu’on noie dans la vodka, est une lente plongée dans l’enfer de la poche de Briansk à l’automne 1941, alors que la boue et les premières neiges dégradent le quotidien du Frontovik et du Politruk (surnom du commissaire politique) unis dans la tourmente qui emporte tout sur son passage.

+ Les Arditi Distruttori Regia Aeronautica

Une histoire des parachutistes italiens, 1942-1945

Janvier 2008, aéroport de Furbara (Rome). Après près de trente ans d’activité SAR (Search and Rescue) et survie, après cinq années de formation du personnel RIAM (Reparto Incursori Aeronautica Militare,unité de commandos de l’air), le 17° Stormo Incursori dell’Arma Azzurra (« armée bleue », surnom de l’armée de l’air) est constitué. Il s’agit du dernier de quatre unités de forces spéciales nées au cours de la Guerre froide : le GOI (Gruppo Operativo Incursori de la Marina Militare), le IX Battaglione – puis régiment – d’Assalto Paracadutisti « Col Moschin » (Esercito Italiano), le GIS (Gruppo Intervento Speciale des Carabiniers). S’ajoutent à cela deux forces spéciales constituées dans les années 2000 : le 4° Reggimento Alpini Paracadutisti (chasseurs alpins parachutistes en 2004) et le 185° Reggimento Paracadutisti ricognizione acquisizione obiettivi « Folgore » (régiment de renseignement en profondeur en 2000), tous deux appartenant à l’armée de terre italienne.

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