Ligne de Front n°87
Festung Tarnopol
Kessel et Fester Platz en Ukraine occidentale
Au sommaire de Ligne de Front n°87 - Octobre/Novembre 2020
+ Festung Tarnopol
Kessel et Fester Platz en Ukraine occidentale
+ Un saut dans l’inconnu
Ces armes oubliées du III. Reich
+ 9. Fallschirmjäger-Division
La division des sacrifiés : Stettin, Breslau, Seelow et Berlin
+ Le char de combat T-34
Autopsie d'une bête de guerre révolutionnaire
+ Fort Alamo dans les Ardennes
Le combat de Lanzerath
+ Matsu Kikan chez les « Aussies »
Quand des Japonais débarquaient en Australie !
Au sommaire de Ligne de Front n°87 - Octobre/Novembre 2020
+ Festung Tarnopol
Kessel et Fester Platz en Ukraine occidentale
La campagne soviétique d’Ukraine occidentale est l’une des plus complexes de la Seconde Guerre mondiale. Chaque camp tente d’effectuer des manœuvres d’encerclement et de dégagement, coupant les lignes de ravitaillement adverses et enfermant dans des nasses des centaines de milliers d’hommes, qui cherchent ensuite à percer pour rejoindre leurs lignes. Cette campagne est aussi l’opportunité de tester le concept hitlérien de « Festung », avec la première d’entre elle : Tarnopol. Enfin, c’est l’occasion pour l’OKH (Oberkommando des Heeres, état-major de la Heer) d’engager pour la première fois le II. SS-Panzer-Korps, dans des combats d’une rare intensité, à la fois pour venir en aide à la 1. Panzer-Armee encerclée, mais aussi pour tendre la main à la garnison de Tarnopol prise au piège.
+ Un saut dans l’inconnu
Ces armes oubliées du III. Reich
Cet article présente quelques exemples de pistolets, de pistolets-mitrailleurs, de fusils et de mitrailleuses rares et parfois insolites, développés avant ou pendant la Seconde Guerre mondiale par l’industrie d’armement nazie.
+ 9. Fallschirmjäger-Division
La division des sacrifiés : Stettin, Breslau, Seelow et Berlin
Lancé depuis plusieurs années dans une compétition avec la SS d’Himmler dont l’irrésistible expansion l’inquiète, surtout au vu de la rivalité qui oppose les deux dignitaires nazis dans l’optique de la succession d’Hitler qu’ils savent malade, le Reichsmarschall Hermann Göring s’efforce de disposer de toujours davantage de troupes combattantes terrestres afin de concurrencer la Waffen-SS. C’est ainsi que, la désagrégation de ses escadrilles aériennes libérant des milliers de personnels, le chef de la Luftwaffe lève des divisions jusque dans les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale. L’une des ultimes divisions créées ne sera pas à la noce : la 9. Fallschirmjäger-Division, unité qui n’a de parachutiste que le nom, aura en effet la fâcheuse habitude d’être constamment le fer de lance des combats perdus d’avance...
+ Le char de combat T-34
Autopsie d'une bête de guerre révolutionnaire
Lors de l’opération « Barbarossa » (22 juin 1941 – 5 décembre 1941), le char moyen T‑34 est une douloureuse surprise pour les militaires allemands. En effet, ces derniers étaient jusqu’à présent persuadés que l’industrie militaire soviétique était incapable de concevoir un blindé supérieur aux leurs, mais l’engin russe surclasse tous ses adversaires dans les domaines de la mobilité, la puissance de feu et la protection ! Une réussite technologique donc, mais mettre au point dans les années 1930 un tank aussi « révolutionnaire » est très loin d’être simple. Retour sur un char qui a marqué son temps et qui est toujours en service de nos jours !
+ Fort Alamo dans les Ardennes
Le combat de Lanzerath
Durant les premières heures de la bataille des Ardennes, alors que certaines unités américaines se replient à toute vitesse, d’autres résistent sur place jusqu’à l’épuisement total de leurs moyens, comme l’I&R Platoon du 394th Infantry Regiment.
+ Matsu Kikan chez les « Aussies »
Quand des Japonais débarquaient en Australie !
Parmi les mythes ayant eu la vie dure, figure celui du projet d’invasion de l’Australie par les forces armées japonaises. En réalité, seuls quelques officiers d’état-major de la Marine impériale ont évoqué ce projet ayant aussitôt été repoussé par l’Armée nipponne qui le jugeait – à raison – totalement irréalisable. Ce n’est jamais allé plus loin que cela, et la stratégie adoptée a été d’isoler le dominion britannique en s’emparant et fortifiant les chapelets d’îles mélanésiennes l’entourant. L’objectif était que les Américains ne puissent s’installer en Australie pour y acheminer les renforts, matériels et moyens logistiques susceptibles de permettre aux Alliés de repartir à la conquête du Pacifique. Or, le rejet de ce plan d’invasion n’a pas empêché des soldats japonais de poser le pied sur l’île-continent au cours d’une opération totalement tombée dans l’oubli…
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