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Ligne de Front n°82 - La bataille de Villers-Bocage, juin 1944 - Échec pour Montgomery
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Ligne de Front n°82

La bataille de Villers-Bocage, juin 1944

Échec pour Montgomery

Au sommaire de Ligne de Front n°82 - Novembre/Décembre 2019

+ La bataille de Villers-Bocage, juin 1944
Échec pour Montgomery

+ Grenadiers contre Sherman !
Les contre-attaques des I. et II./SS-Panzer-Grenadier-Regiment 25

+ Les K-Verbände de la Kriegsmarine
Entre « poussière navale », forces spéciales et commandos-suicides

+ Les secrets du Pakfront
Les tactiques antichars soviétiques de la Seconde Guerre mondialeian Geyer » : entre combat et extermination

+ Petite guerre entre « amis »
Opération « Achse » : détruire l’armée italienne !

+ L’infanterie de l’air
Le « faux départ » des paras français

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Au sommaire de Ligne de Front n°82 - Novembre/Décembre 2019

+ La bataille de Villers-Bocage, juin 1944

Échec pour Montgomery

Le 6 juin 1944, le général Montgomery, commandant en chef des forces terrestres alliées et du 21st Army Group, se révèle incapable de prendre la ville stratégique de Caen. Le 12 juin, il profite d’une brèche dans la ligne de défense allemande pour monter une offensive qui prévoit une manœuvre en tenaille : un nouvel échec compromettrait l’opération « Overlord ».

+ Grenadiers contre Sherman !

Les contre-attaques des I. et II./SS-Panzer-Grenadier-Regiment 25

Le 7 juin 1944, alors que les Alliés ont débarqué la veille sur les plages normandes, les premiers éléments du SS-Panzer-Grenadier-Regiment 25 de la 12. SS-Panzer-Division « Hitlerjugend » passent à l’attaque pour tenter, comme le certifiait leur Kommandeur Kurt « Panzer » Meyer la veille, de « rejeter l’ennemi à la mer comme du petit poisson ». Les contre-attaques des I. et II. Bataillonen du régiment se heurtent pourtant dès le départ à des troupes anglo-canadiennes solidement ancrés dans leur tête de pont.

+ Les K-Verbände de la Kriegsmarine

Entre « poussière navale », forces spéciales et commandos-suicides

Alors que ses alliés japonais et italien recourent avec des fortunes diverses – de lourdes pertes pour les premiers, d’importants succès pour les seconds, mais dans tous les cas avec des effets psychologiques certains sur l’ennemi – aux sous-marins de poche et aux torpilles humaines pour attaquer les flottes adverses au mouillage, l’Allemagne ne se penche sur ces modes d’action qu’à partir de janvier 1943. Il faut dire que la situation de la Kriegsmarine, à ce stade de la guerre, est devenue désespérée : les hécatombes de U-Boote dans l’Atlantique obligeront sous peu l’amiral Dönitz à replier ses « loups gris » au large des Açores, alors que les grands bâtiments de surface survivants sont tapis, inutiles, dans les fjords norvégiens. Pour porter des coups aux marines alliées et, surtout, repousser les débarquements à venir, la marine allemande en est réduite à des expédients faisant office d’aveu de faiblesse… Ainsi naissent les Kleinkampf-Verbände – ou K-Verbände –, c’est-à-dire de petites unités de combat qui compteront tout de même quelques petits succès à leur actif.

+ Les secrets du Pakfront

Les tactiques antichars soviétiques de la Seconde Guerre mondiale

Pour stopper les Panzer, les Soviétiques développent tout au long de la Grande guerre patriotique une série de tactiques antichars de plus en plus efficaces qui aboutiront à la destruction de la majorité des blindés allemands et qui influenceront durablement la doctrine de l’Armée rouge (RKKARabotche Krestinskaïa Krasnaïa Armia) au cours de la Guerre froide.

+ Petite guerre entre « amis »

Opération « Achse » : détruire l’armée italienne !

« La seule armée italienne qui ne trahisse pas est celle qui n’existe pas ». En dépit de l’amitié que Mussolini et Hitler nourrissaient l’un envers l’autre, ces mots du Generalfeldmarschall Keitel résument l’image que les nazis ont du Regio Esercito et plus généralement des Italiens. Alors, quand l’armistice de Cassibile, signal de la défection transalpine, est proclamé le 8 septembre 1943 par le maréchal Badoglio, la Wehrmacht met à exécution l’opération « Achse », un plan prémédité d’invasion de l’Italie, Rome comprise, et de ses zones d’occupation à l’étranger. L’armée royale, et au-delà tout un pays, s’écroulent, dans des circonstances parfois tragiques.

+ L’infanterie de l’air

Le « faux départ » des paras français

Le 10 mai 1940, les Fallschirmjäger fondent sur le fort d’Ében-Émael et s’en emparent. Cette première opération militaire aéroportée va semer la terreur parmi les états-majors alliés, notamment français, et très vite l’arme aéroportée se voit conférer un énorme potentiel. Pourtant, la France dispose elle aussi de parachutistes militaires… créés quelques années plus tôt grâce à l’expertise soviétique ! Retour sur le parcours chaotique des Groupes d’Infanterie de l’Air.

+ Actualités

  • Interview de David Zambon : L’armée italienne sur le front de l’Est
  • Oscarsborg : la forteresse qui a vaincu le Blütcher
  • Recensions