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Ligne de Front n°81 - La bataille des hauts de Seelow (16-19 avril 1945) - Un taxi pour Berlin
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Ligne de Front n°81

La bataille des hauts de Seelow (16-19 avril 1945)

Un taxi pour Berlin

Au sommaire de Ligne de Front n°81 - Septembre/Octobre 2019

+ Un taxi pour Berlin
La bataille des hauts de Seelow (16-19 avril 1945)

+ Des Tigres dans la boue
Extrait des mémoires de guerre d'Otto Carius

+ Simo Häyhä
Le meilleur sniper de la Seconde Guerre mondiale ?

+ La « Horde noire »
La Division « Florian Geyer » : entre combat et extermination

+ Rommel et la guerre du désert
Une nouvelle manière de faire ?

+ Bernard L. Montgomery
Le stratège controversé

+ Raggruppamento « Frecce Rosse »
La légion étrangère du Duce

+ Mack NO 7 1/2 ton 6x6 truck
Le plus beau des camions

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LDF81
8,50 € Frais de port compris

Au sommaire de Ligne de Front n°81 - Septembre/Octobre 2019

+ Un taxi pour Berlin

La bataille des hauts de Seelow (16-19 avril 1945)

À l’heure de lancer ce qui doit être la dernière offensive de la guerre pour prendre Berlin, le maréchal Joukov, commandant du 1er Front de Biélorussie, doit d’abord s’emparer des hauteurs de Seelow qui dominent l’Oderbruch – les marais de l’Oder – et qui représentent le dernier rempart géographique remarquable avant la capitale du Reich. Les délais imposés par Staline pour s’emparer de la « tanière de la Bête » vont contraindre le brillant maréchal soviétique à prendre des risques parfois insensés pour s’affranchir de cet obstacle.

+ Des Tigres dans la boue

Extrait des mémoires de guerre d'Otto Carius

Dans un style alerte et martial, mais toujours précis et foisonnant d’anecdotes, l'as de la Panzerwaffe Otto Carius,  crédité par la Wehrmacht de la destruction de plus de 150 chars, nous livre pour la première fois en français ses mémoires de guerre : « Des Tigres dans la boue ».
Depuis la tourelle de son Panzer lourd dans le nord de l’URSS, la casemate de son Jagdtiger face aux Américains dans une Allemagne en ruines, ou derrière le volant de sa Kübelwagen, l'officier nous raconte sa guerre, offrant un récit passionnant, émaillé de combats épiques mais aussi de souvenirs personnels et émouvants. Attaché à ses équipages, Carius ne nous épargne rien, nous conduisant au front, dans des circonstances parfois atrocement difficiles. On se surprend à retenir son souffle, à suivre le destin de ses Tiger, mastodontes d'acier de presque 60 tonnes, tantôt prédateurs, tantôt proies. On conçoit des plans de bataille avec lui, on s’inquiète d’un dispositif trop faible, on se surprend à espérer le succès ou à redouter l’échec !
En exclusivité, « Ligne de front » vous propose un extrait de ce best-seller de l’histoire militaire, paru à la fin des années 1950, en Allemagne, traduit en de nombreuses langues, sauf la nôtre ; lacune qui sera corrigée d’ici peu !

+ Simo Häyhä

Le meilleur sniper de la Seconde Guerre mondiale ?

542 ennemis abattus. Ce décompte morbide a de quoi faire frémir la plus inébranlable des « bêtes de guerre ». Ce « tableau de chasse » est celui du Finlandais Simo Häyhä, qui s’est distingué durant la Guerre d’hiver de 1939-1940 par son sens du camouflage, sa patience, son sang froid et la précision redoutable de ses tirs. Häyhä est devenu tellement craint par l’Armée rouge que les Frontoviki lui ont attribué un surnom éloquent : « Belaya Smert », autrement dit la « Mort blanche ».

+ La « Horde noire »

La Division « Florian Geyer » : entre combat et extermination

Tombée en désuétude durant la Première Guerre mondiale, le feu roulant de l’artillerie de campagne et la cadence de feu élevée des armes automatiques ayant rendu son emploi inadapté sur tout champ de bataille ouvert, la cavalerie parvient à survivre au sein de l’Armée allemande jusqu’en 1939, grâce à l’obstination de ses officiers supérieurs qui, très attachés aux traditions de leur arme, s’efforcent d’exister à côté d’une Wehrmacht ayant opté pour l’automitrailleuse comme vecteur de reconnaissance et le Panzer comme élément de choc. Parallèlement, la sinistre SS d’Heinrich Himmler, qui se fait fort d’éliminer les ennemis du III. Reich quels qu’ils soient dans la guerre à venir, entrevoit la possibilité de recourir à des cavaliers sur les arrières du front, où leur mobilité et leur capacité à se mouvoir sur presque n’importe quel terrain faciliteraient les ratissages sur les arrières de la Wehrmacht.

+ Rommel et la guerre du désert

Une nouvelle manière de faire ?

« Rommel est plus qu’un commandant brave et ingénieux. C’est un commandant qui réfléchit. Il tire des leçons de ses expériences, les couche sur le papier et s’en sert pour s’améliorer. N’importe où il se trouve, il partage ses enseignements. Rommel n’est pas seulement un exécutant hors pair ; il tire aussi la théorie dans la pratique et fait progresser l’art de la guerre. » David Fraser, historien britannique, tire de Rommel un portrait en ces mots. Si la légende de l’homme s’est créée après-guerre (et a été très déformée pour en faire un « simple » soldat), il est indéniable que Rommel a su s’adapter au terrain et surtout à ses adversaires. C’est notamment pendant la guerre en Afrique du nord qu’il a démontré tout son talent… petit tour d’horizon.

+ Bernard L. Montgomery

Le stratège controversé

Personnage controversé que Bernard L. Montgomery (1887 – 1976) ; élevé au rang de génie militaire grâce à sa grande victoire d’El Alamein, cette personnalité soucieuse de sa propre légende suscitera les enthousiasmes les plus débordants comme les critiques les plus acerbes. Détestable et attachant, narcissique et populaire, visionnaire et vaniteux, Montgomery n’est pas sans encore faire l’objet de polémiques tournant autour de sa compétence guerrière. Une chose est certaine : il n’a laissé indifférents ni ses contemporains, ni les historiens de la Seconde Guerre mondiale.

+ Raggruppamento « Frecce Rosse »

La légion étrangère du Duce

Au printemps 1942, le Regio Esercito décide de former une unité spéciale composée de prisonniers de guerre « indigènes » provenant de l’Empire colonial britannique et d’Italiens arabophones résidant au Moyen-Orient et en Tunisie, le but étant de lui affecter des actions de renseignements ou de sabotage en territoire ennemi. Ses groupes y seraient infiltrés par sous-marin, véhicule tout-terrain type Sahariana ou parachutage par avion.

+ Mack NO 7 1/2 ton 6x6 truck

Le plus beau des camions

Considéré par certains comme le plus beau, valeur subjective s’il en est, des calmions mis en service durant la Seconde Guerre mondiale, le Mack NO 7 1/2 ton 6x6 truck est également un véhicule performant capable de tracter de lourdes pièces d’artillerie.

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