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Ligne de Front n°76 - La bataille du Reichstag
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Ligne de Front n°76

La bataille du Reichstag

 EPUISE ! 

Au sommaire de Ligne de Front n°76 - Novembre/Décembre 2018

+ Détruite la bête
La bataille du Reichstag

+ L’engagement dans la division « Hitlerjugend »
Témoignages de jeunes volontaires nés en 1926

+ Les « Chiens de garde » d'Hitler
Une nébuleuse inefficace ?

+ Les Kamikazes
Terreur dans les trois dimensions du Pacifique

+ La défense en profondeur soviétique
Koursk, 1943

+ La Garde meurt...
....mais ne se rend pas !

+ Les « Filthy Thirteen »
La 1st Demolition Section de la 101st Airborne

+ Sturmtiger
Le spécialiste de la guerre urbaine

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LDF76

Au sommaire de Ligne de Front n°76 - Novembre/Décembre 2018

+ Détruite la bête

La bataille du Reichstag

30 avril 1945, 22h50. Berlin, en ruines, est couverte d’un nuage de poussière et de fumées crachées par les bâtiments éventrés. La nuit est tombée depuis peu et l’artillerie s’est enfin tue. C’est alors qu’un drapeau rouge s’agite sur le toit du Reichstag, puis est laborieusement fixé au pied d’une statue. En réalité, le bâtiment est encore en partie aux mains des Allemands – mais des Soviétiques sont parvenus à s’infiltrer et à poser leur bannière pour signifier leur victoire.

+ L’engagement dans la division « Hitlerjugend »

Témoignages de jeunes volontaires nés en 1926

La création de la 12. SS-Panzer-Division, qui est au départ une simple SS-Panzergrenadier-Division, se fait en théorie sur la base du volontariat, par recrutement d’adolescents de 16-17 ans issus des Jeunesses hitlériennes. Le témoignage de certains d’entre eux, à retrouver dans le dernier livre de Stephan Cazenave (Panzerdivision « Hitlerjugend », Tome 1 Volume 1, Maranes Éditions), est intéressant, car il met en lumière certaines pratiques des sergents-recruteurs de la SS : engagement forcé ou par duperie sont courants, quitte faire rendre aux jeunes hommes  leur certificat d’admission dans les autres branches de la Wehrmacht.

+ Les « Chiens de garde » d'Hitler

Une nébuleuse inefficace ?

La grande complexité des rouages politico-militaires du régime nazi rend souvent difficile la compréhension des différents organismes et services imbriqués, voire rivaux, jusque dans leurs attributions directes. La question de la sécurité d’Hitler ne fait pas exception, voire constitue une illustration presque caricaturale de cette complexité, tant les ramifications de cette problématique sont nombreuses.

+ Les Kamikazes

Terreur dans les trois dimensions du Pacifique

7 décembre 1941, premier jour de la guerre d’Asie-Pacifique. Son chasseur Mitsubishi Zéro perdant du carburant après avoir été touché par la DCA américaine lors de l’attaque de l’aérodrome de Kaneohe, près de Pearl Harbor, le lieutenant de vaisseau Iida Fusata sait qu’il ne pourra plus rejoindre son porte-avions, le Soryu. Le pilote de la marine impériale fait alors demi-tour et tente de s’écraser volontairement sur un hangar, mais les balles d’un mitrailleur américain l’en empêchent et le Zéro se crashe à quelques mètres des habitations des officiers mariés de la base aérienne. C’est la première fois que les Alliés occidentaux sont confrontés à une attaque-suicide nipponne.

+ La défense en profondeur soviétique

Koursk, 1943

Après les grands chocs défensifs des années 1941 et 1942, l’Armée rouge se prépare au printemps 1943 à défendre le saillant de Koursk en mettant en œuvre de nouvelles tactiques de défense en profondeur pour arrêter la ruée des Panzer, le tout en vue de lancer une vaste contre-offensive opérationnelle. Ces nouvelles méthodes de défenses sont formalisées par les instructions d’avril 1943 de la STAVKA.

+ La Garde meurt...

....mais ne se rend pas !

Le succès de Patton lors de l’opération « Cobra » ouvre de nouvelles perspectives pour les troupes anglaises. La percée américaine oblige les Allemands à repositionner d’urgence les 2. et 116. Panzer-Divisionen pour tenter de bloquer les Sherman qui avancent dangereusement sur leurs arrières. Montgomery entend bien profiter de cette aubaine pour redorer le blason de l’Armée anglaise écorné depuis le succès pour le moins mitigé de « Goodwood ». Pour le vainqueur d’El-Alamein, « Bluecoat » est l’occasion de prendre une éclatante revanche sur les Allemands qui lui tiennent tête depuis tant de semaines ! Toutefois, ce que le Britannique ne sait pas encore, c’est que tous les prédateurs embusqués sur le champ de bataille n’ont pas encore été découverts…

+ Les « Filthy Thirteen »

La 1st Demolition Section de la 101st Airborne

Leurs visages sont probablement parmi les plus connus de l’opération « Overlord », et pourtant, on les connaît finalement assez mal. Ces parachutistes américains de la 101st Airborne Division qui, avant de monter dans leurs Douglas C-47 Skytrain le 5 juin 1944, se sont rasés le crâne en n’y laissant qu’une crête iroquoise et se barbouillent le visage de peintures de guerre indiennes, appartiennent à une unité particulière, la 1st Demolition Section du Demolition Platoon de l’état-major du 506th Parachute Infantry Regiment, que l’on surnomme les « Treize salopards ».

+ Sturmtiger

Le spécialiste de la guerre urbaine

Après les grands chocs défensifs des années 1941 et 1942, l’Armée rouge se prépare au printemps 1943 à défendre le saillant de Koursk en mettant en œuvre de nouvelles tactiques de défense en profondeur pour arrêter la ruée des Panzer, le tout en vue de lancer une vaste contre-offensive opérationnelle. Ces nouvelles méthodes de défenses sont formalisées par les instructions d’avril 1943 de la STAVKA.

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