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Ligne de Front n°75 - 1945 Carnage à Paderborn -  SS-Panzer-Brigade « Westfalen » vs 3rd US Armored Division
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Ligne de Front n°75

1945 Carnage à Paderborn

SS-Panzer-Brigade « Westfalen » vs 3rd US Armored Division

Au sommaire de Ligne de Front n°75 - Septembre/Octobre 2018

+ Stratégie, tactique et règles d’emploi des armes de la Wehrmacht
2e partie : la défensive

+ La bataille de Paderborn, mars-avril 1945
SS-Panzer-Brigade « Westfalen » vs 3rd US Armored Division

+ + Dossier : Les projets d'invasions avortés de la Wehrmacht

+ Opération « Seelöwe »
L’invasion de l’Angleterre n’aura pas lieu

+ Kathleen, Gertrud, Felix...
Ces invasions allemandes qui n'ont pas eu lieu

+ Comment tirer un V2 ?
Les secrets de l'A4 Fibel

+ Le bataillon sacré
Les SAS Grecs

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LDF75
8,50 € Frais de port compris

Au sommaire de Ligne de Front n°75 - Septembre/Octobre 2018

+ Stratégie, tactique et règles d’emploi
des armes de la Wehrmacht

2e partie : la défensive

Fin 1942, début 1943, le III. Reich est en difficulté sur plusieurs fronts. S’il a précédemment fait l’impasse sur l’élaboration d’une tactique défensive précise, il doit en urgence dégager de nouvelles règles d’emploi lui permettant de contenir ses adversaires toujours plus nombreux.

+ La bataille de Paderborn, mars-avril 1945

SS-Panzer-Brigade « Westfalen » vs 3rd US Armored Division

23 mars 1945 : la mise à mort de la Heeresgruppe B du Generalfeldmarschall Walter Model, tenant le front Ouest de l’Allemagne, débute. Dans le secteur de Wesel, au nord-ouest du pays, la 2nd British Army et la 9th US Army enfoncent le dispositif de la Wehrmacht sur le Rhin (opération « Plunder »), renforcées le lendemain par le parachutage des 16 000 hommes des 17th US Airborne Division et 6th British Airborne Division (opération « Varsity »), de l’autre côté du fleuve. Le 27, les Anglo-américains ont constitué une tête de pont béante de 55 km de large et 30 km de profondeur sur la rive orientale du cours d’eau. Simultanément, s’étant assuré le contrôle du pont de Remagen, dont le débit a été accru par la mise en place de quatre ponts flottants, la 1st US Army du général Hodges pulvérise la 15. Armee du General der Infanterie von Zangen et passe la trouée au nord de Coblence, son VII Corps atteignant Marburg dès le 28 mars. L’encerclement du bassin industriel de la Ruhr est imminent et la Wehrmacht doit racler les fonds de tiroir pour que la bataille ne prenne pas l’allure d’un désastre !

+ Dossier : Les projets d'invasions avortés de la Wehrmacht

+ Opération « Seelöwe »
L’invasion de l’Angleterre n’aura pas lieu

Sincère admirateur de l’immense empire colonial forgé par le peuple anglo-saxon, donc germanique, et n’ayant jamais désespéré de parvenir à une entente avec la Grande-Bretagne sur un partage du monde, Adolf Hitler n’en fait pas moins dresser les plans de l’invasion de l’Angleterre au lendemain de sa victoire sur la France. Qu’il ait eu un jour réellement l’intention de déclencher l’opération « Seelöwe » reste sujet à caution, car certains y voient une simple manœuvre destinée à intimider la Grande-Bretagne pour la pousser en dehors de la guerre, alors que d’autres l’interprètent comme une gigantesque entreprise d’intoxication destinée à dissimuler à Staline les préparatifs de l’invasion de l’URSS, le véritable but de guerre de l’Allemagne nazie.

+ Kathleen, Gertrud, Felix...
Ces invasions allemandes qui n'ont pas eu lieu

Parmi toutes les opérations militaires planifiées par les différents belligérants au cours de la Seconde Guerre mondiale, beaucoup, quelle que soit l’ampleur envisagée, n’ont évidemment jamais dépassé le stade de l’hypothèse de travail ou du projet technique plus ou moins élaboré. Certaines de ces opérations avortées, pour une raison ou une autre, n’ont jamais été envisagées qu’en tant que diversions ou de leurres. Côté allemand en revanche, il y en a certaines, longtemps suspendues au fil d’une décision d’Hitler, qui ont connu un début de préparation matérielle parfois très avancé. L’opération « Seelöwe », le débarquement en Angleterre dont la fameuse bataille d’Angleterre de l’été 1940 aurait du constituer les prémices, et l’opération « Herkules » / « C3 », autrement dit l’invasion de Malte sont bien connues et documentées. D’autres, plus ou moins farfelues, le sont bien moins !

+ Comment tirer un V2 ?

Les secrets de l'A4 Fibel

Sa forme élancée et sa silhouette si particulière sont représentatives des « projets fous » du III. Reich à la fin de la guerre : l’Aggregat 4, aussi connu sous le nom de V2, est une arme en avance sur son temps et qui ouvrira à l’Humanité la conquête de l’Espace. En réalité, ce bijou technologique n’a qu’un impact très faible sur le déroulement de la guerre, surtout quand on le compare aux coûts de production… L’A4 Fibel décrit les étapes de préparation avant le tir pour des personnels de moins en moins formés.

+ Le bataillone sacré

Les SAS Grecs

Après avoir héroïquement repoussé l’invasion italienne depuis l’Albanie au cours de l’hiver précédent, la Grèce est submergée par la Wehrmacht en avril 1941, avant que la Crète ne succombe à son tour sous l’assaut des Fallschirmjäger signant une victoire à la Pyrrhus. Les débris de l’Armée royale hellène, repliés par la Royal Navy en Égypte en même temps que l’ANZAC, sont dispersés dans tout le Moyen-Orient afin de soulager l’effort de guerre allié en prenant à leur compte des missions de l’arrière. Une unité d’élite ne tardera pas à faire son apparition : l’« Escadron sacré ».

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