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Ligne de Front n°70 - Les batailles les plus sanglantes de la seconde guerre mondiale
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Ligne de Front n°70

Les batailles les plus sanglantes

de la Seconde Guerre mondiale

 EPUISE ! 

Au sommaire de Ligne de Front n°70 - Novembre/Décembre 2017

+ Les batailles les plus sanglantes
de la seconde guerre mondiale

+ « Monte Cassino en Bretagne »
La bataille de Brest, août-septembre 1644

+ « En avant Bourguignons ! »
La légion Wallonie

+ Le Landser
Qui est-il ? A quoi sert-il ? Où combat-il ?

+ Présidents en guerre
Les futurs locataires de la Maison Blanche au combat

+ KV-2
Le « casseur » de bunkers

En savoir +

LDF70

Au sommaire de Ligne de Front n°70 - Novembre/Décembre 2017

+ Les batailles les plus sanglantes de la seconde guerre mondiale

Comparaison, analyses, idées reçues

La Seconde Guerre mondiale, avec ses cinquante millions de morts directs, reste, et de loin, le conflit le plus meurtrier de l’Histoire. C’est aussi celui qui a vu s’accomplir la triste évolution des guerres modernes, déjà partiellement constatée au cours des décennies précédentes : l’augmentation proportionnellement très rapide des victimes civiles par faits de guerre ou crimes contre l’humanité, au point de devenir majoritaires.

+ « Monte Cassino en Bretagne»

La bataille de Brest, août-septembre 1644

Selon le plan « Overlord », les ports bretons sont des objectifs majeurs de la future 3rd Army du général Patton. Les Américains se souviennent que Brest est le port français qui, en 1917, accueillit leurs contingents d’hommes, leurs munitions et leur matériel lors de leur entrée dans la Grande Guerre. En 1944, il est donc logique que, dans leur esprit, Brest soit de nouveau utilisé comme la « porte d’entrée de l’Atlantique ». Mais alors que Patton espérait capturer la ville et son port sans coup férir, le VIII Corps va s’enliser dans un long et sanglant siège qui immobilisera 50 000 Américains et ruinera la ville.

+ « En avant Bourguignons ! »

La légion Wallonie

Comme chez les Flamands, l’engagement de volontaires wallons sous l’uniforme allemand entre dans un contexte politique. Cependant, contrairement à leurs compatriotes néerlandophones, les Belges francophones ne sont pas issus d’un courant autonomiste, et le choix de la plupart est inspiré par un seul et même leader.

+ Le Landser

Qui est-il ? A quoi sert-il ? Où combat-il ?

Si ces questions apparaissent volontairement impertinentes, c’est parce que les réponses ne sont pas aussi simples qu’il y paraît. Le Landser, ce soldat allemand qui a régné sur l’Europe occupée durant près de quatre ans, ne constitue pas, aux côtés de ses millions de camarades de combat, un ensemble homogène. La « piétaille » qui crapahute sur les pentes boisées du Caucase à Touapsé n’est pas la même qui arrache aux Soviétiques, pas très loin de là, le sommet du mont Elbrouz à sa garnison, ni celle qui se rue vers les positions ennemies sur la plage arrière d’un Panzer IV à Koursk, qui patrouille à ski dans les intervalles en Carélie ou qui livre une lutte acharnée, immeuble après immeuble, dans les rues de Stalingrad.

+ Présidents en guerre

Les futurs locataires de la Maison Blanche au combat

Aux États-Unis, nation qui a si souvent fait la guerre et dont l’armée est une institution profondément ancrée dans la culture nationale, le « pedigree » militaire des présidents n’est pas anodin. Comme dans la plupart des grandes nations occidentales, la génération qui a grandi et vécu pendant la dernière guerre a été aux commandes des États jusqu’à l’orée des années 1990. Comment les futurs présidents ont-ils vécu le conflit, qu’y ont-ils fait ? En quoi la Seconde Guerre mondiale et leur expérience ont-elles pu influer sur leur carrière politique ?

+ KV-2

Le « casseur » de bunkers

En 1939, lors de la Guerre d’hiver, les troupes soviétiques connaissent un échec retentissant face à la résistance opiniâtre des soldats finlandais, notamment au moment de prendre les fortifications de la ligne « Mannerheim ». Dans ces conditions est réclamé un puissant et bien protégé canon automoteur lourd capable d’écraser des bunkers par des tirs directs.