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Ligne de Front n°64 - 1945, BAUTZEN - Coup d'arrêt aux polonais
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Ligne de Front n°64

1945, BAUTZEN

Coup d'arrêt aux polonais

Au sommaire de Ligne de Front n°64 - Novembre/Décembre 2016

+ 1945, BAUTZEN
Coup d'arrêt aux polonais

+ Odilo « Globus » Globocnik
Le monstre oublié

+ Les commandos US dans le Pacifique
De Guadalcanal à la Birmanie

+ Les « Vikings » d'Hitler
La SS.Panzer-Grenadier-division « Nordland »

+ Août 1944 : de « Cobra » à la Seine
Une poursuite (presque) parfaite

+ Mussolini, un dictateur en guerre
Le drame égyptien

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Au sommaire de Ligne de Front n°64 - Novembre/Décembre 2016

+ 1945, BAUTZEN

Coup d'arrêt aux polonais

Remise sur pied par Moscou, équipée de blindés modernes, l’Armée populaire polonaise (Ludowe Wojsko Polskie) entend bien venger la cuisante défaite subie en septembre 1939 sur son territoire national. Et les opérations se présentent plutôt bien, car, en avril 1945, la Wehrmacht ne peut que subir la terrible pression exercée par l’Armée rouge, et elle est obligée de reculer pour ne pas être totalement écrasée. Les Soviétiques, qui cherchent à conquérir Berlin, ont d’ailleurs réservé aux Polonais une mission importante. Mais les unités d’élite de la 4. Panzer-Armee vont se charger de rappeler que la guerre à l’Est n’est pas encore gagnée.

+ Odilo « Globus » Globocnik

Le monstre oublié

Himmler, Heydrich, Eichmann, Pohl, Höss, Blobel, Mengele, von dem Bach-Zelewski… Ces noms résonnent familièrement dans l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, dans ce qu’elle a de plus morbide. Ils comptent tous en effet parmi les principaux ordonnateurs ou exécutants de la « solution finale ».
À l’inverse, le nom de Globocnik apparaît étrangement peu connu, « virtuellement oublié », quand ce n’est totalement ignoré hors des cercles spécialisés, alors qu’il se hisse très haut dans la hiérarchie des assassins nazis.

+ Les commandos US dans le Pacifique

De Guadalcanal à la Birmanie

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’US Army met sur pied plusieurs unités d’élite, très mobiles et adaptées aux dures spécificités du climat et du terrain sur le théâtre « Asie-Pacifique ».

+ Les « Vikings » d'Hitler

La SS.Panzer-Grenadier-division « Nordland »

En cette fin d’année 1942, l’Ordre noir d’Heinrich Himmler est en pleine expansion, tant sur le plan politique que militaire, avec les réussites sur le terrain de la Waffen-SS. Après avoir ordonné la création de nouvelles divisions SS à recrutement allemand, Adolf Hitler, enthousiasmé par les récents succès de la division « Wiking » qui comprend des volontaires nord-européens, décide la levée d’une seconde formation de volontaires germaniques. Mais, en cette quatrième année de guerre, la constitution de cette unité sera complexe, le recrutement et les fournitures de matériels problématiques. Si l’adhésion en masse de recrues espérée fera défaut en 1943, ce seront finalement ces mêmes premiers volontaires nord-européens que l’on retrouvera, en 1945, dans la défense de la capitale en ruine du Reich

+ Août 1944 : de « Cobra » à la Seine

Une poursuite (presque) parfaite

Le 1er août 1944, à Avranches, la percée américaine est effective. Eisenhower, qui estime avoir perdu trop de temps (et de soldats) en Normandie, veut empêcher les restes de l’Armée allemande de s’échapper et de passer la Seine. Pour ce faire, il lance à ses trousses la nouvelle 3rd Army du général Patton, qui s’engouffre dans la brèche sans se préoccuper d’une éventuelle contre-attaque ennemie. Dorénavant, les Alliés ont l’initiative et vont la conserver, imposant à la Wehrmacht, lors d’une suite d’opérations préparées ou improvisées, leurs manoeuvres, leur mobilité et leur vitesse d’exécution.

+ Mussolini, un dictateur en guerre

Le drame égyptien

Au printemps 1940, Mussolini est soucieux du devenir de la Libye, menacée selon lui par les 100 000 soldats britanniques stationnés en Égypte, et les 150 000 Français d’Afrique du nord. Préventivement, il demande au maréchal Balbo d’acheminer 90 000 hommes supplémentaires, en plus des 120 000 déjà sur place. Comme toujours, le Duce pense qu’à lui seul le nombre fera la différence et que ses armées ont la capacité de conquérir l’Égypte.