Ligne de Front n°63
L'arsenal secret d'Hiro-Hito
Les armes miracles japonaises
EPUISE
Au sommaire de Ligne de Front n°63 - Septembre/Octobre 2016
+ L'arsenal secret d'Hiro-Hito
Les armes miracles japonaises
+ L'Italie a-t-elle inventée les forces spéciales ?
L'innovation comme arme
+ Dans l'enfer de Cherbourg
Avec le bataillon de pionniers de la 709. infanterie-division
+ Les « Brandebourgeois » dans le Caucase
A l'assaut des puits de pétrole
+Desmond Doss
Un héros pas comme les autres
+ La bataille des usines
Stalingrad, octobre/novembre 1942
+ Actualités
Le Donbass : une armée de volontaires têtus
Au sommaire de Ligne de Front n°63 - Septembre/Octobre 2016
+ L'arsenal secret d'Hiro-Hito
Les armes miracles japonaises
Au cours du second conflit mondial, le Japon développe toute une gamme d’armes censées redresser une situation militaire désastreuse. Certaines resteront à l’état de projet, mais d’autres sont réellement mises en œuvre et connaissent des succès variables. Toutefois, aucune ne put changer quoi que ce soit à l’issue de la guerre.
+ L'Italie a-t-elle inventée les forces spéciales ?
L'innovation comme arme
Si l’Italie est une jeune nation, ses traditions militaires sont anciennes, bien antérieures à 1861. On pourrait par défaut associer l’Italie à la Rome antique, qui disposait de l’Armée la plus efficace de l’époque, probablement même de l’Histoire ! À mesure du temps et des évolutions géopolitiques dans la péninsule, certaines ont perduré, d’autres ont été dépoussiérées, adaptées ou tout simplement inventées. Pendant la Seconde Guerre mondiale, c’est souvent l’ingéniosité qui a suppléé le manque de moyens, conduisant à la création d’unités spéciales qui sont encore actives de nos jours.
+ Dans l'enfer de Cherbourg
Avec le bataillon de pionniers de la 709. infanterie-division
Premier grand port français à tomber aux mains des Alliés à la suite du débarquement en Normandie, Cherbourg a fait l’objet d’une bataille acharnée entre Américains et Allemands. Nous vous proposons, par le biais du témoignage inédit du Major Hornung (Kommandeur du Pionier-Bataillon 709), de revivre une partie de la bataille du Cotentin du 5 au 26 juin 1944.
+ Les « Brandebourgeois » dans le Caucase
A l'assaut des puits de pétrole
Après s’être illustrés sur le front de l’Ouest, en Afrique du Nord et durant l’opération « Barbarossa », les commandos de l’Abwehr sont sollicités pour une série de missions directement relatives à l’objectif final de la campagne d’été de l’Ostheer pour cette année 1942 : le contrôle des puits de pétrole du Caucase. En première ligne durant tout le semestre, les « Brandebourgeois » signent plusieurs retentissants exploits dont ils sont coutumiers.
+Desmond Doss
Un héros pas comme les autres
L’histoire est extraordinaire à bien des égards. Le 12 octobre 1945, le Private First Class Desmond T. Doss reçoit des mains du président Harry Truman la médaille d’honneur du Congrès en récompense de ses actions héroïques durant la bataille d’Okinawa. Cette remise de décoration serait restée l’ordinaire heure de gloire due par l’Amérique reconnaissante aux GIs s’étant distingués par des hauts faits d’armes si le décoré n’était pas le premier objecteur de conscience à recevoir la distinction suprême des États-Unis de toute l’histoire des forces armées américaines !
+ La bataille des usines
Stalingrad, octobre/novembre1942
« Les rues de la ville sont mortes. Il n’y a pas une seule trace de vert dans les rues ; tout a péri dans les fl ammes. Tout ce qui reste des maisons de bois, c’est un tas de cendre d’où émerge la cheminée d’un poêle. Les nombreuses maisons de pierre sont calcinées, leurs fenêtres et leurs portes disparues, leurs toits effondrés. » Vassili Tchouikov
+ Actualités
Le Donbass : une armée de volontaires têtus
Paisiblement assis sur les sacs de sable du parapet de la tranchée, un soldat séparatiste fume, sa Kalachnikov en travers des genoux. Le printemps ukrainien est magnifique. Soleil de plomb, riche parfum de terre noire et de prairies en fl eurs. On se croirait dans Buzzati, avec ces sentinelles attendant un ennemi qui ne vient pas. La même atmosphère paisible prévaut à une demi-douzaine de kilomètres de là, dans le centre-ville de Donetsk. Dans les larges avenues ombragées, les soirées sont aussi douces que si la guerre n’avait jamais eu lieu. Certes, les salaires sont bas, mais les cafés et restaurants sont pleins. Rien ne manque dans les magasins. On rit, on boit, on se promène, jusqu’à ce que le couvre-feu de 23 heures ne vide les rues.