Ligne de Front n°59
L'arsenal du III. Reich
Entre excellence et impasse technologique
EPUISE
Au sommaire de Ligne de Front n°59 - Janvier/Février 2016
+ L'arsenal du III. Reich
- Partie 1 : Les matériels en avance sur leur temps
- Partie 2 : Les impasses
+ Actualité
Dynamic Response 2015 - Guerre à l'Est
+ Les SS au lion noir
Des flamands dans la Waffen-SS
+ Entrée au pays des Nibelungen
Les alliés franchissent le Rhin
+ Tactiques antichars japonaise
Mines humaines
+ Paras SS sur la Baltique !
Le SS-Fallschirmjäger-bataillon 500 à l'été 1944
+ Guerre pour Bagdad
Le bourbier irakien
Au sommaire de Ligne de Front n°59 - Janvier/Février 2016
+ L'arsenal du III. Reich
- Partie 1 : Les matériels en avance sur leur temps
- Partie 2 : Les impasses
Durant la Seconde Guerre mondiale, le III. Reich met au point une vaste gamme d’armes en tout genre destinées à assurer la supériorité de la Wehrmacht (Armée allemande) sur ses adversaires. Misant sur la qualité plus que sur la quantité faute d’un tissu industriel suffisamment développé, l’Allemagne hitlérienne va équiper ses troupes de matériels qui seront largement repris par les Alliés après-guerre. En effet, les instruments de combat nazis sont bien souvent en avance sur leur temps, au point de préfigurer les armements modernes mis en service dans les années 1950 et 1960. Pour autant, dépassant les limites technologiques de l’époque, d’autres études vont aboutir à des non-sens techniques, voire à des aberrations tactiques sans aucun intérêt militaire.
+ Actualité
Dynamic Response 2015 - Guerre à l'Est
Suite à un accroissement des tensions dans la région, une colonne de chars de combat et de transports de troupes traverse « agressivement » la frontière de la Pologne et se dirige vers la République tchèque. Cette violation du droit international délibérée entraîne une réponse militaire immédiate de Berlin, de Vienne et de Prague, qui dépêchent sur place une Kampfgruppe destinée à stopper l’avance ennemie.
+ Les SS au lion noir
Des flamands dans la Waffen-SS
Entre 1940 et 1945, la Belgique ne fournit aucun contingent national aux armées occupantes, mais concède deux forces régionales, l’une wallonne, l’autre flamande. Les membres de cette dernière portaient sur la manche gauche un écusson jaune frappé d’un lion noir redressé et prêt à griffer.
+ Entrée au pays des Nibelungen
Les alliés franchissent le Rhin
Les premiers soldats alliés à atteindre le fleuve ont été les paras du lieutenant-colonel Frost à Arnhem. Mais l’échec final de « Market-Garden » participe à ce qu’on a ensuite appelé le « miracle de l’Ouest » de l’automne 1944 : les Allemands parviennent contre toute attente à rétablir un front cohérent. Et lorsque la 5e DB française atteint à son tour le grand fleuve à proximité de Mulhouse le 19 novembre, les Alliés sont enferrés depuis des semaines dans une terrible guerre de position. Il faudra batailler dur pour franchir le rempart du Rhin qui, avec le Westwall, constitue la dernière défense du Reich à l’Ouest.
+ Tactiques antichars japonaise
Mines humaines
Lorsque le terme Kamikaze (vent divin) est employé, il évoque généralement ces pilotes japonais appartenant aux « unités spéciales d’attaque » précipitant leurs avions sur les navires de guerre américains pour leur infliger un maximum de dommages. Néanmoins, ces actions suicides ne se résument pas aux seuls aviateurs. Ainsi, la Marine nippone a aussi utilisé des hommes torpilles ou des vedettes dans de vaines tentatives pour inverser le sort des armes. En outre est souvent oublié le fait que l’Armée impériale (la composante terrestre des forces armées de l’Empire du Japon) a également adopté ces méthodes extrêmes pour tenter de détruire les chars alliés.
+ Paras SS sur la Baltique !
Le SS-Fallschirmjäger-bataillon 500 à l'été 1944
Après l’échec de l’opération « Rösselsprung » à la fin mai 1944, le SS‑Fallschirmjäger-Bataillon 500 est retiré des Balkans pour être remis en condition. Réduite à un quart de son effectif théorique, l’unité, commandée par le SS‑Hauptsturmführer Siegfried Milius, est ensuite acheminée vers la Baltique, où les paras doivent être engagés dans des opérations spéciales. Le déclenchement de « Bagration » va alors changer la donne, et les Waffen‑SS participeront en catastrophe aux tumultueux combats de Lituanie.
+ Guerre pour Bagdad
Le bourbier irakien
En 2006, après trois ans de présence américaine en Irak, le pays est en proie à une guerre civile entre les différents mouvements chiites et sunnites. Les autorités irakiennes et la coalition dirigée par les États-Unis entreprennent de rétablir la sécurité dans la capitale, Bagdad, avant que la situation ne dégénère en chaos.