Ligne de Front
Ligne de Front n°52 - Et si les américains avaient envahi le Japon? - «Downfall» contre «Ketsu-go»
search
  • Ligne de Front n°52 - Et si les américains avaient envahi le Japon? - «Downfall» contre «Ketsu-go»

Ligne de Front n°52

Et si les américains avaient envahi le Japon?

«Downfall» contre «Ketsu-go»

 EPUISE ! 

Au sommaire de Ligne de Front n°52 - Novembre/Décembre 2014

+ Et si les américains avaient envahi le Japon?
«Downfall» contre «Ketsu-go»

+ Retour à Arnhem
La bataille du point de vue allemand

+ L'industrie d'armement du IIIe Reich
Confrontée à la guerre

+ Guderian marche sur Gomel
Hitler choisit de frapper en Ukraine

+ La guerre... des effectifs
Ou les aléas de la mobilisation humaine

+ Les Nebelwerfer
Lanceurs de fumigènes explosifs !

En savoir +

LDF52

Au sommaire de Ligne de Front n°52 - Novembre/Décembre 2014

+ Et si les américains avaient le Japon

«Downfall» contre «Ketsu-go»

« Nous devons être préparés à accepter de lourdes pertes lorsque nous envahirons le Japon. Nos précédents succès contre des unités mal nourries et pauvrement ravitaillées, écrasées par notre surpuissance navale et aérienne, ne devraient pas servir de seule base pour estimer le type de résistance que nous rencontrerons dans la métropole japonaise, où les lignes de communication ennemies seront courtes et le ravitaillement plus adéquat. »
L’amiral Nimitz à l’amiral King, juin 1945

+ Retour à Arnhem

La bataille du point de vue allemand

Parfois présentée comme un échec complet, l’opération anglo-américaine « Market-Garden » est considérée comme l’un des derniers succès tactiques des forces armées allemandes sur le front de l’Ouest. Ses détracteurs – du côté anglo-saxon – ont donc été longtemps légion. Cependant, en dépit des nombreuses erreurs commises dans toutes ses phases, ce pari audacieux était jouable. Rappelons que, dans le contexte et l’atmosphère de l’époque, les Alliés entrevoient une fin rapide de la guerre et que, malgré leurs divergences profondes sur leurs stratégies respectives, Anglais et Américains sont parvenus à s’accorder pour planifier cette opération aéroportée d’une ampleur sans précédent.

+ L'industrie d'armement du IIIe Reich

Confrontée à la guerre

Pas loin de 70 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le conflit provoqué par l’Allemagne nazie demeure un objet de fascination pour une très grande partie des amateurs d’histoire du XXe siècle. Cette fascination est partiellement due à la qualité – si pas l’esthétique – de la majorité des matériels et armements divers mis au point et fabriqués par l’industrie de guerre de III. Reich. On ignore cependant trop souvent que c’est cette légendaire qualité – parfois surfaite – qui est partiellement responsable de la défaite allemande au cours de la Seconde Guerre mondiale.

+ Guderian marche sur Gomel

Hitler choisit de frapper en Ukraine

Lancée par la Panzergruppe « Guderian » et la 2. Armee, la marche sur Gomel doit soulager le flanc Sud de la Heeresgruppe « Mitte », soumise à une terrible bataille d’attrition à Smolensk. Mais la Wehrmacht va faire mieux : en près de trois semaines, elle va liquider les défenses soviétiques à l’ouest du Dniepr et de la Dvina et conforter Hitler dans son choix de faire pivoter l’axe d’effort vers l’Ukraine et ses richesses.

+ La guerre... des effectifs

Ou les aléas de la mobilisation humaine

Lorsque les historiens parlent aujourd’hui d’effort de guerre, cela concerne en premier lieu la recherche du consensus politique et l’adhésion de la population, puis, en second lieu, l’effort économique et industriel nécessaire pour produire les armes, munitions et équipements.
Or, il est un sujet rarement traité, pourtant central, celui de la mobilisation humaine de la nation, bien plus complexe qu’on l’imagine généralement. Cet article, qui comprend forcément beaucoup de chiffres, a pour but d’en donner un aperçu en ce qui concerne la France.

+ Les Nebelwerfer

Lanceurs de fumigènes explosifs !

Pour comprendre l’emploi du brouillard artificiel dans les conflits modernes, un bref retour en arrière est nécessaire. Les lecteurs ont en tête ces images ou tableaux des guerres précédentes où, après les premières salves de canons ou de mousqueterie, de grandes masses de fumées de poudre se répandaient sur les champs de bataille.