Ligne de Front n°51
SS-Panzer-Korps
L'arme fatale ?
EPUISE !
Au sommaire de Ligne de Front n°51 - Septembre/Octobre 2014
+ SS-Panzer-Korps
L'arme fatale ?
+ Les chemises noires sur le front russe
Histoire de la 63e Legione d'assalto CC.NN «Tagliamento»
+ La bataille de Jebsheim
Ou comment déverrouiller la porte de Colmar
+ Opération Varsity
Mars 1945 : La dernière Drop zone
+ Helmuth Vonn Pannwitz
L'allemand qui voulait être cosaque
+ Le lance-flammes
+ Montgomery
L'artiste des batailles
Au sommaire de Ligne de Front n°51 - Septembre/Octobre 2014
+ SS-Panzer-Korps
L'arme fatale ?
Au début de 1943, l’ensemble des forces armées du sud de l’Union soviétique est sur le point de s’effondrer complètement : au désastre de Stalingrad ont succédé les offensives réussies de l’Armée rouge contre la 8e armée italienne et la 2e armée hongroise. La 2. Armee elle-même est sérieusement étrillée. Le front, réduit à l’état de passoire, ne peut être renforcé faute de réserves disponibles. Staline et les chefs de la Stavka, l’état-major des forces armées, se frottent les mains : jamais encore ils n’ont été aussi proches d’une victoire sans appel…
+ Les chemises noires sur le front russe
Histoire de la 63e Legione d'assalto CC.NN «Tagliamento»
Soldats « politiques » portant la chemise noire, les « volontaires » sont de tous les combats, aussi bien sur le front intérieur qu’extérieur. Chaque campagne exige la présence ostensible des CC.NN., les Camicie Nere, qui traduisent l’engagement du parti fasciste en première ligne. Quand vient le moment d’organiser un corps expéditionnaire à destination du front oriental au mois de juin 1941, la Legione d’Assalto « Tagliamento » doit incarner la lutte originelle du fascisme contre la « barbarie bolchevique ».
+ La bataille de Jebsheim
Ou comment déverrouiller la porte de Colmar
Au début de l’année 1945, alors qu’il ne devait être qu’un théâtre d’opérations secondaire dans la stratégie des Alliés, le front d’Alsace prend soudain une grande importance pour Eisenhower et le Haut commandement allié. La contre-offensive de von Rundstedt dans les Ardennes a bouleversé la planification de l’état-major, et voici que l’ennemi lance l’offensive « Nordwind » dans le nord de l’Alsace, à partir de la tête de pont de Gambsheim, bientôt suivie de l’opération « Sonnenwende » au centre, dans la région de Colmar.
+ Opération Varsity
Mars 1945 : La dernière Drop zone
À l’aube du 24 mars 1945, le ronronnement caractéristique d’innombrables moteurs d’appareils Douglas C‑47 Skytrain, Short Stirling, Handley Page Halifax ou encore de Curtiss C‑46 Commando flambant neufs retentit aux environs immédiats de 25 aérodromes de la région parisienne et du sud-est de l’Angleterre.
+ Helmuth Vonn Pannwitz
L'allemand qui voulait être cosaque
Helmuth von Pannwitz a accompli l’un des parcours les plus insolites pour un général de la Wehrmacht. Officier de cavalerie dans la plus pure tradition prussienne, il prend en main, à partir de 1943, le destin des cosaques ralliés aux Allemands, les conduisant au combat, d’abord sur le front de l’Est de manière dispersée, puis en bloc dans les Balkans. Particulièrement apprécié de ses hommes, mais aussi de toute la diaspora cosaque venue le soutenir, il gagne leur confiance au point d’être élu chef suprême des cosaques dans les derniers mois de la guerre, un titre réservé théoriquement à l’héritier du trône impérial russe…
+ Le lance-flammes
Qui ne se souvient de cette fameuse scène de Voyage au bout de l’enfer [1] a lorsque Robert de Niro décide de tuer un Viêt-cong avec un lance-flammes dans le but de venger le meurtre d’une femme et de son enfant ? Véritable arme de guerre, le lance-flammes, à travers la projection d’un liquide inflammable, crée autant de dommages matériels que psychologiques. Développé au cours de la Grande Guerre, il voit son utilisation renforcée pendant la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle les Alliés, comme les forces de l’Axe, l’emploient fréquemment.
+ Montgomery
L'artiste des batailles
La collection Maîtres de guerre, proposée par les éditions Perrin, vient de s’enrichir d’une nouvelle biographie. Après Patton, Staline et Manstein, c’est au tour d’un nouveau belligérant, le maréchal Montgomery, de nous être présenté. Antoine Capet, professeur de civilisation britannique à l’université de Rouen, nous offre l’opportunité de découvrir celui qu’il qualifie d’« artiste des batailles ». Car disons‑le tout de suite, ce livre comble un vide, aucun ouvrage en langue française n’existant jusqu’alors [1] sur ce chef de guerre, pourtant à la conjonction d’événements-clés de la Seconde Guerre mondiale.