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Ligne de Front n°49 - V2 L'arme absolue - Histoire d'une fusée
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Ligne de Front n°49

V2 L'arme absolue

Histoire d'une fusée

Au sommaire de Ligne de Front n°49 - Mai/Juin 2014L'histoire d'une fusée

+ V2 Histoire d'une fusée
Le rêve détourné
La V2, une gageure technologique
Lancer une V2
Les offensives de réprésailles
Les V2, quel bilan

+ Les bombes à bacilles de l'Unité 731

+ Les Panzer sauvent Kharkov
Un retournement de situation incroyable

+ 3 ans pour tout changer
L'incroyable montée en puissance de l'US Army

+ Un front trop loin ?
Vie et mort de la " Festung Kurland "

+ Actualité : Danse avec la mort
Interview de Michel Goya

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LDF49
8,50 € Frais de port compris

Au sommaire de Ligne de Front n°49 - Mai/Juin 2014

+ V2 Histoire d'une fusée

Le rêve détourné
La V2, une gageure technologique
Lancer une V2
Les offensives de réprésailles
Les V2, quel bilan

Les V2 naissent de l’union de la nécessité militaire de contourner le diktat de Versailles et de la passion d’enthousiastes voulant explorer l’espace interplanétaire. Ce mariage de raison est poussé par un régime qui veut canaliser toutes les avancées scientifiques allemandes vers un but militaire. Quand le rêve, la planification et le pouvoir s’unissent, ils permettent d’arriver à des réalisations extraordinaires.

+ Les bombes à bacilles de l'Unité 731

Le Japon se caractérise, bien avant-guerre, par son avance prise dans le domaine de la bactériologie médicale. Un détachement spécial, l’Unité 731, qui rassemble de nombreux spécialistes de haut niveau, étudie, de 1934 à 1945, toute une gamme d’armes bactériologiques, parvenant à mettre au point une bombe « infaillible » contre laquelle les Alliés n’auraient rien pu faire si…

+ Les Panzer sauvent Kharkov

Un retournement de situation incroyable

La deuxième bataille de Kharkov est l’un des pires désastres militaires de l’Armée rouge au cours de la « Grande guerre patriotique ».
À tel point qu’elle fut longtemps tenue cachée par l’historiographie soviétique. Pour les Allemands, elle marque le dernier épisode du cycle des grandes « moissons sanglantes » lancé à l’été 1941.

+ 3 ans pour tout changer

L'incroyable montée en puissance de l'US Army

En 1939, l’armée des États-Unis, avec un effectif de 174 000 hommes, n’est classée que 19e parmi les forces terrestres mondiales, c’est-à-dire, selon l’historien Eric Larrabee, « devant la Bulgarie, mais juste derrière le Portugal ». Le triomphe fulgurant de la Wehrmacht à l’ouest de l’Europe à la mi‑1940 provoque la stupeur dans les hautes sphères du commandement. Il bouleverse l’ordre des choses et entraîne plusieurs changements dans la structure de l’Armée, qui entame une vaste – bien que lente – mobilisation de ses forces.

+ Un front trop loin ?

Vie et mort de la " Festung Kurland "

Lorsqu’au début de mai 1945, alliés occidentaux et soviétiques achèvent d’occuper les derniers lambeaux d’un « Reich millénaire » à l’agonie, les restes de la Wehrmacht, jadis triomphante, disparaissent par pans entiers. Partout en Europe, en France, en Hollande, en Norvège, en Prusse-Orientale, de multiples détachements isolés se battent toujours, parfois depuis des mois. À des centaines de kilomètres à l’est de Berlin conquise, c’est le cas de 200 000 soldats accrochés depuis le mois d’octobre 1944 à 15 000 km2 de plaines boisées, en Lettonie.

+ Actualité : Danse avec la mort

Interview de Michel Goya

Le colonel Michel Goya, qui dirige le bureau Recherche au Centre de doctrine d’emploi des forces de l’armée de Terre, vient de publier aux éditions Tallandier son cinquième ouvrage, Sous le feu, la mort comme hypothèse de travail. Cette étude originale et fine, basée en partie sur son expérience d’officier des troupes de marine, réinstalle l’homme au centre du combat. Elle met en lumière le comportement du simple soldat au feu et la complexité de l’univers dans lequel il évolue.