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Ligne de Front n°45 - Narva - La bataille des SS européens
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Ligne de Front n°45

Narva

La bataille des SS européens

 EPUISE 

Au sommaire de Ligne de Front n°45 - Septembre/Octobre 2013

+ DOSSIER : Narva
La bataille des SS européens

+ En campagne avec l'Armée rouge
Les tribulations d'«Ivan»

+ Dios con nosotros
La División «Azul» au combat

+ La bataille des Vosges
Novembre 1944 - février 1945

+ Les Mitailleuses MG-34 et MG-42
Une puissance de feu extraordinaire

+ Le 551st PIB
Saute sur la motte

+ L'opération «X-Ray»
Les bombes chauves-souris

En savoir +

LDF45

Au sommaire de Ligne de Front n°45 - Septembre/Octobre 2013

+ Narva

La bataille des SS européens

Au sein des gigantesques offensives soviétiques de 1944‑45, les opérations menées contre la Heeresgruppe « Nord » du Generalfeldmarschall von Küchler dans la région de la Baltique font souvent figure de parents pauvres. Sans doute n’ont-elles pas été aussi spectaculairement décisives que celles d’Ukraine, de Biélorussie, de Pologne ou même des Balkans. Narva, à l’extrême nord de l’Ostfront, sur les rives de la Baltique, est l’épicentre d’une bataille nimbée d’une aura particulière : fruit et prolongement de la grande offensive d’hiver 1944 dégageant Leningrad, elle va, durant six mois, fermer à l’Armée rouge la porte des ex‑républiques Baltes.

+ En campagne avec l'Armée rouge

Les tribulations d'«Ivan»

Si l’Armée rouge a engagé des millions d’appelés dans la « Grande Guerre patriotique », ce n’est que récemment que des études accessibles permettent de tracer un portrait plus contrasté d’« Ivan », l’archétype du soldat soviétique.

+ Dios con nosotros

La División «Azul» au combat

La division espagnole « Azul » occupe une place singulière dans l’histoire de l’armée de Terre allemande, puisqu’il s’agit de la seule grande unité de volontaires étrangers engagée par un pays non belligérant. Sa création s’inscrit dans le cadre des relations complexes et ambiguës existant entre le régime franquiste et le III. Reich. Ambivalence espagnole, partagée entre la prudente neutralité officielle d’un pays exsangue après sa guerre civile et les volontés collaborationnistes, qui d’ailleurs s’amenuiseront avec le temps…

+ La bataille des Vosges

Novembre 1944 - février 1945

Durant la Première Guerre mondiale, les affrontements franco-allemands dans les Vosges s’étaient distingués par leur âpreté, exacerbée par la topographie du terrain et les conditions météorologiques ; que l’on se souvienne des chasseurs du col de l’Hilsenfirst ou encore de la bataille de l’Hartmannswillerkopf ! Ceux de l’hiver 1944‑45 ne dérogent pas à la règle. Dans la guerre de mouvement qui caractérise le second conflit mondial à l’Ouest, les Vosges constituent un obstacle qui barre l’accès au Rhin pour les Alliés et une formidable forteresse en avant du Vaterland pour les Allemands. Une fois encore, le massif vosgien va être le théâtre d’une bataille acharnée, sous le couvert de ses sombres forêts, dans les conditions extrêmes d’un hiver aussi précoce que rigoureux. Face à la résistance pugnace des Allemands, la poussée libératrice va mettre près de six mois pour aboutir, et la petite commune du Valtin ne sera libérée que le 4 février 1945 !

+ Les Mitailleuses MG-34 et MG-42

Une puissance de feu extraordinaire

Au lendemain du traité de Versailles, l’ancienne Reichsheer se trouve réduite à 100 000 hommes. Les armées impériales, qui possédaient plus de 130 000 mitrailleuses de tous modèles en service en 1918 sur le front Ouest, sont contraintes d’en remettre une part importante aux Alliés et de détruire l’essentiel du parc des machines existantes pour ne conserver que 861 mitrailleuses lourdes Maschinengewehr 08 (ou MG‑08) et 1475 mitrailleuses légères MG‑08/151.

+ Le 551st PIB

Saute sur la motte

Une partie des photographies que nous vous présentons ici sont rares. Elles sont extraites d’un reportage
— récemment retrouvé — effectué par un photographe de l’Air Force embarqué à bord de l’un des bimoteurs C‑47 Skytrain transportant les paras du 551st Parachute Infantry Battalion, à leur arrivée au‑dessus de La Motte, dans l’arrière-pays provençal.

+ L'opération «X-Ray»

Les bombes chauves-souris

Les périodes de crise étant propices à l’émergence d’idées non conventionnelles, la frontière peut parfois paraître floue entre le rationnel et l’irrationnel. C’est ainsi qu’à première vue, le concept de la bombe chauve-souris peut sembler digne d’être tout droit sorti d’un roman de science-fiction… Mais les forces armées américaines, bien que décontenancées de prime abord, vont finalement financer ce projet à hauteur de 2 millions de dollars pour le mettre sur pied.