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Ligne de Front n°41 - Kolonial Wehrmacht ! - Les projets allemands d'armée coloniale en Afrique
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Ligne de Front n°41

Kolonial Wehrmacht !

Les projets allemands d'armée coloniale en Afrique

Au sommaire de Ligne de Front n°41 - Janvier/Février 2013

+ DOSSIER : Kolonial Wehrmacht !
Les projets allemands d'armée coloniale en Afrique

+ Hitler / Staline
Qui était le meilleur chef de guerre

+ Albert Blithe
Un du Band of Brothers

+ Titans d'acier
L'emploi de l'ALVF française en 1940

+Hausser et les 11 salopards
La SS-Division « Reich » prend Belgrade

+Les tactiques de combat du Werwolf
Guérilla contre les alliés

+ Quand l'OTAN partira...
Délitement de l'armée afghane?

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LDF41
8,50 € Frais de port compris

Au sommaire de Ligne de Front n°41 - Janvier/Février 2013

+ Kolonial Wehrmacht !

Les projets allemands d’armée coloniale en Afrique

Incapable de se débarrasser de son complexe de supériorité, la Wehrmacht, toute auréolée de sa victoire sur la France, table dès l’été 1940 sur la restitution des colonies que l’Allemagne a perdu à Versailles. Aussi se lance-t-elle dans la mise sur pied d’une Wehrmacht coloniale destinée à assurer la souveraineté allemande en Afrique centrale. En quelques mois, tout est prêt, avant même que la guerre ne soit gagnée !

+ Albert Blithe,

un du Band of Brothers

Le 5 septembre, Blithe et ses compagnons embarquent sur l’East River – détroit qui traverse la ville de New York – à bord du transport de troupes S.S. Samaria. Destination : la Grande-Bretagne. Le navire accoste le 15 à Liverpool. Blithe suit un stage chez les « Pathfinders », ces éclaireurs parachutistes spécialement formés pour aider au guidage d’une force principale aéroportée sur les zones de largage, entre octobre 1943 et février 1944. Lui et son unité sont ensuite cantonnés dans de petits villages du comté du Wiltshire, tels Aldbourne, Ramsbury, Chilton-Foliat et Froxfield, parachevant leur entraînement par de nombreuses manœuvres, jusqu’à ce qu’on leur annonce leur départ pour la Normandie.

+ Quel était le meilleur chef de guerre ?

Hitler/Staline : leur style, leurs hommes

Staline et Hitler sont deux « monstres » historiques à l’origine des plus grands États totalitaires de la première moitié du XXe siècle. Ils ont des personnalités proches par nature, antagonistes par situation. D’abord partenaires méfiants, ils deviennent des ennemis mortels à partir de 1941. L’un comme l’autre s’impliquent alors dans cette lutte titanesque, mais chacun à sa façon. Pour comprendre qui des deux a su le mieux « faire la guerre », intéressons-nous à leur approche du fait militaire ainsi qu’aux officiers dont ils se sont entourés.

+ Hausser et les 11 salopards

La SS Division « Reich » prend Belgrade

Le 28 octobre 1940, Mussolini attaque la Grèce. La progression de l’Armée italienne s’annonce plutôt bien les premiers jours, mais la résistance des Grecs se durcit rapidement. L’affaire vire au fiasco lorsque les troupes hellènes contre-attaquent furieusement, stoppent l’avance transalpine et rejettent les forces de Mussolini de l’autre côté de la frontière albanaise ! Parallèlement, désirant sécuriser les Balkans avant de s’aventurer en URSS, Hitler mène des tractations avec la Bulgarie, au terme desquelles celle ci rejoint le pacte tripartite. Des pourparlers similaires sont entamés avec la Yougoslavie. Alors qu’une délégation du gouvernement de Belgrade se rend à Vienne le 25 mars 1941 et signe à son tour le pacte tripartite, un coup d’État militaire, organisé par le général Simovic, secoue la capitale du royaume le lendemain. Cet officier supérieur, hostile à l’Allemagne, se tourne immédiatement vers Moscou. Pour le Führer, la cause est entendue : le revirement de la Yougoslavie est une menace directe pour ses plans à l’Est. Le 27 mars 1941, en signant la directive n° 20, il ordonne l’invasion de la Yougoslavie et de la Grèce, cette offensive prenant le nom de code « Marita ».

+ Titans d'acier

L’emploi de l’artillerie lourde sur voie ferrée (ALVF) française en 1940

En 1918, l’Artillerie française termine la Grande Guerre avec un parc de 309 pièces d’artillerie lourde sur voie ferrée, qui constituent les deux tiers des canons à grande puissance en service, sans compter environ une centaine d’autres pièces gardées en réserve par le ministère de l’Armement. Au cours des vingt années suivantes, la conception du rôle et de l’emploi de cette composante nouvelle de l’Artillerie va connaître différents développements en fonction de l’évolution des menaces.

+ Les tactiques de combat du Werwolf

Guérilla contre les Alliés

À la fin de 1944, parallèlement à la levée en masse du Volkssturm, la SS décide de mettre sur pied une organisation de combat clandestine, destinée à prolonger la lutte sur les portions de sol national qui tomberaient aux mains des Alliés. Ses membres, principalement des adolescents des Jeunesses hitlériennes, sont rassemblés sous un vocable particulièrement lié à l’univers fantasmatique et occulte des romans d’aventures des adolescents nazis : Werwolf (loup-garou). Cette organisation devient un véritable mouvement, puisqu’elle s’étend de la SS aux branches du NSDAP, et même à quelques formations issues de la Wehrmacht… Il y a donc plusieurs groupes distincts. Les hauts dirigeants nazis, qu’ils soient Höhere SS und Polizeiführer (chef supérieur des SS et de la Police), Gauleiter (responsable régional politique du NSDAP) ou Reichsjugendführer (chef des jeunesses hitlériennes), reçoivent donc pour instruction de nommer des responsables chargés d’organiser ce mouvement de guérilla.

+ Quand l’OTAN partira…

Les perspectives de délitement de l’Armée afghane

À la fin de l’année 2013, le gros des unités combattantes de l’OTAN aura quitté l’Afghanistan. Près de 75 % du territoire passera alors sous la responsabilité exclusive des forces de sécurité afghanes. C’est là que le bât blesse. Car la pression des talibans n’a jamais été aussi forte, tandis que les pouvoirs publics et l’armée nationale n’ont jamais semblé aussi fragiles.

+ Recensions

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