Ligne de Front n°33
Le miracle de Bastogne
Les raisons de l'échec allemand
Au sommaire de Ligne de Front n°33- Novembre/Décembre 2011
+ Échec dans les Alpes
Le baroud d'honneur de l'Armée française
+ Fleury-devant-Douaumont
Le sacrifice du 239e RI
+ Des léopards dans la Casbah
1957, la bataille d'Alger
+ Le miracle de Bastogne
Les raisons de l'échec allemand
+ Stroop à Varsovie
Par le fer et le feu
+ Douglas MacArthur
Le « César américain »
Au sommaire de Ligne de Front n°33- Novembre/Décembre 2011
+ Échec dans les Alpes
Le baroud d'honneur de l'Armée française
Le 10 juin 1940, l’Italie déclare la guerre à la France. Mussolini veut occuper sans combat les départements frontaliers, et éventuellement la Corse et la Tunisie. Aussi, durant plusieurs jours, les troupes transalpines restent l’arme au pied sur la frontière : le Haut commandement espère en effet éviter au Regio Esercito, trop hâtivement préparé, une défaite contre un ennemi retranché dans de puissantes fortifications. Pour passer à l’attaque, les stratèges italiens attendent en fait l’arrivée des forces allemandes qui descendent la vallée de la Saône vers Lyon, menaçant ainsi les arrières de l’armée des Alpes.
+ Fleury-devant-Douaumont
Le sacrifice du 239e RI
Dans le bulletin de renseignements n° 126 de la 2e armée, il est écrit que l’attaque du 23 juin 1916 a été la plus violente, la plus massive et la plus meurtrière de toutes celles que les Allemands ont exécutées à Verdun. Elle marque un tournant dans la bataille car, le 23 juin, l’héroïsme de quelques-uns arrêta un assaillant pourtant servi par une formidable préparation d’artillerie. Au cours de cette journée, il s’en faudra de peu pour que le front soit enfoncé ; jamais les Allemands n’auront été aussi près.
+ Des léopards dans la Casbah
1957, la bataille d'Alger
Après trois ans d’affrontements en Algérie, le Front de libération nationale (FLN) décide de porter une campagne terroriste dans la capitale. Les autorités sont impuissantes devant ce nouveau phénomène et font appel à l’armée. La bataille d’Alger est la conjonction de la volonté des deux adversaires d’appliquer des méthodes nouvelles : celles du terrorisme urbain pour le FLN, et celles de la guerre révolutionnaire pour l’Armée française. À terme, la victoire tactique des parachutistes du général Massu va accélérer la chute de la IVe République. Elle porte en germe une profonde crise morale de l’Armée française et la cassure de son lien avec la nation.
+ Le miracle de Bastogne
Les raisons de l'échec allemand
Le 16 décembre 1944 à 5h30, l’artillerie allemande déchaîne un feu d’enfer sur les positions américaines tout le long du front ardennais. La 5. Panzer-Armee, menée par le général von Manteuffel, franchit l’Our et s’élance vers la Meuse et Namur. Le noeud routier de Bastogne doit tomber le deuxième jour pour assurer le succès de l’opération. L’attaque surprend totalement les Américains. Ils vont pourtant réagir avec promptitude et renforcer la ville menacée dans un bref délai.
+ Stroop à Varsovie
Par le fer et le feu
Le 19 avril 1943, les derniers Juifs du ghetto de Varsovie se soulèvent contre leurs oppresseurs. Sans espoir de survie, encore moins de victoire, ils vont tenir tête héroïquement aux soldats et SS allemands pendant près d’un mois !
+ Douglas MacArthur
Le « César américain »
Avec sa fameuse pipe et ses éternelles lunettes de soleil, le général MacArthur est devenu une légende de la guerre du Pacifique. Mais qui se souvient qu’il aura aussi été un fougueux combattant contre les Mexicains, un officier courageux lors de la Grande Guerre, un maréchal de l’Armée philippine, un possible candidat à la Maison-Blanche, le maître du Japon ou encore le vainqueur de la guerre de Corée ? Flamboyant, faraud, capricieux, hautain, volubile, égoïste, paranoïaque, colérique, facétieux, mégalomane, vaniteux, « Mac » a connu un parcours épique, digne de celui d’un personnage de roman !