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Ligne de Front n°21 - DIÊN BIÊN PHU - Le chant du cygne de l'armée coloniale
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Ligne de Front n°21

DIÊN BIÊN PHU

Le chant du cygne de l'armée coloniale

 EPUISE 

Au sommaire de Ligne de Front n°21 - Janvier/Février 2010

+ Nordwind
Les Panzer contre-attaquent

+ Lord Mountbatten
et le naufrage du Destroyer Kelly

+ Dossier : DIÊN BIÊN PHU
Le chant du cygne de l'armée coloniale
3e bataillon thaï à Diên Biên Phu
Un officier témoigne

+ La poche de Viazma
avec la 10. Panzer-Division

+ Les frères Grosjean
Une famille marseillaise dans la Grande Guerre

En savoir +

LDF21

Au sommaire de Ligne de Front n°21 - Janvier/Février 2010

+ Nordwind

Les Panzer contre-attaquent

C’est un bien mauvais vent venu du nord que les Allemands font souffler sur l’Alsace- Lorraine en ce début d’année 1945. Trop souvent occultée dans les livres sur la Seconde Guerre mondiale par la très médiatique bataille des Ardennes, l’opération « Nordwind » n’en constitue pas moins, comme l’a écrit Francis Rittgen, « la dernière offensive allemande sur la France ». Afin de bien comprendre dans quel contexte les Allemands ont pu en arriver à d’une part planifier et d’autre part déclencher l’opération « Nordwind », il nous faut examiner rapidement les principales étapes de la bataille des Ardennes.

+ Lord Mountbatten

et le naufrage du Destroyer Kelly

« Il n’y a personne que j’aimerais mieux avoir avec moi que Louis Mountbatten si j’étais dans le pétrin… Et personne qui m’y mettrait plus sûrement ! » Difficile de contester ce jugement péremptoire de l’amiral sir James Somerville, car Lord Mountbatten, arrière-petit-fils de la reine Victoria et cousin du roi George VI, s’est acquis une solide réputation de casse-cou… et de casse navires : depuis le début de la guerre, son destroyer, le Kelly, a été successivement torpillé, miné, bombardé et pratiquement rasé, mais au prix d’efforts héroïques, le capitaine de vaisseau Mountbatten est toujours parvenu à le ramener au port…

+ Dossier : DIÊN BIÊN PHU

Le chant du cygne de l'armée coloniale

Le 7 mai 1954, au terme de huit années d’une guerre difficile menée sans réelle volonté politique, s’achevait à Diên Biên Phu tout espoir pour la France de sortir la tête haute du bourbier indochinois. Signe avant-coureur du déclin irréversible de l’empire colonial, cette défaite allait bientôt mettre un terme à près d’un siècle de présence française en Extrême-Orient. Pourquoi donc la France était-elle allée se battre dans une cuvette perdue, nichée aux confins du Laos et du Nord-Viêt Nam ?

3e bataillon thaï à Diên Biên Phu
Un officier témoigne

Jeune officier de réserve en situation d’activité, Raymond Legoubé a rejoint l’Indochine à la fin de l’année 1952. Affecté au 3e bataillon thaï, unité des troupes coloniales à recrutement indigène, il dirige le commando de l’unité lors de la bataille de Diên Biên Phu. Il nous livre ici un témoignage précieux et vivant qui a pour particularité d’évoquer un épisode mal connu de la bataille : la désertion d’une partie des tirailleurs du BT3.

+ La poche de Viazma

avec la 10. Panzer-Division

22 juin 1941. Adolf Hitler déclenche la plus grande offensive de tous les temps, l’opération « Barbarossa ». Sur un front de 3 000 kilomètres s’étirant de Mourmansk au littoral roumain de la mer Noire, 3 200 000 soldats et 3 650 chars s’élancent à l’assaut de l’Union soviétique, au dépend de laquelle le Führer a choisi d’établir le Lebensraum, l’espace vital nécessaire au peuple allemand. Parmi les 159 divisions de la Wehrmacht et 42 finlandaises, slovaques, roumaines et hongroises jetées dans cette immense bataille, se trouve la 10. Panzer-Division dont les hommes sont des vétérans de la campagne de France.

+ Les frères Grosjean

Une famille marseillaise dans la Grande Guerre

Le 19 juillet 1881, Charles Grosjean épouse Louise Raphat à Marseille. De l’union de ce couple de journaliers naissent cinq enfants. Anna (1882-1885) et Virginie (1887-1890), mortes durant leur petite enfance, mais aussi Isidore né en 1884, Alexandrine née en 1890 et enfin Louis né en 1892.

Reportage photo

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