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Ligne de Front n°6 - Berlin 1945 - Dernier acte d'une longue tragédie
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Ligne de Front n°6

BERLIN 1945

Dernier acte d'une longue tragédie

 EPUISE 

Au sommaire de Ligne de Front n°6 - Juillet/Août 2007

+ Les héros sont fatigués 
Eté 1950, entrée en guerre des Américains en Corée

+ BERLIN 1945 
Dernier acte d'une longue tragédie

+ Opération « Watchtower » 
Baptème de feu tropical pour la « Old Breed »

+ Tous les chemins mènent à Rome
Le corps expéditionnaire français à Monte Cassino

+ Notre glorieux 75 
Le canon de 75mm modèle 1897 français

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LDF06

Au sommaire de Ligne de Front n°6 - Juillet/Août 2007

+ Les héros sont fatigués

Eté 1950, entrée en guerre des Américains en Corée

« Unité par unité, la 8th Army fut sévèrement battue par les vétérans nord-coréens, mais tout homme qui a fait face au feu et à l’acier pour son pays et a tenu ses positions mérite le respect. Plus encore, en termes de bravoure et de sacrifice, beaucoup de nos simples soldats ont égalé les meilleurs guerriers de toutes les armées, de tous les lieux et de tous les temps. »
Birchard Lee Kortegaard, vétéran de Corée.

+ BERLIN 1945

Dernier acte d'une longue tragédie

Tandis que le III. Reich s’écroule et que la Wehrmacht se « liquéfie » chaque jour un peu plus, le Führer, que les témoins décrivent alors comme un vieillard malade se raccrochant à des chimères et occupant ses journées à déplacer des divisions qui n’existent plus depuis belle lurette, attend… Qu’attend-il ? Un miracle ! Un miracle identique à celui qui, en janvier 1762, sauva du désastre le roi de Prusse Frédéric II. Les consignes hitlériennes sont simples : ne pas céder un pouce de terrain et combattre jusqu’à la dernière cartouche. La fin du Reich et de son Führer est dès lors inévitable et, avec elle, l’agonie apocalyptique de Berlin !

+ Opération « Watchtower »

Baptème de feu tropical pour la « Old Breed »

« Guadalcanal n’est pas un nom mais une émotion qui évoque les combats aériens désespérés, les furieux affrontements navals nocturnes, le travail harassant pour ravitailler et construire, les combats sauvages dans la jungle humide, les nuits déchirées par le hurlement des bombes et les détonations assourdissantes des obus de marine… »
Rear Admiral S.E. Morison - Auteur de la monumentale « History of United States Naval Operations in World War II »

+ Tous les chemins mènent à Rome

Le corps expéditionnaire français à Monte Cassino

« Au seuil de l’année nouvelle, c’est d’un coeur ému que j’adresse à l’Armée française d’Italie, déjà parcourue par des frissons de gloire, mes voeux les plus affectueux […]. L’aube de 1944 se lève radieuse et chargée d’espérance. Puisse cette année vous ramener dans un grand souffle de victoire et de liberté à la paix laborieuse de vos foyers et de vos champs ! »
Tels sont les quelques mots écrits par le général Alphonse Juin à ses troupes tandis que les derniers feux de 1943 s’éteignent. Le 1er janvier 1944, en Italie, face au Monte Cassino, le Corps Expéditionnaire Français (CEF) s’apprête à rendre à la France et aux peuples de ses colonies la fierté et l’honneur des armes !

+ Notre glorieux 75

En avance sur son temps, le canon de 75mm modèle 1897 français ou « Soixante-quinze » fait beaucoup parler de lui dans les cercles militaires de la « belle » époque. Son secret technologique sera jalousement gardé jusqu’au coeur de la Première Guerre mondiale. Perfectionné, jouissant d’une exceptionnelle cadence de tir, cette arme est l’atout maître de l’artillerie de campagne tricolore.