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LOS! n°49 - Shinano - Le géant de l'inutile
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LOS! n°49

Shinano

Le géant de l'inutile

Au sommaire du n°49 - Mars/Avril 2020

+ Shinano
Le géant de l’inutile

+ U-667
Un U-Boot nommé Glückauf - 2e partie

+ Les sous-marins du Tsar
Deux siècles de tâtonnements et d’évolution

+ Le blocus de Djibouti
Une affaire franco-française

+ Coups au but lointains
Les plus longs tirs d’artillerie navale de la Seconde Guerre mondiale

+ Suborama
La Yougoslavie

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Au sommaire du n°49 - Mars/Avril 2020

+ Shinano

Le géant de l’inutile

Intercepté lors de son premier trajet en mer moins de trois semaines après ses premiers essais, le Shinano demeure le plus grand navire coulé par un sous-marin. Derrière ce symbole peu flatteur se cache une réalité encore plus dramatique : le « plus grand porte-avions du monde » est mal conçu, et même inachevé au moment de son naufrage. Sa construction a été bâclée et son équipage est en grande partie inexpérimenté. En cette fin novembre 1944, son destin tragique est à l’image de celui de la Marine impériale japonaise toute entière.

+ U-667

Un U-Boot nommé Glückauf - 2e partie

Octobre 1942 : l’U-667, un sous-marin manœuvré par de jeunes hommes, novices et avides d’en découdre avec l’ennemi, entre en service. Au cours de ses cinq patrouilles et au prix d’intenses combats livrés contre le Coastal Command, la Royal Navy et son homologue outre-Atlantique, son équipage va devoir aller décrocher les succès. Pour ce faire, le loup gris devra tirer profit des dernières innovations militaires du Reich et passer régulièrement en cale sèche pour être modernisé, cherchant toujours à gagner en efficacité et en discrétion. Chasser, être chassé, c’est devenu le quotidien des équipages de l’U-Bootwaffe qui n’ont désormais plus qu’un objectif : torpiller puis rentrer saufs.

+ Les sous-marins du Tsar

Deux siècles de tâtonnements et d’évolution

Les débuts de l’arme sous-marine russe sont passionnants. L’empire tsariste voit en effet apparaître de nombreuses initiatives dans le domaine de l’exploration sous-marine avant même la révolution industrielle du XIXe siècle. D’abord réticente à toute évolution, sa Marine refuse les nombreux projets d’engins submersibles, avant d’emboiter finalement le pas aux autres grandes nations occidentales. C’est ainsi que la Russie construira plusieurs modèles de sous-marins qui, en comparaison de leurs homologues européens ou américains, n’auront pas à rougir de leur conception. Toutefois, le faible nombre d’unités opérationnelles, leur dispersion sur plusieurs mers et l’existence de trop nombreuses classes différentes sont des défauts rédhibitoires que la Marine tsariste n’arrivera jamais à éliminer.

+ Le blocus de Djibouti

Une affaire franco-française

Colonisée à partir de 1884, la Côte Française des Somalis est une escale de ravitaillement importante pour le trafic maritime et l’expansion française en Afrique et en Asie. Durant la Seconde Guerre mondiale, le port de Djibouti devient ainsi un enjeu politique stratégique, avec pour conséquence un blocus peu commun, loin des théâtres d’opération majeurs.

+ Coups au but lointains

Les plus longs tirs d’artillerie navale de la Seconde Guerre mondiale

Qui a tiré le plus loin ? Tenter de définir quel a été le plus long tir d’un navire de guerre au cours de la Seconde Guerre mondiale est un exercice délicat. Tous les belligérants ont bien évidemment tenté de se mettre en valeur en mettant en évidence certains faits d’armes plutôt que d’autres, tandis que le croisement des rapports de combat s’avère souvent problématique, chacun des camps présentant souvent des horaires, des caps et/ou des distances différents.

+ Suborama

La Yougoslavie

Tout le monde connaît le rôle joué par les U-Boote au cours de la Seconde Guerre mondiale. Mais on ignore souvent que bien d’autres nations ont développé une arme sous-marine au cours de l’Entre-deux-guerres. Dans chaque numéro, LOS! présente l’histoire oubliée des submersibles d’un de ces pays.