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LOS! n°47 - Opération "Ten-Ichi-Gō" - Un kamikaze nommé Yamato
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LOS! n°47

Opération "Ten-Ichi-Gō"

Un kamikaze nommé Yamato

Au sommaire du n°47 - Novembre/Décembre 2019

+ Opération "Ten-Ichi-Gō"
Un kamikaze nommé Yamato

+ Le camouflage de surface de la Kriegsmarine
Cinquante nuances de...

+ L’épopée du Graf Spee
Le corsaire de l’Atlantique Sud

+ Aux origines de l’opération « Vado »
Quand la Marine française voulait bombarder l’Italie

+ Les projets fous des Soviétiques
De l’hydroptère submersible à l’Ekranoplan lance-missiles

+ Suborama
La Roumanie

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Au sommaire du n°47 - Novembre/Décembre 2019

+ Opération "Ten-Ichi-Gō"

Un kamikaze nommé Yamato

La sortie du cuirassé Yamato à la tête de la Force d’attaque spéciale les 6 et 7 avril 1945 ne constitue qu’un aspect des durs combats aéronavals qui se déroulèrent aux portes du Japon durant l’opération « Iceberg », l’invasion par les forces américaines de l’île d’Okinawa, à 600 km des côtes méridionales de Kyūshū. Inutile et coûteux en vie humaines, ce combat aéronaval opposa l’un des cuirassés les plus emblématiques de son époque à la formidable Fast Carrier Force de la Task Force 58. Tout un symbole.

+ Le camouflage de surface de la Kriegsmarine

Cinquante nuances de...

La Marine allemande entre dans le second conflit mondial sans réelle doctrine de camouflage de ses bâtiments, alors uniformément revêtus d’une livrée standard issue de celles de la Grande Guerre. À partir de 1940 et de la campagne de Norvège, elle commence – de façon limitée –  à s’intéresser au concept de « déception » pour ses unités en opérations, mais ce n’est que fin 1942 qu’elle lance une véritable étude en vue d’adopter une méthodologie du genre.

+ L’épopée du Graf Spee

Le corsaire de l’Atlantique Sud

Lorsqu’en août 1939, l’Admiral Graf Spee entreprend sa première croisière du conflit, son commandant a reçu pour mission de mener une guerre au commerce. Son Panzerschiff a pour cela des arguments de poids : une puissante artillerie, une propulsion révolutionnaire et même l’un des premiers radars. Mais tout cela sera-t-il suffisant face aux escadres britanniques ?

+ Aux origines de l’opération « Vado »

Quand la Marine française voulait bombarder l’Italie

À sa mort en juin 2018, il était certainement le sous-marinier allemand le plus connu, ou plutôt l'ex-sous-marinier car, s'il avait effectivement écumé l'Atlantique entre 1941 et 1942 au cours de cinq patrouilles de guerre mémorables,
l'homme avait ensuite « raccroché » à temps. Passé instructeur dès 1943, Reinhard Hardegen survécut ainsi à la guerre et put se reconvertir dans le monde des affaires et de la politique. Malgré tout, il est resté jusqu'à la fin auréolé de ses 115 656 GRT coulés en seulement 240 jours de mer.

+ Les projets fous des Soviétiques

De l’hydroptère submersible à l’Ekranoplan lance-missiles

En matière de puissance navale, les ambitions de l’Union Soviétique ont souvent été bien plus importantes que ses capacités financières ou industrielles, d’où de nombreux programmes ébauchés mais rapidement abandonnés. Parmi eux, on trouve des concepts un peu fous, des unités aux dimensions surprenantes et des chimères de dictateur. Nous avons sélectionnés quelques-uns des projets les plus marquants et les plus originaux.

+ Suborama

La Roumanie

Tout le monde connaît le rôle joué par les U-Boote au cours de la Seconde Guerre mondiale. Mais on ignore souvent que bien d’autres nations ont développé une arme sous-marine au cours de l’Entre-deux-guerres. Dans chaque numéro, LOS! présente l’histoire oubliée des submersibles d’un de ces pays.