LOS! n°31
Les HMS Courageaous, Glorious & Furious
Trois frères
EPUISE MAIS DISPONIBLE AU FORMAT NUMERIQUE :
Au sommaire du n°31 - Mars/Avril 2017
+ The Navy's here
A l'abordage de l'Altmark
+ Trois frères
Les HMS Courageaous, Glorious & Furious
+ Le dernier grand duel
Le piège du détroit de Surigao
+ Débarquer aux Falkland
L'expérience britannique de 1982
+ Sous-mariniers de sa majesté
Les débuts opérationnels du Silent Service
+ Actualité
AEGIS : le système de combat américain et ses clones
+ Lexique
Pouce & encablure
Au sommaire du n°31 - Mars/Avril 2017
+ The Navy's here
A l'abordage de l'Altmark
L’odyssée du Graf Spee et son sabordage à Montevideo en décembre 1939 sont dans toutes les mémoires, mais l’aventure de l’Altmark, qui l’assiste durant sa mission, est un peu oubliée malgré ses conséquences. À mesure de l’action du Panzerschiff, les marins capturés ont en effet été confiés au pétrolier, lequel s’est mué, sous la férule de son commandant, en un véritable bagne flottant, que la Navy prendra finalement d’assaut lors d’un abordage digne du temps des corsaires. Une péripétie aux multiples répercussions.
+ Trois frères
Les HMS Courageaous, Glorious & Furious
Ils sont trois. Ce sont des porte-avions, mais ils ont d’abord été conçus comme des croiseurs de bataille. Ils proviennent de la même classe, mais se distinguent tous les trois par un aspect et surtout une carrière bien particuliers, participant d’une manière ou d’une autre aux deux guerres mondiales. Ce sont les sister-ships de la classe Courageous.
+ Le dernier grand duel
Le piège du détroit de Surigao
« Etant donné sa vitesse, sa puissance de feu, la portée et l’effet destructeur d’une telle concentration de projectiles lourds, le Dreadnought devrait facilement équivaloir au combat à deux, voire trois navires existants. » voici ce que l’on trouve comme analyse dans l’édition 1905 du Jane’s Fighting Ship. Avec ce modèle, Fisher aurait donc développé un cuirassé révolutionnaire. Oui mais comment et sur quelles bases ?
+ Débarquer aux Falkland
L'expérience britannique de 1982
L’invasion de l’archipel des Malouines par les forces argentines en avril 1982 surprend Londres, qui réagit immédiatement en envoyant un corps expéditionnaire reprendre les îles. 110 bâtiments cinglent vers ces terres contestées que les Anglais appellent Falkland et les Argentins Malvinas. Les Britanniques parviendront à prendre pied sur l’île principale, mais subiront des raids aériens argentins dévastateurs qui mettront hors de combat deux navires d’assaut amphibie. À bord de l’un d’eux, le Sir Galahad, des Welsh Guards s’apprêtaient à débarquer à Fitzroy. Cet événement est la conséquence d’une opération précipitée, réalisée par la 5th Brigade. Il s’agissait de créer un nouvel axe pour attaquer les forces terrestres ennemies, mais une série de facteurs va mener au désastre.
+ Sous-mariniers de sa majesté
Les débuts opérationnels du Silent Service
Le Royal Navy Submarine Service entre en guerre en septembre 1939 avec un lot hétéroclite de bâtiments. La conception de certains remonte effectivement à la Grande Guerre, tandis que d’autres, flambant neufs, proviennent de programmes récents. De plus, si les équipages sont expérimentés, motivés et bien encadrés, ils sont aussi mal considérés par le reste de la flotte, avec laquelle ils doivent s’entraîner en dépit du bon sens. Bref, au combat, les débuts seront rudes !
+ AEGIS
Le système de combat américain et ses clones
Jusque dans un passé récent, la valeur d’un bâtiment de guerre s’appréciait au vu de la puissance de ses canons et de l’efficacité de son blindage. En ce début de XXIe siècle, ses performances dépendent dorénavant de son système de combat, c’est-à-dire de sa faculté à mettre en oeuvre son armement le plus rapidement et le plus précisément possible.
+ Lexique
Pouce & encablure
Suite à notre précédente page rappelant certains noms d’embarcations ou de navires variés, voici un second volet d’appell ations parfois méconnues et d’un certain « exotisme ». Débutons là aussi par quelques notions basiques.