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LOS! n°30 - La flotte cuirassée japonaise - De Tsuhima à Peral Harbor
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LOS! n°30

La flotte cuirassée japonaise

De Tsuhima à Pearl Harbor

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Au sommaire du n°30 - Janvier/Février 2017

+ 0 21 dans H20
Le hollandais qui coula un U-Boot

+ La flotte cuirassée japonaise
De Tsuhima à Pearl Harbor

+ L'aéronavale britannique dans la grande guerre
L'essor d'une arme nouvelle

+ SOS météo
Batailles oubliées en arctique

+ Exocet
Missile antinavire et succès français

+ Carrier is coming
Le monde des grands porte-avions

+ Lexique
Flûte & Clipper

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LOS30

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Au sommaire du n°30 - Janvier/Février 2017

+ 21 dans H20

Le Hollandais qui coula un U-Boot

Le 28 novembre 1941, le torpillage du U-95 fait définitivement entrer dans la légende le O 21, unique submersible de la Koninklijke Marine à jamais avoir coulé un U-Boot. Ce succès est lié à un commandant chevronné, à un bâtiment bien conçu, tenant très bien la mer, et à un équipage de grande qualité. Mais aussi à un peu de chance.

+ La flotte cuirassée japonaise

De Tsuhima à Pearl Harbor

Au début du XXe siècle, le Japon vient de vaincre les deux nations continentales d’Extrême- Orient, la Chine puis la Russie, et acquiert alors un statut de grande puissance. En son sein, l’Armée joue un rôle politique déterminant, et sa rivalité avec la Marine (Nippon Kaigun) est aussi ancienne que marquée. Elle s’est exacerbée à la suite des conflits sino-japonais (1894-1895) et russo-japonais (1904-1905) qui se sont tous deux soldés par des succès navals retentissants : les batailles du Yalu et de Tsushima consacrent une Marine jeune et moderne, en quête de reconnaissance tant de la part des autorités politiques japonaises que des puissances navales occidentales, et qui va peu à peu s’imposer comme un outil essentiel de défense de l’Empire. À cette époque, le cuirassé devient le Capital Ship de toutes les Marines de premier plan...

+ L'aéronavale britannique dans la grande guerre

L'essor d'une arme nouvelle

La Première Guerre mondiale fut l’époque de plusieurs innovations majeures de l’histoire militaire. Certaines, comme les blindés ou l’aviation de combat, sont restées ancrées dans la mémoire collective. À l’inverse, l’essor de la guerre aéronavale, grâce à l’apparition du porte-aéronefs, est souvent laissé dans l’ombre. Certes, le porteaéronefs de 1914-18 n’est pas encore le seigneur des mers qu’il sera vingt ans plus tard, mais de nombreux pays en perçoivent pourtant le potentiel. Après des essais outre-Atlantique, c’est tout naturellement en Grande-Bretagne que cette nouvelle arme est réellement développée.

+ SOS météo

Batailles oubliées en arctique

S’il y a bien une contingence que les marins doivent prendre en compte avant de partir en mer, c’est la météo. En guerre, sa prévision est même essentielle, puisque d’elle dépendent en grande partie le routage des escadres, l’efficacité des escorteurs et des avions patrouilleurs, la possibilité d’intercepter une unité ennemie, etc. Et c’est pourquoi, tout au long du conflit, la Kriegsmarine va faire d’intenses efforts pour obtenir les données météo nécessaires à ses opérations navales.

+ Exocet

Missile antinavire et succès français

Actuellement, l’Exocet en est à sa troisième mise à niveau. Comment un simple missile a-t-il pu devenir à lui seul le porteur d’une doctrine ? Retour sur quarante ans de service d’une arme qui a fait ses preuves au cours de la guerre des Malouines et qui a réussi à s’adapter aux exigences tactiques les plus récentes.

+ Carrier is coming

Le monde des grands porte-avions

La maritimisation des tensions et conflits internationaux entraîne une course aux armements navals touchant quasiment tous les pays, chacun s’armant selon ses moyens, ses besoins, mais aussi en fonction des arsenaux des voisins. Avisos, corvettes et frégates se vendent ainsi comme des petits pains, tandis que le monde n’a jamais autant compté de nations possédant des sous-marins (commandés ou en service) depuis la Seconde Guerre mondiale. Nombre d’entre elles s’efforcent depuis des années de constituer une force aéronavale embarquée, mais leurs budgets limités et leur inexpérience expliquent que bien peu alignent un ou plusieurs porte-avions.

+ Lexique

Flûte & Clipper

Suite à notre précédente page rappelant certains noms d’embarcations ou de navires variés, voici un second volet d’appellations parfois méconnues et d’un certain « exotisme ». Débutons là aussi par quelques notions basiques.