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LOS! n°13 - Yamato - Mythes et réalités
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LOS! n°13

Yamato

Mythes et réalités

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Au sommaire du n°13 -Mars/Avril 2014

+ Yamato
Mythes et réalités

+ Scheer contre HX-84
L'attaque d'un loup solitaire

+ Swordfish
L'arme absolue de la FAA

+ Les chiens des mers
Les vedettes lance-torpilles

+ United nations at War
Les marines d'Amérique centrale et des grandes antilles

+ Actualité
Soleil levant sur marine nippone

+ Lexique
Du soudeur au barbier

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Au sommaire du n°13 -Mars/Avril 2014

+ Yamato

Mythes et réalités

Le 25 octobre 1944 vers 08h20, au large de l’île de Samar, aux Philippines, le destroyer USS Hoel est réduit à l’état d’épave, écrasé sous les obus d’une escadre japonaise composée de cuirassés et de croiseurs. Les survivants américains voient un grand navire se profiler sur l’horizon, lancé à pleine vitesse. Il se rapproche rapidement, défilant à quelques nautiques. Il est énorme, le plus gros cuirassé qu’ils aient jamais vu…

+ Scheer contre HX-84

L'attaque d'un loup solitaire

L'Admiral Scheer est certainement le navire allemand qui a effectué la croisière océanique la plus réussie de toute la Kriegsmarine. Si ses victimes seront nombreuses lors de cette opération, le croiseur lourd n’arrive cependant à intercepter qu’un seul convoi, le HX‑84. Et encore, ce dernier ne perd dans l’affaire qu’un nombre limité de bâtiments. Le sacrifice du croiseur auxiliaire Jervis Bay y est pour beaucoup. Une histoire qui fait honneur aux marins britanniques, qu’ils soient de la Royal ou de la Merchant Navy.

+ Swordfish

L'arme absolue de la FAA

Ses équipages le surnomment Stringbag (« sac de ficelles », ou plus exactement « filet à provisions ») tant il est bardé de haubans, mais son concepteur l’a baptisé Swordfish. Ce bombardier-torpilleur et appareil de reconnaissance aura une longévité impressionnante, restant en service bien après la capitulation du Japon. Il est considéré encore aujourd’hui comme le biplan le plus important de la Seconde Guerre mondiale, époque durant laquelle la Fleet Air Arm l’a intensivement utilisé.

+ Les chiens des mers

Les vedettes lance-torpilles

De l’apparition de la torpille, à la fin du XIXe siècle, au déclenchement de la Première Guerre mondiale, les Marines occidentales conçoivent des bâtiments légers capables d’emporter et d’utiliser cette arme nouvelle. Ces petites unités – que l’on appelle alors des torpilleurs – sont perçues par de nombreux stratèges comme des « tueurs de cuirassés », capables de couler à moindre coût les Capital Ships de l’ennemi. Pour s’en prémunir, chaque pays met donc au point une contre-mesure, le contre-torpilleur – plus lourd et mieux armé –, ce qui provoque à son tour l’adaptation du torpilleur et sa transformation progressive en destroyer. La mission de ce dernier est alors toujours de mener des attaques à la torpille contre une escadre adverse, mais aussi de s’opposer à ses équivalents ennemis, d’éclairer la flotte, etc. Bref, en 1914, le petit torpilleur des débuts semble donc complètement dépassé, autant d’un point de vue technologique que tactique.

+ United nations at war

Les marines d'amérique centrale et des grandes antilles

Publiée aux États-Unis en 1944, une série de cartes patriotiques, « United nations at war », présente l’effort de guerre de l’ensemble des nations alliées contre les puissances de l’Axe. Aucun pays n’est délaissé, du plus grand au plus petit, du plus riche au plus pauvre. Mais cette vision patriotique idyllique, aux accents de nos nationales images d’Épinal, cache parfois une réalité bien moins guerrière, et pour cause. L’action des Marines d’Amérique centrale (Costa Rica, Nicaragua, Mexique) et des grandes Antilles (Cuba, République Dominicaine, Haïti) y est bien plus qu’idéalisée, mais pas à négliger.

+ Soleil Levant sur marine nippone

Avec 104 navires de combat et environ 45 000 hommes, la flotte japonaise est passée ces dernières années à la quatrième place mondiale, devant la Royal Navy ! Pour faire face à une menace chinoise grandissante, elle met en œuvre un nombre important de destroyers, dont certains, particulièrement grands, sont en fait des porte-aéronefs de dernière génération. Mais pour quelle utilité ?

+ Lexique

Du soudeur au barbier

Un grand navire de combat s’apparente à une petite ville fonctionnant en autarcie. À son bord sont donc représentés tous les corps de métier utiles à son administration et à sa bonne marche autonomes.