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LOS! n°11 - Dunkerque - Le cuirassé sacrifié de la royale
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LOS! n°11

Dunkerque

Le cuirassé sacrifié de la Royale

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Au sommaire du n°11 -Novembre/Décembre 2013

+ Dunkerque
Le cuirassé sacrifié de la Royale

+ TYP XXI
Le miracle qui n'eut pas lieu

+ Objectif Tirpitz!
Les tentative pour couler la bête

+ Le bombardement d'Alexandrie
Le langage de la canonnière

+ Opération "Ironclad"
Combats pour Madagascar

+ L'été Indien
Les défis de la 7e marine mondiale

+ Lexique
Brick & Aviso

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Au sommaire du n°11 - Novembre/Décembre 2013

+ Dunkerque

Le cuirassé sacrifié de la royale

À la veille du second conflit mondial, le Dunkerque, premier navire de ligne français construit depuis la fin de la Grande Guerre, fait la fierté de la Royale. Novateur et moderne, conçu en réponse aux Panzerschiffe allemands de classe Deutschland, il n’aura cependant pas l’occasion de faire ses preuves au combat.
La débâcle de 1940 et le drame de Mers-el-Kébir entraîneront la fin prématurée de sa carrière qui, comme celle de son sister-ship, le Strasbourg, se termine sans gloire lors du sabordage de la flotte à Toulon.

+ TYP XXI

Le miracle qui n'eut pas lieu

En 1943, l’Allemagne fournit un effort considérable pour tenter de reprendre l’avantage dans la guerre sous-marine et élabore un nouveau concept de U‑Boot : le Typ XXI. En avance sur son temps, il ne sera cependant pas opérationnel assez tôt pour avoir la moindre influence, et la quasi-totalité des unités qui entreront en service ne connaîtra de la guerre que la reddition. Un seul Typ XXI prendra réellement le large pour le combat, la cessation des hostilités mettant aussitôt fin à sa mission.

+ Objectif Tirpitz!

Les tentatives pour couler la bête

Churchill le surnommait « The Beast », ses amiraux en parlaient en donnant son initiale, « T ». Il a fait trembler toute la Royal Navy à chacune de ses sorties et a mobilisé des forces et des moyens impressionnants, tant chez les Britanniques pour le détruire que chez les Allemands pour le préserver. Lui ? C’est le Tirpitz, frère jumeau du défunt Bismarck, un cuirassé si puissamment armé qu’il équivaut à toute une escadre. À Londres, la priorité est claire : « il faut détruire le Tirpitz ! »

+ Le bombardement d'Alexandrie

Le langage de la canonnière

L' Égypte succombe depuis 1881 à une vague nationaliste qui menace la mainmise des Européens sur le canal de Suez. En bombardant Alexandrie, les Britanniques parviennent à faire plier le gouvernement égyptien à leur volonté. Cette action devient un cas d’école pour la doctrine navale occidentale moderne ; à la fin du XIXe siècle, la multiplication des coups de force côtiers est un élément fondamental de la prééminence franco-britannique en Méditerranée.

+ Opération "Ironclad"

Combats pour Madagascar

Le soir du 9 avril 1942, quatre mois après le torpillage des cuirassés Repulse et Prince of Wales au large de la Malaisie, deux après la perte des croiseurs lourds HMS Exeter et HMAS Perth durant la bataille de la mer de Java, le Royaume‑Uni est de nouveau sous le choc : au terme d’une opération-éclair de 96 heures, la Marine impériale japonaise a littéralement nettoyé l’océan Indien en surprenant la Royal Navy à Ceylan et en s’attaquant au trafic maritime dans le golfe du Bengale.

+ L'été Indien

Les défis de la 7e marine mondiale

Avec plus de 58 000 hommes, environ 150 bâtiments et 190 aéronefs, la Marine indienne est un acteur naval majeur qui n’a longtemps tenu qu’un rôle régional. Se classant aujourd’hui juste derrière la France en termes de tonnage, la Bharatiya Nau Sena fait d’importants efforts de modernisation pour rattraper son retard technologique. L’été 2013 a illustré ses forces et faiblesses.

+ Lexique

Brick & Aviso

La classification de certains navires, comme leurs rôles, reste parfois assez imprécise et peut prêter à confusion. Il en est ainsi de l’aviso, dont l’évolution avec le temps a fait oublier les origines.