LOS!
LOS! n°4 - Les porte-avions japonais - Fer de lance de la Marine impériale
search
  • LOS! n°4 - Les porte-avions japonais - Fer de lance de la Marine impériale

LOS! n°4

Les porte-avions japonais

Fer de lance de la Marine impériale

 EPUISE MAIS DISPONIBLE AU FORMAT NUMERIQUE : 

  Google Play  

Au sommaire du n°4 - Septembre/Octobre 2012

+ Dogger Bank
La bataille des occasions manquées

+ Les porte-avions japonais
Fer de lance de la Marine impériale

+ Coup de timbale !
Les États-Unis face aux U-Boote

+ La renaissance de la Brown-Water Navy
L’US Navy redécouvre les opérations fluviales

+ Comment ça marche ?
Apponter

+ Série « les sentinelles immobiles »
Le vaisseau de pierre

+ Lexique
Les apparaux du poste de manœuvre

En savoir +

LOS04

Disponible également au format numérique tablettes et smartphones

Apple Store
Google Play

Au sommaire du n°4 - Septembre/Octobre 2012

+ Opération « Cerberus »

Ruée sur la Manche

Pour concentrer leurs principaux navires de surface en mer du Nord, les Allemands organisent le repli des Prinz Eugen, Scharnhorst et Gneisenau de Brest à Kiel. Mais Hitler veut jouer un grand coup en les faisant passer au nez et à la barbe des Britanniques par la Manche, en profitant de conditions météo exécrables. L’Amirauté et la RAF se laisseront-elles berner aussi facilement ?

+ Dogger Bank

La bataille des occasions manquées

Janvier 1915. Hormis un engagement entre croiseurs légers le 28 août 1914 au large d’Helgoland, la Kaiserliche Marine et la Royal Navy se sont seulement affrontées au large des Malouines, où la première a subi un sanglant revers. Agissements de chalutiers suspects et interceptions de messages vont amener les rapides Battlecruisers à portée de tir des Große Kreuzer… Jamais aucune bataille ne s’est déroulée à une telle vitesse et n’a vu des bâtiments combattre à aussi grande distance. En quelques heures, la rencontre des deux escadres sur le Dogger Bank va bouleverser les préceptes ancestraux du combat naval et amener la Royal Navy à des conclusions un peu hâtives, qu’elle payera chèrement dix-sept mois plus tard au Jutland.

+ Les porte-avions japonais

Fer de lance de la Marine impériale

Le porte-avions est considéré aujourd’hui comme la pièce maîtresse de toute flotte. Il n’en a pas toujours été ainsi. Si la Seconde Guerre mondiale a permis d’en saisir les pleines potentialités, son émergence dans les années 1920 a suscité dans les états-majors maints questionnements et incertitudes. Pionniers dans le domaine, les Japonais ne font pas exception. Qu’en est‑il du porte-avions dans le cadre de la doctrine navale nippone de la première moitié du XXe siècle ?

+ Coup de timbale !

Les États-Unis face aux U-Boote

Le 11 décembre 1941, alors que Pearl Harbor fume encore, le III. Reich déclare la guerre aux États-Unis. Convaincu que la bataille de l’Atlantique décidera de l’issue du conflit, l’amiral Dönitz décide de mener une action décisive à la source des approvisionnements alliés. L’offensive sous-marine allemande sur la côte Est américaine est l’une des plus audacieuses de la Seconde Guerre mondiale.

+ La renaissance de la Brown-Water Navy

L’US Navy redécouvre les opérations fluviales

Le 1er juin 2012, l’US Navy a mis en place un nouveau commandement, la Coastal Riverine Force (CRF), en fusionnant deux unités : le Riverine Group 1 – bras armé du Navy Expeditionary Combat Command – et la Maritime Expeditionary Security Force. Six ans après l’envoi en Irak d’une véritable force fluviale, cette réorganisation tendrait à prouver que la Navy a saisi toute l’importance des « eaux vertes et brunes ».

+ Comment ça marche ?

Apponter

Apponter est l’une des opérations les plus délicates qu’un pilote de l’aviation navale ait à effectuer. Une panoplie de systèmes d’assistance ont été inventés pour lui rendre la tâche plus facile et surtout moins dangereuse.

+ Série « les sentinelles immobiles »

Le vaisseau de pierre

Pour protéger la baie de Manille dont ils sont les nouveaux propriétaires, les Américains hésitent au début du XXe siècle entre l’édification d’une batterie côtière et celle d’une île flottante. La première s’avérant inefficace et la deuxième trop coûteuse, ils se tournent alors vers une solution alternative : la construction d’un cuirassé de béton !

+ Lexique

Les apparaux du poste de manœuvre

Le poste de manœuvre consiste d’ordinaire à effectuer les opérations de mouillage, amarrage, appareillage d’un navire, ou encore de sa prise en remorque. S’agissant du pont, l’équipage met en œuvre divers moyens spécifiques. Les apparaux (ensemble d’appareils voués à une même tâche) du poste de manœuvre font partie de l’accastillage. Ce dernier terme, issu de l’espagnol castillo, désignait initialement les châteaux avant et arrière souvent décorés des nefs du Moyen Âge. Il s’appliqua finalement aux ornements des navires, acception qui disparut vers la fin du XIXe siècle. Repris peu après, le terme englobe aujourd’hui – pour l’essentiel – l’ensemble des accessoires, ou apparaux, de pont.