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LOS! n°66

AKULA

Le chasseur des Abysses

Au sommaire du n°66 - Mars/Avril 2023

+ Le torpillage du Szent Istvan
Succès italien contre un cuirassé austro-hongrois

+ Akula
Le chasseur des Abysses

+ Samouraïs des ponts plats
Comment la chasse embarquée japonaise aborde la guerre du Pacifique

+ Naufragés : survivre ou périr en mer

+ Les Rescue Ships
L’ultime espoir

+ « Par la force et l’astuce »
Le Special Boat Service

+ Actualités

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Au sommaire du n°66 - Mars/Avril 2023

+ Le torpillage du Szent Istvan

Succès italien contre un cuirassé austro-hongrois

Le 10 juin 1918, une vedette lance-torpille italienne (MAS) coule en Adriatique, au large de la petite île de Premuda : le cuirassé austro-hongrois Szent Istvan. Jamais dans l’histoire navale un engin de surface aussi petit n’avait coulé un bâtiment aussi grand. Un exploit qui a influencé de manière significative la suite du conflit.

+ Akula

Le chasseur des Abysses

Ayant conscience de l’impossibilité technique et financière d’atteindre la parité avec l’US Navy, la Marine soviétique recherche une réponse asymétrique au problème posé par les groupes aéronavals américains, ces puissantes formations constituées autour d’un porte-avions et de son escorte, qui sont une menace constante pour l’URSS de par leur force de frappe et leur mobilité. Les Soviétiques développent alors un programme de construction massif de sous-marins. Or, si de nombreux bâtiments entrent effectivement très vite en service, dans un premier temps, leur niveau technologique reste globalement inférieur à celui des productions occidentales.

+ Samouraïs des ponts plats

Comment la chasse embarquée japonaise aborde la guerre du Pacifique

L’offensive japonaise de décembre 1941 dans le Pacifique et en Asie du Sud-Est se caractérise par son ampleur et sa rapidité. Elle s’appuie notamment sur l’action des formations de l’aéronavale qui imposent leur suprématie aux forces aériennes américaines, britanniques et néerlandaises aux Philippines, en Malaisie et au-dessus de l’archipel des Indes néerlandaises. Cette domination surprend la plupart des observateurs ; elle est pourtant le fruit d’un long et patient processus de développement technique, tactique et humain datant des années 1920.

+ Naufragés : survivre ou périr en mer

Que se passe-t-il à bord d’un navire venant d’être torpillé ? Comment réagit l’équipage quand il comprend que son bâtiment coule ? Pour répondre à ces questions, on peut s’intéresser à ce que vécurent, entre 1939 et 1945, les hommes de la Merchant Navy, la marine marchande britannique. Grâce à de très nombreux témoignages de survivants et à plusieurs études réalisées après-guerre, il est en effet possible de reconstituer un naufrage typique en prenant en compte les facteurs matériels, humains, climatiques et tactiques.

+ Les Rescue Ships

L’ultime espoir

Durant la Seconde Guerre mondiale, la Merchant Navy britannique va subir d’immenses pertes humaines. Qu’on y songe : de 1939 à 1945, 36 749 marins seront tués ou portés disparus, soit un taux de pertes de 23,4 % si on y ajoute les prisonniers et les blessés graves ; en comparaison, les pertes de la Royal Navy s’établissent à 9,3 % de ses effectifs. La majorité de ces marins mourront dans l’Atlantique Nord et sur les routes des convois pour Mourmansk. Pour essayer de juguler cette terrible hémorragie, l’Amirauté britannique va imaginer des navires spéciaux chargés de sauver ces malheureux : les Rescue Ships.

+ «Par la force et l’astuce»

Le Special Boat Service

Moins connu que son homologue Special Air Service (SAS), le Special Boat Service est né à la fin de la Seconde Guerre mondiale par regroupement des différentes composantes amphibies des forces spéciales de Sa Très Gracieuse Majesté. Il a pour origine la Special Boat Section créée en juillet 1940 par un officier du No.8 (Guards) Commando, Roger «Jumbo» Courtney, devenu instructeur au célèbre Combined Training Centre d’Inveraray, en Écosse. Convaincu de l’utilité de disposer de commandos capables de s’infiltrer chez l’ennemi au moyen de kayaks, l’homme ne parvient pourtant pas à convaincre les amiraux Sir Roger Keyes, chef des Opérations combinées, et Theodore Hallett, directeur du centre d’entraînement de ces mêmes Opérations combinées.

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