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Trucks & Tanks n°97

La Bataille de Koursk

L'erreur ultime du III. Reich

Au sommaire du n°97 - Juin / Juillet 2023

+ Schwerer Panzerspähwagen (7,5cm) Sd.Kfz. 233 Stummel
Pour l’appui lourd

+ Carro Armato Pesante 40
Trop tard pour l’Italie

+ La bataille de koursk
L’erreur ultime du III. Reich  ?

+ T-26 - partie 2
Inéluctable déclin

+ Panzerfäuste  et Panzerschreck
La terreur des chars !

+ Le Sturmgeschütz III
Un accident de l’histoire militaire ?

+ Canon de 220 mm Long modèle 1917
Frapper loin et fort

+ Actualités

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Au sommaire du n°97 - Juin/Juillet 2023

+ Schwerer Panzerspähwagen (7,5cm) Sd.Kfz. 233 Stummel

Pour l’appui lourd

Piliers du Blitzkrieg (« guerre éclair »), les Aufklärungs-Abteilungen, des unités destinées à la reconnaissance, sont équipées d’automitrailleuses 8x8 puissantes et rapides comme les schwerer Panzerspähwagen Sd.Kfz. 231 (8.Rad), mais face à des blindés ou à des retranchements adverses leurs pièces de 2cm manquent « de punch ». Dans ces conditions, en 1942, une version, armée d’un canon de 7,5cm kurz est développée pour assurer des missions d’appui-feu et accessoirement antichars : le schwerer Panzerspähwagen (7,5cm) Sd.Kfz. 233 Stummel.

+ Carro Armato Pesante 40

Trop tard pour l’Italie

Fin 1938, le Centro Studi Motorizzazione du Regio Esercito (armée de terre du royaume d'Italie) rédige le cahier des charges d’un nouveau char lourd, de la classe des 20-25 tonnes, armé d’un canon de 47 mm. Toutefois, ce dernier est jugé insuffisamment performant et, en 1939, le bureau technique d'Ansaldo pour les véhicules militaires, dirigé par l'ingénieur Giuseppe Rosini, commence l'étude d'un blindé, équipé d’un obusier 75/18 Ansaldo (Berlese) Mod.1935 d’où sa désignation de C.a.75 ou P.75. Cet engin est une réponse aux recommandations de l'Ispettorato della Motorizzazione demandant un char « de type P » (Pesante, lourd) devant être un « centre de feu mobile ». Et, en 1940, le projet est désigné P.26/40.

+ La bataille de koursk

L’erreur ultime du III. Reich  ?

À l’été 1943, les Allemands affichent une absolue confiance dans la supériorité tactique et technologique de leurs forces mécanisées. Et cet optimisme n’est pas simplement un péché d’orgueil, car il se base sur les performances des Panzer-Divisionen qui ont régulièrement défait leurs homologues soviétiques. Le gap de performances est tel qu’il amène Hitler à rechercher une victoire décisive lors de l’opération « Zitadelle ». Pour ce faire, il va masser la fine fleur de la Panzerwaffe, équipée de centaines d’engins à la pointe de la technologie pour écraser les défenses russes et briser les contre-attaques des corps mécanisés soviétiques. Mais l’Armée allemande est-elle à la hauteur de ce défi ?

+ T-26 - partie 2

Inéluctable déclin 

Lors de l’opération « Barbarossa » lancée par les Allemands le 22 juin 1941, le T-26 représente grosso modo la moitié des effectifs en blindés de l’Armée rouge avec environ 10 000 exemplaires tous modèles confondus. Grâce à son un puissant canon de 45 mm, le char léger soviétique peut-il s’opposer aux Panzer qui déferlent sur les steppes russes ?  

+ Panzerfäuste et Panzerschreck

La terreur des chars ! 

Pour contrer la menace des chars soviétiques, les Allemands vont développer toute une gamme d’armes basées sur la technologie des charges creuses. Des lance-roquettes qui vont constituer une véritable rupture technologique sur les différents champs de bataille où sont engagées la Wehrmacht et la Waffen-SS. Déployés à grande échelle dès 1944, les Panzerfäuste et Panzerschreck vont rapidement devenir la hantise des équipages alliés, qu’ils soient soviétiques, américains ou anglais. Mais, compte tenu des difficultés d’utilisation de tels matériels, portée réduite à une trentaine de mètres notamment, ces lance-roquettes sont-ils aussi efficaces que semblent le démontrer les témoignages de vétérans ?

+ Canon de 220 mm Long modèle 1917

Frapper loin et fort

En 1915, le conflit commence à s’enliser dans les tranchées et commence alors le « règne » de l’artillerie lourde dont l’action va profondément bouleverser les paysages du nord de la France tout en causant des pertes importantes dans les deux camps. L’aviation n’en étant qu’à ces balbutiements et les 75 mm Mle 1897 d’infanterie n’étant plus adapté, la seule solution pour contrer l’action des pièces adverses est de déployer des canons puissants capables de frapper loin et forts dans le dispositif ennemi. 

+ Le Sturmgeschütz III

Un accident de l’histoire militaire ?

Le canon d’assaut Sturmgeschütz III (StuG. III) est généralement considéré un blindé polyvalent, aussi à l’aise dans l’offensive que dans la défensive, capable à la fois d’appuyer l’infanterie et d’assumer des missions antichars. Par ailleurs, sa plate-forme s’avère suffisamment souple pour suivre, du moins au début, la course à l’armement qui caractérise la Seconde Guerre mondiale. Mais, pour autant, est-il réellement la réussite technique si souvent vantée ? Et son efficacité, régulièrement mise en exergue, face aux blindés alliés est-elle si flagrante ? Retour sur un mythe à travers une étude technique qui va le voir comparer aux Panzer en service aux mêmes périodes. 

+ Actualités

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