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Trucks & Tanks n°99

Clash d’acier à l’Ouest

Les derniers combats de la Wehrmacht

Au sommaire du n°99 - Octobre/Novembre 2023

+ Pantherturm
Le fauve immobile

+ Clash d'acier à l'Ouest
1944-45, la Wehrmacht a-t-elle vraiment combattu à l’Ouest ? 

+ 17 Pounder Self-Propelled Gun Achilles IIC
Le tueur de fauves

+ Les schwerer Panzerspähwagen Sd.Kfz. 231 (6.Rad) 
Médiocres, au mieux ! 

+ Guerre en Ukraine
Le « dieu de la guerre » en action

+ Actualités

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Au sommaire du n°99 - Octobre/Novembre 2023

+ Pantherturm

Le fauve immobile

Afin de renforcer leurs lignes de défense, notamment côtières, que Berlin sait perméables aux « débarquements » inéluctables, les forces allemandes installent des tourelles de char sur des abris bétonnés. La plupart du temps, il s’agit de tourelles provenant de blindés obsolètes (Panzer II par exemple) ou d’engins de prise (R35, B1, FT). Lorsque, durant l’année 1943, la Wehrmacht commence à adopter une stratégie défensive sur tous les fronts, cette pratique atteint ses limites, car les chars alignés par l’adversaire surclassent aisément le blindage et l’armement de ces tourelles dépassées. Sans oublier l'utilisation des nouvelles armes d’infanterie à charge creuse qui permettent, à distance, de détruire ces points d’appui. Une course à l’armement dont va découler la mise au point d’un « nouveau » type de tourelle mieux protégé et mieux armé.

+ Clash d'acier à l'Ouest

1944-45, la Wehrmacht a-t-elle vraiment combattu à l’Ouest ? 

Selon l’historiographie moderne, la Wehrmacht et la Waffen-SS n’auraient, volontairement, pas vraiment combattu les Alliés occidentaux à l’Ouest dans les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale, laissant les forces américaines et anglaises conquérir un maximum du territoire du III. Reich afin qu’il ne tombe pas aux mains d’une Armée rouge vengeresse. A contrario, les soldats allemands auraient opposé une farouche résistance aux Soviétiques afin de les ralentir le plus possible. S’il est indubitable que les troupes de Moscou ont dû sauvagement combattre pour atteindre puis prendre Berlin, les Américains et les Anglais ont-ils pour autant pu avancer sans livrer bataille ? Leur progression en territoire germanique a-t-elle été une simple « promenade de santé » ? Retour sur les dernières opérations et duels blindés menés par les Alliés de la fin de l’année 1944 à la chute du III. Reich au travers d’une immense fresque chronologique.

+ 17 Pounder Self-Propelled Gun Achilles IIC

Le tueur de fauves

En 1942, les combats menés par les Anglais contre l’Afrikakorps démontrent que les canons antichars tractés ne sont pas adaptés aux conditions rencontrées, car les personnels n’arrivent pas à suivre les phases rapides d’attaque et de contre-attaque. De ce fait, la solution passe par leur motorisation, donnant naissance aux Portee et, ensuite, à l’un des plus puissants chasseurs de chars de la Seconde Guerre mondiale.

+ Les schwerer Panzerspähwagen Sd.Kfz. 231 (6.Rad) 

Médiocres, au mieux ! 

Les Aufklärungs-Abteilungen (unités de reconnaissance de l’armée allemande) sont célèbres pour leurs incroyables chevauchées au travers des dispositifs ennemis. Ces éclaireurs sont pour beaucoup dans les succès des Panzer-Divisionen, mais avant de réaliser des exploits, elles ont dû faire souvent avec des matériels peu adaptés à leurs missions ou encore engager des machines tout juste bonnes à manœuvrer sur des chemins de terre, à l’exemple des schwerer Panzerspähwagen Sd.Kfz. 231 (6.Rad), des automitrailleuses 6x4 basées sur des châssis de camions.

+ Guerre en Ukraine

Le « dieu de la guerre » en action

Déclenchée dans la nuit du 23 au 24 février 2022, « l’opération militaire spéciale » lancée par les Vooroujionnye sily Rossiïskoï Federatsii (forces armées de la Fédération de Russie) a mis en évidence le fait que certaines armes de nouvelle génération, comme les missiles antichars et les drones, sont désormais des composants majeurs du champ de bataille. Et elle a également rappelé que l’artillerie, aussi datée soit-elle pour certains observateurs, demeure l’un des acteurs principaux d’une guerre de haute intensité. Ainsi, les milliers de bouches à feu, de lance-roquettes multiples ou de lance-missiles en tout genre réunis par les deux camps pilonnent sans relâche les forces ennemies, que cela soit sur la ligne de front ou dans la profondeur de leur dispositif. Les combats ont ainsi mis en lumière ces matériels capables de noyer sous un déluge de feu et de fer les positions adverses ou de frapper avec une précision extrême une cible de la taille d’un char. Complément du Trucks & Tanks hors-série numéro 44 consacré aux canons automoteurs à chenilles ou à roues, ce dossier analyse quelques matériels majeurs utilisés par les deux camps et lance quelques pistes sur leur efficacité tout en abordant la polémique faite autour de la livraison par les États-Unis aux Zbroyni Syly Ukrayiny (ZSU, forces armées de l'Ukraine) d’armes à sous-munitions.

- Partie 1 : Les sous-munitions - Un game changer ?

- Partie 2 : TOS-1A « Solntsepyok » - Soleil brûlant sur l’Ukraine

- Partie 3 : Système de missile balistique 9K720 Iskander - Se jouer des défenses adverses

- Partie 4 : Canon automoteur 2S19 Msta-S - Le meilleur de l’artillerie russe en action

- Partie 5 : Canon automoteur 2S22 Bohdana - Le symbole de la résistance ukrainienne

+ Actualités

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